| Sujet: (m) colton haynes • la vie semblait si longue sans toi. Dim 5 Jan - 21:46 | |
| Thomas P² Nom NOM : le nom est complètement au choix. PRÉNOM(S) :au choix. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : aux choix mais en 1990 ORIGINES : au choixORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuelle STATUT CIVIL : célibataire mais modifiable FAMILLE : aux choix.. ÉTUDES/MÉTIER : scientifique pour la police dans la recherche GROUPE : au choix. AVATAR : colton haynes - everything about you, everything that you do - CE QUE J'AIME CHEZ TOI, C'EST : C'est un garçon très intelligent, une personne qui a eus le courage de vivre une vie pas facile, il est protecteur et drole, charmant et beau. MAIS MAIS CE QUE JE DÉTESTE, C'EST : qu'il est dragueur, un peux obsédé sur les bords, il aime le sexe c'est vraie mais qui peux lui en vouloir, les filles lui court après. Il est jaloux et posséssif, franc et têtue. POINTS IMPORTANTS DE L'HISTOIRE : j'aimerai bien qu'il n'ai pas eus une vie très facile mais qu'il s'en soit sortie grace à son intelligence. Le reste à vous de voir je ne suis pas difficile. - i used to think we would write the story of us - étant donné que je suis la meilleure amie de Thomas, il est dans la grande partie de ma fiche que je vous poste à la suite. - Spoiler:
« Il était une fois » « chapter 1: la naissance d'une princesse » Londres une ville connue et sympathique d'Angleterre, une ville dans laquelle est née une petite fille. Moi, Monica Elizabeth Pompidou. Mon père était photographe, ma mère elle était cuisinière. Ils rêvaient d'avoir une fille pour en faire une princesse et ils l'ont eus. A croire que dieux était avec eux dès ma naissance et pourtant. Je n'ai jamais aimé faire la même chose que les autres. Oui je jouais au poupée mais je m'en lassais très vite pour aller lire mes livres, et colorier mes coloriages. J'ai toujours aimés les activités culturels et intellectuels. Je ne me suis jamais intéressée au maquillage, ni aux fringues, juste mes livres, mes coloriages. Très jeune je me suis posée des questions sur le sens de la vie et pourquoi les gens menaient la vie qu'ils avaient, pourquoi est-ce que j'étais née et encore aujourd'hui je me pose cette question. Pourquoi est-ce que je suis née? Mais j'essaie d'éviter d'y penser et de tout simplement vivre avec mon temps. Mais le temps m'a très vite rattrapé.
« Il n'y a pas d'histoire sans héroïne » « chapter 2: le combat d'une guerrière »
Les études, une phase par laquelle n'importe quel adolescent normalement constitué passent. J'y suis passée et alors que mes parents espéraient que j'ouvre mon esprit à des choses plus futiles et idiotes tels que la mode, une fois de plus je me suis opposée à leurs choix. J'ai eus mon premier PC à l'âge de 15 ans. Je suis tombée amoureuse des jeux de rôles, et alors que je menais une vie de geek à l'état pure, je me suis intéressée de plus près à tout ce qui est électronique. J'ai étudié comment pirater des sites, comment infiltrer un compte sans que personne ne s'en rendent compte, suivre des gens via leurs téléphones. Mes parents ont finis par se faire une idée et m'envoyer étudier à l'étranger. New York, ils avaient mis des sous de côtés pour mes études et du coup c'est comme ça, qu'à mes 16 ans je me retrouve dans une des meilleures écoles de New York.
