une prise de responsabilités s'impose ◮ students.

Un événement grave avait eu lieu au Royal College of Art, il y a de cela quelques mois, lors de la soirée du nouvel an organisée par tout le personnel de l'université. Effectivement, j'avais été drogué à mon insu par quelques étudiants présents ce soir-là. Je n'avais aucune idée sur ce qui s'était vraiment passé, ni dans quelles circonstances, car je ne me rappelais pas du tout avoir bu ou pris quelque chose qui aurait pu me mettre dans un tel état. C'est un de mes collègues qui m'a retrouvé seulement le lendemain matin, dans la salle de fête, allongé sur un canapé et encore assommé par ce que j'avais ingurgité la veille. Après cet épisode dramatique, nous avion discuté entre professeurs afin de trouver une solution pour que les coupables se dénoncent, et prendre les décisions qui s'imposaient. Tenter de les responsabiliser en leur faisant avouer leur acte ne fût pas une solution concluante, puisque personne ne se manifesta jusqu'à aujourd'hui encore. Face à cet insuccès, nous avons décidé de prendre des mesures plus radicales. Il a été évoqué que l'université pourrait fermer ses portes si le ou les coupable(s) n'assumai(en)t pas en ne se dénonçant pas. Si l'idée avait pour le moment juste fait le tour du corps enseignant, il fallait maintenant en informer les étudiants. Peut-être qu'une prise de conscience suivrait. C'est donc un courrier que chacun d'entre eux a reçu à son domicile, les convoquant dans le foyer à une date et heure très précises. Tous y étaient conviés. Ceux présents lors que la soirée, tout comme ceux qui n'étaient pas là. Le moment venu, chacun commençait à pénétrer dans la grande salle et à s'installer sur les sièges que nous avions prévus pour l'occasion. « Installez-vous rapidement et en silence s'il vous plaît » déclarais-je, tout en jetant un regard à mes collègues professeurs qui se tenaient juste derrière moi, pour m'appuyer en cas de besoin.

Bon aller, je m'ennuie donc j’inaugure Yeaaah

« Si je prétendais assumer à l'infini les conséquences de mes actes, je ne pourrais plus rien vouloir.  »

we are young.

Ce jour-ci aurait pu être un jour parmi tant d’autres qui cette journée avait été différente. Je me souviens m’être levée en catastrophe après que mon réveil n’est pas sonné. Je me suis donc précipitée vers la salle de bain pour me préparer en quatrième vitesse puis, c’est en me rendant dans la cuisine que mon regard fut attiré par ce petit morceau de papier posé sur le buffet. J’ai pris une pomme en main avant de planter mes crocs dedans et j’ai survolé des yeux cette courte information. C’est à cet instant précis mon cerveau se mit alors à fonctionner correctement… Le rassemblement au foyer ! Ecarquillant les yeux, j’ai balancé ma pomme à la poubelle et je suis partie me changer. J’ai enfilé la première robe qui m’est passé sous la main, j’ai couru jusqu’à la salle de bain pour me maquiller à la vas-vite et, j’ai pris la route pour me rendre à l’université. Me voilà donc en train de airer dans les couloirs de l’université, mon sac de cours sur bras, encore essoufflée par tout le trajet que je viens de me taper, à pieds. Je rentre dans le foyer, par chance je n’ai pas l’air d’être la dernière. Je prends place sur la première chaise libre avant de me tourner vers le groupe d’étudiants qui se trouvait à côté de moi. Vous savez pourquoi on est là au juste ou… ? C’était sûrement un mystère pour tous or, de temps à autre, des bruits circulent dans les couloirs et on finit par savoir ce qu’il se passe dans notre établissement scolaire. Le moins que l’on puisse dire, c’est que je déteste ce genre de rassemblement, ça s’annonce toujours mal pour nous… Le seul point positif, c’est qu’ils nous font rater des cours avec leurs conneries. Ouf !

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Une prise de responsabilités s'impose.

Ce matin en recevant la lettre du Doyen je me suis mise à franchement paniquer. Ca commençait à devenir sérieux tout ça... Un peu trop à mon goût d'ailleurs ! Il nous convoquait soit, mais pourquoi ? pour faire en sorte que le responsable se dénonce ? J'espère pas parce que devant tout les élèves c'est hors de question à mon avis !
Et s'il fermait l'école ?! Se serait tout mes rêves qui s'écrouleraient... Il est hors de question que ça arrive, vraiment il va falloir faire quelque chose et vite. Mais qu'est-ce que je peux faire après tout ? Il faudrait que le ou les coupables aient une prise de conscience, parce qu'ils sont en train de mettre en péril plusieurs centaines de rêves de carrière là...
Dont la mienne, et ça ça reste inacceptable ! Bref... Il était l'heure, je me dirigea donc vers le foyer, la boule au ventre, afin d'assister à tout ça. Des sièges avaient été installés pour l'occasion et je pris place au fond de la salle, dans un coin histoire de me faire la plus discrète possible.
Je voulais pouvoir observer les réactions des élèves et non pas attirer l'attention du Doyen, donc le fond de la salle paraissait un bon emplacement. La salle se remplit peu à peu et j'observais chacun des élèves qui passait le seuil de la porte. Certains n'étaient même pas à la soirée, ils ont été conviés aussi ? C'est étrange.... Le Doyen voulait-il mettre la pression en incluant le plus de monde possible à tout ça ? On verra bien.

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une prise de responsabilité s'impose.

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ft les édudiants.

