on a tort de juger un homme sur ses fréquentations. judas, par exemple, n'avait-il pas des amis exemplaires ? + dae.

Aleksandar Daemon Milosevic

NOM : Milosevic, un nom de famille purement serbe. PRÉNOM(S) : Aleksandar comme le papa : transmission du prénom de génération en génération (je dois être le 4éme à le porter). Puis Daemon, sans aucune raison précise .. bref, c'est mon prénom usuel de toute façon. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Le vingt-quatre février, 1991 à Belgrade en Serbie. ORIGINES : Serbes et anglaises. ORIENTATION SEXUELLE : J'aime les moules mais pas les frites. STATUT CIVIL : Célibâtard. FAMILLE : Mon père qui vit en Serbie avec toute la famille paternelle et qui s'est remarié avec une femme toute pas belle (elle l'aurait été in my bed, par contre, ahah). Ma mère, soit disant morte, qui vit toujours (le miracle de la vie, tiens). Elle est même mariée avec un anglais et a deux filles. ÉTUDES/MÉTIER : Je suis étudiant en photographie. GROUPE : London eye. AVATAR : La perfection, Francisco Lachowski.

- i'm such a hot mess 'cause i'm what i'm not -

J'AI ÉNORMÉMENT DE DÉFAUTS : Tout d'abord, je suis très bagarreur et impulsif. Ça ne se voit pas trop, mais j'ai fait de la boxe pendant une bonne partie de mon adolescence et je sais donc très bien me défendre. De plus, je réagis très vite lorsqu'on me cherche des noises. Je suis aussi rancunier. On me trahit, je ne l'oublierais pas. Des années pourront passer, je trouverais un moyen de faire payer à la personne qui m'aura fait du tort. Un peu trop têtu, je n'en fais qu'à ma tête sans écouter les autres. C'est aussi mon côté fonceur qui prend le dessus dans ses moments là. Trop possessif et jaloux, je n'aime pas quand quelqu'un d'autre s'approche de ma copine ou d'une fille que je convoite et ça peut énerver par moment, je le conçois. Je passe aussi pour quelqu'un d'arrogant assez souvent, ce qui est le cas. Pour finir, je suis quelqu'un de renfermé. Je ne me livre que très rarement et les seules personnes à qui je me confis vraiment ne se comptent que sur les doigts d'une main. MAIS AUSSI QUELQUES QUALITÉS : Depuis que je suis petit, la qualité qui me définit le plus est mon côté chieur et blagueur. Je faisais souvent le pitre pour faire rire les personnes qui me tenaient à coeur quand elles n'allaient pas bien, ce qui est toujours le cas. Je ferai tout pour que mes proches soient joyeux. Je sais être adorable et doux avec ces personnes-là, ce qui est assez étonnant. Très franc, je dis toujours ce que je pense, quitte à faire mal. Même si, au fond, je ne dis pas les choses pour blesser l'autre (enfin, ça dépend de la personne). Je suis quelqu'un de protecteur envers mes proches et de confiance aussi. Je ne trahirais pas une personne que je considère comme un ami. Et en ce point-là, on peut me définir de personne fidèle, mais seulement en amitié. ET PLEIN DE MANIES, DE TICS ET DE TOCS : Je n'ai pas beaucoup de manies, cependant, pour le peu que j'en ai, elles sont très remarquables. Par exemple, lorsque je suis stressé, tendu ou gêné, je me passe une main dans les cheveux. J'ai beau lutter pour ne pas le faire, c'est presque automatique. Je n'y peux rien, malheureusement. Ensuite, je me mordille assez souvent la lèvre inférieure lorsque j'ai de l'intérêt pour une fille. Ça fait assez charmeur sur les bords, ça plaît, mais c'est assez gênant je trouve. Et enfin, je n'aime pas les numéros impairs, d'ailleurs, je déteste mon année de naissance. Mes parents auraient du baiser et me mettre en route en fin d'année impaire (ou en début d'année paire). Voilà, c'est dit. CE QUE J'AIME, C'EST : Les filles et le sexe, ahah. Bon, j'aime aussi d'autres choses. Par exemple .. regarder pokémon, prendre mon petit-déjeuner devant la télé avec les pieds sur la table, les pâtes (toutes les pâtes, pas de jalouses avec moi), faire pipi debout (buahah), jouer à la console avec les potes, faire des fêtes d'enfer et finir complètement torcher. J'aime aussi faire le con, faire rire le peuple, draguer partout et tout le temps, les hamburgers, le fromage, les dessins animés, les animaux, Cartman dans South Park et les bébés (au four, avec de la sauce et du pain, c'est juste délicieux). MAIS CE QUE JE DÉTESTE, C'EST : Les épinards (sauf quand c'est dans les pâtes, avec du chèvre), les poivrons, les petites bestioles telles que les araignées itout ça (celui qui me traite de chochotte, il se prend un poing dans la face !), les bébés quand ils pleurent, quand ils font caca, quand ils boudent .. L'injustice, le racisme, perdre à fifa, les campeurs dans mw3 (bande de connard, wesh), les cyclistes qui foncent sur vous pour éviter les voitures (alors qu'ils pourraient tout simplement foncer dans la voiture et crever :D) et les fils à papa. Bref, il faut me prendre comme je suis.