Ma vie d'étudiante je la voyais se dérouler paisiblement, assez banalement et dans la discrétion et pourtant rien n'allait se passer comme je le souhaitais. Sur place, je rencontre un étudiant qui était là depuis déjà un an, nous avions le même ages du nom de Thomas qui était étudiant en Science. Il m'a accueillit alors que j'étais comme une grande paumée avec mon plan de cette école. « Euh salut ! Excuse moi mais tu as l'air perdue je me trompe ? » « Pardon ? Non du tout ! Qui dit que je suis perdue ? J'ai l'air perdue ? N'importe quoi. » « ok alors bonne chance » Est-il nécessaire que je vous précise que je me suis sentie vraiment, vraiment, mais vraiment idiote ? Non c'est ce que je me disais aussi. « attend ! Oui je suis totalement perdue, j'ai l'impression d'être un pigeon sans pain ! » Il se mit à rire. « Quand je dis pigeon, je veux dire que je me sent perdue, enfin, ça veut pas dire que je veux du pain enfin je veux dire.. bref ! » Il rit une fois de plus et fini par me faire visiter. « je m'apelle Thomas. Je viens de France. » « Je m'appelle Monica et je suis de Londres, enfin d'Angleterre quoi ! » On fini par ne plus se lâcher, on devint vraiment inséparable. Le soir on allait à nos dortoirs respectif et on se connectait sur skype afin de parler. Je menais une vie banale, ce que je voulais, certes je me faisais discrète comme une sourie irait voler dans les cuisines de grand restaurateurs mais au moins on ne m'embêtait pas. J'aimais beaucoup aller au stade d'entrainement des joueurs de football avec mon pc, je me cachais derrière et le regardais jouer, lui, Adam, un joueur de football, un étudiant plus âgée. Il avait 19 ans. Mon école avait la particularité de ne pas faire que lycée mais également université. Ça aide. Puis un jour alors que je traversais le couloir et le vis, j'accélérerais le pas en baissant la tête. Puis soudain BAM je me le suis pris en pleine face. « Hey tu peux pas faire attention ? » je ramasse mes affaires et me redresse. « Je suis désolée je n'ai pas fais exprès... Je... » Soudain son visage s'apaisa, comme-ci il s'était rendue compte qu'il avait fait une erreur. « Ce n'est rien. Tu n'as rien,?» je rougis, je fis non de la tête et partie en courant. « Tu ferais mieux de rester loin de lui Monica. Ce mec est un dragueur, il collectionne les nanas. » Mes sourcils se froncèrent. Assise sur mon lit en vidéo conférence avec celui qui était devenu mon meilleur ami, je répondu fièrement. « Quoi ? Pour toi je ne suis pas assez désirable ? Pas asse féminine ? Peut-être que lui au moins il m'accepte comme je suis. Sur ceux bonne nuit monsieur le justicier ! » C'est alors que je coupe la vidéo conférence. Durant les jours qui ont suivis je ne lui adressa plus la parole. C'est alors que j'étais entrain de déjeuner que Adam vint s’asseoir à côté de moi. « Salut, euh Monica c'est ça?» Surprise je me tourne vers lui et acquiesce. « Dit j'organise une fête ce soir je voulais savoir si tu voulais venir. J'ai vraiment envie d'apprendre à te connaître. », je me mise à hésiter. Pourquoi? Et si Thomas avait raison. « Je ne sais pas si c'est une bonne idée, j'ai pas de tenue convenable pour vos fêtes et du coup je pense que je ferais tâche. » « Viens comme tu es je m'en fiche crois moi. Tu y vas pour t'amuser pas pour te justifier.» Je fini par accepter et le soir venue, je met un jean, un débardeur noir avec quelques brillant et fait l'effort de détacher mes cheveux et retirer mes lunettes. Du mascara et je me lancais. Arriver là-bas je n'étais pas très à l'aise. « Hey la geek, tu t'es trompé d'endroit, la réunion des no life c'est pas ici. » « Ferme là caroline elle est avec moi! », il me regarda et m'embrassa au coin des lèvres. « Magnifique.» Puis il me servit un verre. Très vite je me sent mal, ma tête tourne. Je manque de tomber et il me porte. « Oula doucement princesse, viens on va monter, tu vas te reposer un peux.» A mon réveil, j'étais en sous vêtement, lui assied sur une chaise, torse nue entrain de fumer une cigarette. Paniquer je me redresse mais ma tête me fait mal. « ha bah c'est pas trop tôt. J'ai crue que tu te réveillerais jamais. » Je le regarde se lever, il vint s'assoir à côté de moi, je n'arrive pas à parler, ni à bouger. Sa main se pose sur ma joue, tandis que l'autre s'en va carresser ma cuisse. Tout devient clair. C'est alors que je le pousse violemment et me lève en courant me dirigeant vers la porte. « A L'AIDE NOOOOON AIDER MOI! » Il m'attrape alors par les épaules, j'essaie de me débattre mais le mec c'est un footballeur américain c'est une carafe le truc. Il me balance sur le lit et c'est alors que je me dis que tout est fini. Alors qu'il devient entreprenant et que j'hurle de toute mes force, la porte se voit défoncer. Thomas. Il se rut sur lui et s'en suis une baston acclamer par une foule qui se préoccupe que de ça. Une fois qu'Adam se soit fait péter la gueule, Thomas me couvre de son manteau et me ramène à ma résidence et ma chambre. « Tu avais raison... Je suis tellement désolée. » Il ne dit un mot, il me donna un jogging et un tee-shirt, il me laisse me changer et ensuite il se couche près de moi, après avoir pleurer toute la nuit, je fini par m'endormir. Plus jamais on en reparla.
Puis l'eau à coulé sous les ponts, je ne parlais à personne, ne traînais qu'avec mes pc, j'étais la meilleure de mon école. Vint l'université, Thomas et moi étions inséparable mais il voyait que quelque chose n'était plus comme avant. En effet, ce brin de folie, cet envie de voir le monde, cet envie de connaître les sentiments des gens, leurs personnalité, d'explorer des Terres inconnus avait disparut, j'avais perdue mon âme et une partie de ma vie en quelque sorte. J'étais que la moitié de ce que je fus autrefois. Et pourtant. Ce soir là fut inoubliable. Je dormais à l'appartement de Thomas on s'était fait une soirée jeux vidéos. J'étais là sans être là. « Écoute Monica... Je ne sais pas quoi faire pour que tu ailles mieux mais ça me tue de te voir comme ça. Je me sent inutile et impuissant. » Mes yeux se baissèrent, mon visage était totalement inexpressif comme-ci on retirait l'odeur douce et agréable d'une fleur et qu'on l'enfermait dans un bocal attendant qu'elle se fane lentement. « Monica, je tiens à toi, et je ne veux pas te voir ainsi, je... » il s'était mit face à moi, j'attendais qu'il finisse sa phrase mais il m'embrassa, surprise au début, je ne répliquais pas pour autant. ON a vécut notre histoire durant 3 mois et demie puis il due partir en Italie pour poursuivre ses études de scientifique. Nous avons pas couchés ensemble, je ne me sentais pas prête, amoureuse? Je dirais qu'une part de moi l'aimait mais pas comme lui m'aimait... Il le savait et pourtant il est resté. Jamais je ne le remercierais assez. On a garder contact mais plus nos vies devait continuer plus les nouvelles se faisait rares, voir.... devenue inexistante. Je me suis sentie perdue sans avoir de ses nouvelles...
« L'amour est la pire des tortures » « chapter 3: et tu m'as emmené dans ta foutue spirale. »
J'ai fini mes études il y a environs trois ans. J'avais des petits boulots en plus d'étudier pour mon studio mais j'avais fini et je voulais changer d'air, de mauvais souvenirs étaient présent et je devais emmener les bons avec moi ailleurs. Je suis venue, espérant retrouver mes parents, mais ils ne voulaient plus me voir, mon père et ma mère m'en voulait d'avoir pris une voie qui n'était pas celle qui voulait, leur petite princesse n'était pas celle qu'ils espéraient. J'ai débuté en tant que serveuse dans un snack puis j'ai trouvé un boulot, enfin un autre boulot. Il s'agissait d'installer des pare feux et des anti virus sur des ordinateurs d'une grande société de Londres. Le patron avait une société en Italie et en France ainsi qu'aux États-Unis. Cela me convenait, j'ai pue emménager dans un endroit plus grand, un appartement, oui car passer de studio à appartement c'est ouf quand même ! Puis le directeur est décédé il y a bientôt un an. La société fut instable un moment jusqu'à ce qu'elle soit reprise par son fils. Je ne l'ai jamais rencontré jusqu'à ce qu'il débarque dans mon bureau perché au loin dans l'immeuble que personne ne vient voir. J'étais sur ma tablette concentré quand on me prit au dépourvut. « Hum excusez-moi ? Monica Pompidou ? » Je sursaute et lève la tête posant ma tablette sur le bureau. « Oui que puis-je faire pour vous ? » « J'aimerais que vous me sortiez les donné de ce pc, s'il vous plaît. Il appartient à un ami et il aimerait récupérer des information dedans. » « Excusez moi monsieur Sullivan mais si c'est le PC de votre ami, pourquoi est-il pratiquement calsiner ? » Il sourit légèrement et rigole. « il vit dans un quartier vraiment pas fréquentable. » Je fini par faire ce qu'il demande puis une fois, deux fois, trois fois, quatre fois, et là je commence à vraiment trouver ça bizarre. Jusqu'au jour où en montant dans ma voiture je le trouvais dans ma voiture. « Monsieur Sullivan mais qu'est-ce que vous faites là? » Il me montra le côté de son ventre, il avait l'air de s'être fait poignarder « Oh mon dieux mais vous devez aller à l’hôpital. » « Surtout pas! Emmener moi au bureau vous allez me recoudre. » Je m’exécutai, arriver là-bas je fis ce qu'il me dit et après avoir manqué de vomir à 3 reprises je fini par finir de le recoudre. Ensuite il m'expliqua, qu'il s'était fait attaquer, étant donné que je ne suis pas dupe il comprit qu'il devait me mettre au courant, alors il m'expliqua, pour faire revivre l'entreprise de son père, il magouillait. Il était tombé dans la mafia, en réalité il n'avait fait que continuer ce que son père avait commencé.