- online i'm from Hollywood, i look damn good -

PRÉNOM OU PSEUDO : Anne-Laure, aka potatoe, pour vous servir. SEXE : J'ai une foufoune. :D ÂGE : La majorité absolue, c'tte classe (même si ça sert à rien dans le pays où je vis, ahah). VILLE : Si je le dis, vous allez même pas savoir où la situer alors .. je vous le dis pas, wouala. COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? Je l'ai trouvé dans un kinder surprise. Very Happy

POURQUOI T'ES-TU INSCRIT(E) ? Bah parce que. Je te demande pas pourquoi t'es con moi. QUE PENSES-TU DU FORUM ? Je trouve qu'il est parfaitement magnifiquement tip top cool génial et parfait. Rien que ça. lol!

FRÉQUENCE DE CONNEXION : Everyday, si c'est possible, of course. QUELQUE CHOSE A AJOUTER : Mh .. Je m'aime. héhé

CODE DU RÈGLEMENT : Validé par la big boss de la life, aka moi. Cool

A remplir pour le bottin :

Code:: [color=#cc3333]◖[/color] [b]FRANCISCO LACHOWSKI,[/b] a. daemon milosevic

- the story of my life shows me how to shine -

first chapter ◭ you tell me some stories but i just don’t want to know, no. i just don’t believe it.
C'était un matin de mars. Je n'avais que quatre ans et, pour la première fois, je venais de me réveiller tout seul. Habituellement, j'avais l'habitude de voir le visage de ma mère au-dessus du mien lorsque j'ouvrais les yeux pour la première fois de la journée. J'avais l'habitude de sentir ses douces mains caressées mon visage encore enfantin et joufflu. Mais, ce matin de mars, rien. Je me levais de mon lit et je sortais de ma chambre pour arriver dans le long couloir. Je fixais la grande horloge des yeux, plissant légèrement des sourcils en regardant les aiguilles. Je ne savais pas lire l'heure, j'avais juste appris à différencier la petite aiguille de la grande alors je ne savais pas l'heure qu'il était. La maison était silencieuse, pourtant, il y avait beaucoup d'employés. C'était bizarre .. Sans faire de bruit, je marchais vers l'escalier. « Oh, jeune homme. Ne devriez-vous pas être encore dans votre lit à cette heure-ci ? » Avais-je entendu une fois que je fus en haut de l'escalier. Rosa, une des employée, venait en effet de me remarquer. « Ma maman est où ? » Avais-je demandé automatiquement. Dans la minute qui suivait, Rosa avait dévié le regard. Cependant, j'avais pu voir le voile de tristesse qui venait de passer dans ses yeux couleur noisettes. Je descendais l'escalier presque en courant, manquant en plusieurs fois de rater une marche et de me casser la figure. « Elle est où ? Elle est où ? Elle est où ? Elle est où ? » Répétais-je sans m'arrêter une seule seconde pour reprendre mon souffle, le jupon de Rosa serrait dans mes petits poings. « Aleksandar, ça suffit ! » Mon père. Je me stoppais directement, tournant ensuite la tête vers le haut de l'escalier pour avoir mon père, qui semblait énervé, dans le visuel. Aleksandar Milosevic, troisième du nom. J'étais le quatrième et, bien que je n'avais que quatre ans, je détestais déjà le fait d'être un numéro. Mon père descendait les marches de l'escalier, faisant signe de la main à Rosa de partir et de nous laisser. Je lâchais donc le jupon de la jeune femme. « Mon fils, nous devons parler. » Me disait-il, en posant une main sur mon épaule. Je voyais dans ses yeux qu'il était plus que sérieux et me comporter en enfant pourri gâté ne ferait que l'énerver encore plus. « D'accord. » Déclarais-je doucement, lui prenant la main afin de le suivre jusqu'à son bureau. Une fois dans ce dernier, il me faisait m'asseoir dans l'un des fauteuils, se positionnant ensuite face à moi. « Mon garçon, j'ai une bien triste nouvelle à t'annoncer .. » Commençait-il par dire, avant de prendre un fauteuil et de le poser face à moi. Il s'y asseyait et prenait mes mains dans les siennes. « Ta maman .. Elle .. Elle nous a quittée dans la soirée. » Je le regardais, penchant la tête sur le côté. « Elle est allée m'acheter un cadeau en plus pour mon anniversaire ? » Lui demandais-je. Visiblement, je n'avais pas compris ce qu'il venait de me dire, ce qui était assez compréhensible. Mon père semblait gêné par ce que je venais de lui dire d'ailleurs. « Non mon fils. Elle est partie, dans le ciel, avec les anges. Pour toujours. » Rapidement, les larmes me montèrent aux yeux. Cela ne pouvait pas être vrai .. Je baissais la tête pour qu'il ne puisse pas voir mes larmes. « Non, vous mentez ! » Déclarais-je en secouant la tête de gauche à droite pour montrer mon désaccord. « Je ne mens pas .. » Il serrait doucement mes mains dans les siennes, ce qui me faisait relever le regard vers lui. Et ce que j'apercevais m'étonna sur le coup. Des larmes coulaient sur le visage de mon père. « Pourquoi ? .. Elle ne m'aimait plus ? J'ai été un mauvais garçon ? » Demandais-je à mon père. C'était peut-être ça. Je n'avais qu'à être un très bon garçon et elle reviendrait. J'en étais persuadé. « Non Aleksandar, tu es très bon garçon. Mais les anges avaient besoin d'un nouvel ange, d'un ange magnifique et aimant, comme ta maman et .. » « Mais moi je veux pas ! Je veux ma maman, les anges ils sont méchants ! » Avais-je coupé mon père. Non, ma maman devait rester avec moi ! Je laissais les larmes coulaient de mes yeux, ne les retenant plus une seule seconde. « Oui, très méchants .. » Lâchait mon père après quelques courtes secondes de silence. Je ne le savais pas encore, mais à ce moment-là, il ne parlait pas réellement des anges. « Pleure mon fils, tu as le droit d'être triste. » Ajoutait il en me prenant sur ses genoux, me serrant doucement contre lui. « Vous aussi, papa. » Et c'est ainsi que cette journée de décembre avait débuté pour moi. Par des larmes, de la rancoeur envers des "anges" et une infime tristesse.