Alors je travaillais pour lui, je ne dois rien dire à personnes. Me voilà donc devenue la secrétaire de monsieur Sullivan. « On a tous besoin de couverture dans se métier Monica, et donc tu seras ma secrétaire pour pouvoir trouver de meilleur excuse quand je dois m’éclipser. » Cela fais donc maintenant 3 mois que je travail pour lui, on a une relation assez étrange, plutôt spécial et pourtant je crois que je suis tombée amoureuse de lui... Mon patron mafieux CHOUETTEEE. Sauf qu'un jour alors que nous étions sous couverture à l'hôtel, je vais à sa chambre et frappe. Sauf que c'est une femme qui en sort. « Que puis-je pour vous? » « Je suis la secrétaire de monsieur Sullivan. » Elle hausse un sourcil et apelle mon patron. « Sa secrétaire? Tu parles d'une secrétaire.» Elle s'en va puis voilà que Dylan débarque. Quant à moi... je n'ose même pas le regarder. « C'est l'heure monsieur Sullivan. » « Monica écoute je... » « Non Dylan y a rien à dire d'accord, allons-y. » ON fit ce que l'on avait à faire, puis on rentre à Londres, une fois là-bas alors que j'étais entrain de faire des heures supplémentaire le soir, ne voulant pas rentrer chez moi, Dylan me convoqua dans son bureau. « Monica la femme que tu as vue là-bas à l'hôtel Russe était ma fiancée. Je n'ai pas choisis cette fille et je n'ai pas le choix d'accord? » « Tu n'as aucuns compte à me rendre Dylan, c'est ta vie, ça ne me regarde pas. » Puis je m'eclipse. J'ai été quelque peux distante, je me suis forcée à ne pas me sentir inquiète pour lui, mais je le suis intérieurement je garde tout pour moi. Je pirate informaticienne professionnelle pour un mafieux, don je suis amoureuse et qui est fiancé à une riche femme, parfaitement bien faite.
Je n'avais plus goût à me lever quand un jour je reçue une visite au bureau. Un homme don le visage était caché par un bouquet de fleur. « Que puis-je faire pour vous? » « Le secrétariat te va à merveille Monica. » Oh mon dieu, je reconnaitrais cette voix parmi des centaines. Thomas. « Thomas! mais qu'est-ce que tu fais là? » « J'ai eus un boulot ici à Londres, dans la police scientifique. » On décide d'aller boire un verre le soir même. Et on rattrape le temps perdue, je lui explique que je suis une simple secrétaire pour le grand PDG d'un entreprise. Après une semaine de bavardage par skype comme on avait l'habitude de le faire, il vint au boulot me cherche. Alors que je m’apprêtais à partir, Dylan mon patron débarque. « Monica où allez-vous? » « Je vais diner monsieur Sullivant avec mon vieil ami.. » Il se mordis la lèvre, signe qu'il n'est pas content. Alors on s'en alla diner laissant mon patron seul avec son énervement. Quant à moi j'ai ris, avec mon vieil ami. On a parler de tout et de rien. Puis les semaines ont passé, et je me sent toujours autant attirés par mon Patron à qui j'évite toute forme de sens amical Il l'aime encore, il l'a toujours aimé mais il sait qu'elle est fragile. Néanmoins il verra que dans les yeux de monica quand elle les poses sur son patron, voit quelque chose qu'il n'avait pas vue depuis longtemps: de l'espoir. Il s'accroche à elle, ils sont très proches. ça c'est sur et le patron va pas aimer. Liens avec le scénario pour avatar Stephen Amell (patron de l'entreprise où travail Monica) est mal. Bah c'est simple ce mec je ne l'aime pas! Il est le patron de Monica et pourtant je ne le supporte pas du tout. Il la regarde d'un air malsain mais à la fois protecteur, et pourtant il supporte pas que je m'approche d'elle, enfin ça ne lui plaît pas en tout cas. Haaaa mamamia on - i'm never gonna wait another day, i want you - |
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