second chapter ◭ and even when we're miles and miles apart, you're still holding all of my heart. i promise it will never be dark, i know .. we're inseparable.
« VINGT-HUIT, VINGT-NEUF, TRENTE ! J'ARRIVE ! » Hurlais-je en étant appuyé contre un arbre. Je me tournais ensuite pour faire face au reste du jardin, près à rechercher la personne qui jouait avec moi. Je marchais doucement, fouillant un peu partout, lorsque j'entendais un cri provenant de la serre de ma grand-mère. Ce cri, je le connaissais. Je courrais vers la serre, y pénétrant avec panique. « T'ES OU NATALYA ? » Criais-je à en perdre haleine. « ICI ! » Entendis-je quelques secondes après. Je fonçais alors vers la voix, trouvant une Natalya assisse dans la terre, les larmes coulant de ses yeux. « Qu'est-ce que t'as ? » Lui demandais-je en faisant les gros yeux. « Y a une bestiole là, j'ai peur ! » Me disait-elle en me montrant du doigt la terre un peu plus loin devant elle. Je marchais donc près d'elle, avançant vers l'endroit en question pour y découvrir .. un ver de terre. J'éclatais alors de rire, sous le regard furieux de mon amie. Je me penchais, ramassant le ver de terre entre mes doigts, puis je me tournais vers Natalya. « T'as peur de ça ? .. Fait gaffe, il va venir te bouffer ! » Lâchais-je en agitant le ver devant elle. Chose qui fit retentir un nouveau cri de sa part dans la serre. « T'es nul ! Je te déteste Alek, je te déteste ! » Me disait-elle alors que je riais encore à ma connerie. Ce que je n'avais pas vu venir, c'était qu'elle s'était relevée. Et, très vite, je me retrouvais les fesses dans la terre, la demoiselle sur moi. Je la regardais, la bouche grande ouverte. Et, elle, elle éclatait de rire. « C'est pas marrant, grand-mère va me tuer. » Déclarais-je en affichant une mise boudeuse. « Fait pas la tête ! » Lâchait-elle, avant de me faire un petit bisous sur la joue, ce qui me faisait vite retrouvé le sourire. Natalya, c'était ma meilleure amie. Ma seule amie au fond. Elle était celle qui me donnait le sourire quand ça n'allait pas. Elle m'avait aussi sortit de ma solitude et avait réussi à ouvrir ma coquille. J'étais beaucoup plus épanouie depuis que je la connaissais. Elle était aussi ma petite amoureuse parce que oui, j'avais aussi le droit à une amoureuse. « Tu les aimes, mes bisous, hein ? » Me demandait-elle, un air espiègle sur le visage. « Oh bien sûr que .. » « Mon dieu ! Monsieur Milosevic, mademoiselle Jovanovic ! Regarder dans quel état vous vous êtes mis ! » Me coupait Rosa. Natalya et moi, nous nous regardions rapidement avant de nous relever. « Votre père ne sera pas content, monsieur Milovesic ! Et que vont dire vos parents, mademoiselle Jovanovic ? » Nous grondait-elle. Avec Natalya, on regardait l'état de nos vêtements. Autant dire qu'on était tout sauf propres. Bonjour les problèmes. Je m'avançais vers Rosa, lui prenant la main des miennes. « Ne dis rien Rosa, je t'en prie. » Disais-je à l'attention de la jeune femme. De toutes les employées de la maison, Rosa était bien la seule à qui j'étais aussi proche. Sûrement parce que, depuis la "mort" de ma mère, elle avait remplacée ce vide en étant au petit soin avec moi. Comme une mère le ferait. Et elle était bien la seule dans cette maison à me donner véritablement de l'affection. « Vous aurez toujours raison de moi, monsieur. » Lâchait-elle dans un premier temps, laissant un soupir sortir d'entre ses lèvres. « Passer par la porte des employés et monter directement dans votre chambre. Je viendrais vous faire couler un bain et vous pourrez aller rejoindre votre père. » Complétait-elle en me faisant un petit sourire. « Merci Rosa ! » Disais-je avec un grand sourire, déposant ensuite un baiser sur la joue de Rosa. Je savais que j'avais de la chance de l'avoir.

third chapter ◭ some days, i feel broke inside but i won't admit. sometimes, i just wanna hide 'cause it's you i miss.
« Je ne veux rien savoir Aleksandar. Tu seras mon témoin au mariage, un point c'est tout ! » Me disait mon père. Je le regardais, le regard furieux. « Non ! » Lâchais-je en élevant le ton. J'étais à présent âgé de seize ans et mon père allait se remarier avec une femme que je n'appréciais pas du tout. Elle était gentille pourtant, mais c'était ainsi. Je ne supportais aucune des femmes que mon père m'avait présenté. La seule qui méritait la place de dame de la maison était ma mère, même décédée. « Je ne te demande pas ton avis mon fils. Tu le seras ! » J'enrageais en l'entendant me parler. De quel droit on pouvait tout décider à ma place ? Certes, cela avait toujours été le cas, mais là, j'avais bien le droit de donner ma position sur ce putain de mariage, non ? « J'AI DIT NON ALORS .. » Commençais-je par hurler. Et là, une chose se produisait sans que je m'y attende. Mon père venait de m'en foutre une. Il m'avait gifler, pour la première fois en seize ans. La main posait sur ma joue, je le regardais en faisant les gros yeux. Je voyais bien à sa tête qu'il regrettait déjà amèrement son geste. « J'aurais préféré vous voir mort à la place de maman ! » Lui balançais-je à la figure avant de partir en direction de ma chambre, laissant mon père complètement abattu par ce qu'il venait d'entendre. Une fois dans ma chambre, j'avais évacué ma rage en balançant tout ce qui me passait sous la main. Y compris l'un de mes jouets d'enfant favori. Et c'est là que je trouvais cette fameuse lettre : « Aleksandar, mon petit bout. Je ne sais pas l'âge que tu as à l'heure où tu lis ce message, à supposer que tu l'aies trouvé et eu entre tes mains. Mais en le lisant, tu comprendras que je ne suis pas morte. Du moins, je ne l'étais pas quand tu n'avais que quatre ans, non, j'étais bel et bien vivante. Je ne sais pas si je le serais encore au moment où tu lieras tout ceci, mais je tiens à te l'expliquer. Tu as dû le voir où tu le verras plus tard, la famille de ton père est très stricte au niveau de ton éducation. Je n'ai pas voulu céder à certains points te concernant et ils ont donc voulu me faire partir du pays, m'exclure totalement de ta vie. Ils ont tellement de pouvoir en Serbie que rien n'est impossible pour eux .. J'ai cédé, je suis partie sans te dire au revoir. Si tu savais à quel point cela m'a déchiré le coeur de te laisser .. J'espère toutefois que tu auras, ou que tu as eu, une très belle vie. N'ait pas de rancune envers ton père, il n'a agi que sous l'influence de tes grands-parents en pensant bien faire. Il t'aime Alek et ne pense jamais le contraire .. Si tu veux me voir après avoir lu tout ça, je me trouverais en Angleterre et je t'attendrais, jusqu'à la fin de ma vie. Je te joins à cette lettre l'adresse de tes grands-parents maternelles, afin que tu puisses me retrouver avec plus de facilité. Je t'embrasse mon doudou et sache que je t'ai aimé et que je t'aimerais toujours. Ta maman. » J'étais resté sur le cul après avoir lu cette lettre. Ma mère était vivante .. « Alek ? » Entendis-je derrière la porte alors que j'étais toujours dans mes pensées après cette révélation. Natalya. Je restais quelques minutes avec la lettre dans les mains, me demandant si je devais lui en parler ou pas. Et finalement, je la rangeais dans le tiroir de ma table de chevet. « Entre. » Lâchais-je doucement après m'être assis sur mon lit. Je voyais mon amie entrée dans ma chambre et refermer la porte derrière elle. « Ton père m'a dit de venir .. » Me disait-elle tout en s'asseyant à mes côtés. Elle prenait ensuite ma main dans la sienne, la serrant doucement, tout en caressant le dos de main avec son pouce. Je me laissais tomber sur le dos sur mon lit, un bras sur mes yeux. Puis, je tirais sa main avec la mienne pour la faire venir contre moi. Je lâchais ensuite sa main, passant un bras dans son dos. Et je la serrais ainsi doucement contre moi. « Serre moi fort, Nat .. » Déclarais-je doucement, une voix presque suppliante. Et la demoiselle ne se faisait pas prier pour exécuter ma demande.

fourth chapter ◭ if you had one shot or one opportunity to seize everything you ever wanted in one moment, would you capture it or just let it slip ?
« Aleksandar, excuse toi tout de suite auprès de ta mère ! » Je regardais mon père, un air ahuri sur le visage. Ma mère ? Depuis quand sa femme avait eu le droit de prendre cette place pour ma personne ? « Elle n'est pas ma mère. » Lâchais-je en fixant mon père dans les yeux. Je voyais bien que je l'énervais à l'instant même en voulant me rebeller une fois de plus, comme je l'avais fait pendant ces deux dernières années. « Aleksandar ! Tu t'excuses, maintenant ! » Disait mon père, en haussant un peu plus le ton. Putain .. Que pouvais-je faire à part céder ? Mon père ne me laisserait pas tranquille avant que je demande pardon à sa femme, je le savais. Le reste de la soirée serait encore plus pourrie qu'elle ne l'était déjà et je rêvais d'une bien meilleure soirée pour mon dix-huitième anniversaire. « Je vous demande pardon. » Déclarais-je à l'attention de la femme de mon père. Je m'apprêtais ensuite à quitter la pièce, mais c'était sans compter sur l'entêtement de mon père d'entendre le mot "mère" sortir de ma bouche pour sa femme. « Pardon qui ? Aleksandar, tu n'as pas fini. » Je serrais les poings en entendant ce qu'il me disait. S'il croyait que j'allai m'abaisser à l'appeler "mère", il se fourrait le doigt dans l'oeil. « Cela me va comme excuse. Tu peux monter, mon fils. » Entendis-je alors que je m'apprêtais à me retourner vers mon père et sa femme. Autant dire que cela me surprenait assez. Je tournais alors la tête vers eux, regardant la femme de mon père. Cette dernière me souriait. Mais merde, elle n'avait pas le droit d'être aussi gentille avec moi ! Leur tournant à nouveau le dos, je marchais vers ma chambre sans rien dire de plus. « Monsieur ! Mademoiselle Jovanovic vous attend dans votre chambre. » Avais-je entendu alors que je me trouvais à marcher dans le grand couloir pour rejoindre ma chambre. Je me tournais vers Rosa, en faisant les gros yeux, chose qui la faisait légèrement rire. « Dites lui d'être plus discrète lorsqu'elle passe par l'entrée des employés. » Ajoutait-elle en me souriant. Je lui souriais en retour et j'entrais ensuite dans ma chambre, découvrant Natalya allongée sur mon lit. En me voyant, elle se mettait debout sur le lit et, alors que j'approchais du lit, elle me sautait dessus. « BON DIX-HUITIÈME ANNIVERSAIRE, MON ALEK ! » Criait-elle, le sourire aux lèvres, les bras croisés autour de mon cou et les jambes serraient autour de ma taille. Je passais un bras dans le bas de son dos pour la tenir contre moi, tandis que je posais ma main de libre sur sa bouche. « Tais toi ! Mon père pourrait t'entendre ! » Déclarais-je en étant beaucoup plus méchant qu'à l’habitude avec elle. Je le comprenais en voyant son regard et je regrettais bien vite mes paroles. « Je veux dire .. Merci. » Me reprenais-je bien vite en lui souriant. Puis, sans attendre un peu plus, je me laissais tomber sur le lit, l'entraînant avec moi. Je plaçais mes mains de par et d'autre de sa tête, afin de m'appuyer dessus et de ne pas l'écraser complètement. « Bon, il est où mon cadeau ? » Lui demandais-je avec un air taquin. Natalya passait une main dans mes cheveux, puis sans crier garde, elle nous faisait basculer, se retrouvant ainsi sur moi. « Eh bien .. Tu l'as devant toi, ton cadeau. » Lâchait-elle tout simplement, en se mettant assisse sur mes cuisses, avec un air amusé sur le visage. Je me relevais, plaçant mes mains dans le bas de son dos. « Je comprends pas ce que .. » Commençais-je par dire, avant de me faire interrompre par Natalya. Cette dernière avait en effet posé un doigt sur mes lèvres, me faisant signe de me taire. Je fronçais les sourcils, la voyant s'approcher un peu plus. Et alors que je sentais son souffle sur mes lèvres, je comprenais bien vite où elle voulait en venir. Nos lèvres se scellèrent, pour la première fois. Un baiser tendre, timide, devenant rapidement un peu plus passionné et fougueux. « J'adore ton .. » « Tu parles trop, Milosevic. » Me coupait mon amie, me faisant légèrement sourire. Un autre baiser coupait court à toute conversation. Et cette nuit était devenue la nuit des premières : notre premier baiser, notre premier baiser et la première fois qu'on se rendait compte des réels sentiments qu'on avait l'un pour l'autre. Pourtant, le lendemain, je n'avais pas pu m'empêcher de partir comme j'avais prévu de faire deux auparavant. J'étais parti, en la laissant là, dans mon lit. Sans un mot, sans un baiser, sans un adieu. J'étais parti comme un voleur.

fifth chapter ◭ i wanna heal, i wanna feel like i'm close to something real. i wanna find something i've wanted all along, somewhere i belong.
« Bonjour, je suis bien chez monsieur et madame Smith ? » Demandais-je au monsieur qui venait de m'ouvrir la porte de la maison où je venais de sonner. Cela faisait plusieurs mois que j'étais en Angleterre et, après avoir pesé le pour et le contre, j'avais pris mon courage à deux mains et j'étais allé à l'adresse que ma mère m'avait laissé dans cette lettre. J'avais donc sonné et je me retrouvais devant ce monsieur. « Oui, c'est bien ici. Je peux t'aider mon garçon ? » Me demandait le monsieur qui, j'en étais persuadé à présent, était mon grand-père. Luttant contre moi-même pour me laisser aller dans ses bras, je me contentais de sourire doucement. « Oui. Je recherche votre fille, Elena. Vous pourriez me donner son adresse ? » Le questionnais-je à nouveau. Au fond, je devais d'abord rencontrer ma mère avant de dire, directement et sans ménagement, à cet homme que j'étais son petit-fils. Imaginer deux minutes le choc qu'il aurait sinon. Il pourrait avoir une crise cardiaque et ça serait dommage. « Oui, bien sûr. Je vous donne son adresse immédiatement. » Et c'est ainsi que j'obtenais l'adresse de ma mère. Je n'hésitais pas une seule seconde pour m'y rendre et à la vision de sa maison, le stress ne faisait que s'accentuer. Me reconnaîtrait-elle ? Serait-elle heureuse de me voir ? Plein de questions qui trouveraient des réponses dans quelques minutes. Les mains moites, je sonnais à la porte. Cette dernière s'ouvrant quelques secondes après, devant une jolie dame qui ne m'était pas inconnu. Ma professeur de photographie. C'était donc elle ma mère ? « Oui ? » Me demandait la femme. « Euh .. Je .. » Disais-je, en buttant sur mes mots. Putain de stress. La femme, ma mère, eut un léger rire. « Vous êtes l'un de mes élèves, il me semble. Que vouliez-vous ? » Me questionnait-elle en me souriant. Et moi, j'étais pendu à ses lèvres. Elle était vraiment belle, ma mère. « Eh bien, en fait, je voulais vous dire que je .. » « Maman ! J'ai besoin de ton aide ! » Me faisais-je coupé par l'arrivée d'une jeune fille. Je fronçais légèrement les sourcils. Maman ? Je posais de nouveau le regard vers la femme et, là, je voyais quelque chose qui m'avait échappé juste avant. Son alliance. Elle était mariée. Elle avait remplacé mon père, comme lui il l'avait fait pour elle. Et, automatiquement, je me disais qu'elle m'avait remplacé aussi. « Ma chérie, tu vois bien que je suis occupée ! » Disait-elle dans un premier temps à la jeune fille. « Désolé pour cette interruption. Vous vouliez me dire quoi ? » Me demandait-elle ensuite, avec toujours ce même sourire que je trouvais magnifique. Pourtant, l'espoir de la retrouver venait de se briser. « Euh .. En fait, je voulais vous demander quelque chose par rapport au cours, mais je viens de trouver la réponse à ma question. » Déclarais-je rapidement, sous son regard intrigué. « Désolé du dérangement. Au revoir, madame. » Ajoutais-je aussi rapidement que ma phrase d'avant. Et je tournais bien vite des talons, afin de ne pas l'entendre parler. C'était suite à ces retrouvailles décevantes avec ma mère que j'avais commencé l'alcool, la drogue et les fêtes. J'avais commencé à changer et j'étais devenu un véritable petit con. Je faisais croire à tout le monde que j'en étais fier, alors qu'au fond, j'avais un putain de gros vide en moi. J'étais un bon menteur, j'arrivais à faire croire que j'allai bien à tout le monde. Et puis, elle était arrivée. Elle avait débarqué à Londres et avait refait surface dans ma vie. Je l'évitais pendant un bon moment, mais la chose serait inévitable. J'allai devoir lui faire face tôt ou tard. Et cette confrontation ne serait pas de tout repos, autant pour elle que pour moi, car j'avais beau avoir un coeur de pierre à présent, ça ne changeait pas le fait qu'elle m'avait terriblement manqué. Qu'elle me manquait toujours. Ma Natalya.

Allez courage, je crois en toi superman

Merci, merci. Ça me touche ta croyance en ma personne. mooh

Je boucle la partie de Dae' tout de suite. yes

Je meurs devant ta beauté respect

Oublie pas que tu m'appartiens rien qu'à moi et que jsuis gay rien que pour toi parce que tu me fais trop rêver bave

bref

koukou on est beaux:

On est trop keunoooons ! yeahh

Je n'oublie pas, je t'appartient corps et âme mon amoureux de moi. héhé

A. Daemon Milosevic a écrit:: les campeurs dans mw3 (bande de connard, wesh)

Merde c'est moi ça caché

Euké je retiendrais bien ça alors héhé

T'es un campeur dans mw3 ? Surprised

Retient tout ça, mon mari. Retient tout ça. héhé

weee parce que je sais pas jouer si je me montre je crève en 30sec Crying

Bah vouaip, je comprends buuut .. Les campeurs c'est trop chiant pour ce qui veulent jouer. Crying

Heureusement que je joue jamais Rolling Eyes

Nan mais quand je joue j'essaie de pas camper mais je laisse vite tomber car jsuis vraiment une merde quoi ! Même en campant je touche personne looser

MDRRRRRRR ! T'es vraiment aussi nulle que ça ? Surprised

Je suis sûr que tu te rabaisses un peu trop là. smile

» il était un petit homme .. pirouette cacahuète (a')
» JAXEN △ C'est un homme qui rentre dans un bar, il dit "C'est moi !", mais en fait c'était pas lui.
» jaxen △ c'est l'histoire d'un homme qui a cinq pénis, son slip lui va comme un gant.
» Lilly Pearl Rosebird ~ « Car ensemble rime avec désordre, et l'homme que tu es n'est plus que discorde. »
» Si t'as pas d'amis, fumes une souris!

on a tort de juger un homme sur ses fréquentations. judas, par exemple, n'avait-il pas des amis exemplaires ? + dae.

on a tort de juger un homme sur ses fréquentations. judas, par exemple, n'avait-il pas des amis exemplaires ? + dae.

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