Ma nuit c'était mal passés et pour cause mon mal de tête qui me donnait juste envie de foncer dans un mur. Et alors que je commençais à bien me rendormir, mon réveil se mit à retentir pour finir dans la poubelle au bout de même pas deux minutes. C'est toujours en traînant des pied que je me rendis dans la salle de bain afin d'entrer dans la douche qui peut être me réveillerait un peu mieux. Une fois terminés, je sortit et direction garde robe. 5, 10, 15 puis 20 minutes et je poireauté encore devant ma garde robe. C'était toujours aussi dur de choisir mes vêtements, c'était la chose que je détestais le plus. Au final, j'opta pour un jean délavés, un débardeur blanc et ma veste suivi de mes rangers avant d'attacher mes cheveux. Une fois prête, maquillée et parfumée, je descendis mes escaliers et attérit directement dans la cuisine me préparant un café bien chaud avant de remarquer cette petite lettre qui venait de l'université. Après avoir bu une gorgée, j'ouvris l'enveloppe et lisais attentivement ce qu'il était écrit et je me mis à éclater de rire, allez savoir pourquoi. J'attrapa mon téléphone et me mit à appeler Julian pour lui dire si il avait reçu, c'était affirmatif et lui dit aussi qu'avant d'aller en cours, qu'il venait me chercher ayant la flemme de prendre ma voiture. Je finissa mon petit déjeuner et me fuma une clope à la fenêtre zieutant son arrivée qui ne devrait pas tarder. Au bout de dix minutes, il se pointa klaxonnant m'avertissant de sa présence, j'attrapa alors mon sac, portable dans la poche, quelques gouttes de parfum et me voila dans sa voiture lui faisant la bise et il démarra. Pendant toute la route, on parla de cette lettre qui m'avait fait rire et une fois garé au parking, on sortit côte à côte vers le foyer. Les gens arrivaient petit à petit et le monde se faisait ressentir. Je pris la main de Julian afin de monter le plus haut possible afin qu'on puisse rigoler un peu comme le premier jour où on s'est rencontré et maintenant, on se quittais plus. « Salut tout le monde ». Lâchais-je dans un premier temps leur adressant un sourire avant de me retourner vers Julian. « Tu sais c'est pour quoi cette convocation ? ». Demandais-je tout de même si lui il savait enfin ce qui m'étonnais royalement xD.

code fiche par alaska.

Une prise de responsabilités s'impose
Ft. les élèves

Pour une fois j'étais réveiller à l'heure, mon lit vide, Marilynn n'avais pas dormi avec moi la nuit dernière. J'en avais profité pour me coucher tôt et pouvoir me lever à l'heure pour me rendre en cours. Je me réveillai donc avec une bonne heure d'avance. Je bus mon café et pris ma douche quand je sortis en serviette je vis dans la cuisine une lettre de l'université indiquant que l'on était tous convoqué au foyer, bien sûr je savais pourquoi sa parlait beaucoup dans les couloirs, cette convocation était faite pour dénoncer le ou les coupables qui ont drogué le doyen mais parlé de fermer l'université pour ça, ça me semblait extrême et surtout je ne souhaitais pas repartir chez mes parents et perdre tous mes amis. En parlant d'amis mon téléphone se mit à sonner, je vis écrit Kristina. Elle me demanda si j'avais reçu la lettre puis on convenu que je venais la chercher pour aller en cours. Je m’habillai donc et pris la route de chez Kristina, je klaxonnai devant chez elle, elle me rejoignit elle était prête à l'heure sa me semblait même bizarre mais bon je lui souris et lui fit la bise. On arriva à l'université ou tout le monde s'apprêtait à rentrer en même temps, elle me donna la main pour ne pas que l'on se perde exactement là où l'on s'était rencontré, on arriva vite au foyer ou pas mal de monde était déjà installé, Kristina salua les autres, je fis de même a mon tour puis elle me demanda pourquoi on était convoqué :Je crois que c'est pour cette histoire à nouvel an mais bon je n'en sais pas plus que toi.

Il y a quelques jours, Emily et moi avons reçu le même courrier nous invitant à nous réunir ce jourd’hui dans la salle la plus grande de l’établissement. J’avais tout de suite comprit que ce ne serait pas pour nous parler de nos résultats scolaires. Que se passait-il ? Je n’en savais rien. Mais je n’allais pas chercher à discuter, quand un courrier vient du directeur de l’école en personne, on se doit d’obéir, d’être un élève modèle. Surtout quand on a un mauvais pressentiment. Car oui, j’avais un mauvais pressentiment. Et je n’étais pas la seule. D’après ce que j’avais entendu, tous mes camarades avaient reçu cette lettre et tous avaient tendance à s’inquiéter. Rapidement des bruits de couloir nous dévoilèrent de quel sujet le directeur allait nous entretenir : la soirée du nouvel an.

Quelle soirée !! Je ne me souviens pas beaucoup de ce que j’y ai fait, de qui j’y ai vu. Mais ce n’est pas le problème majeur. Le problème est en fait que quelqu’un avait drogué le directeur lors de cette célébration. S’en été suivi un conseil de la part du corps professoral dans sa majorité : se dénoncer. En effet, il nous avait été demandé de se dénoncer si nous étions coupables, ou si nous avions une certitude le concernant. Mais c’est plutôt dangereux d’écouter cette dernière proposition, parce cela peut se résumer à suivre des ragots. Et les ragots, ce ne sont pas vraiment ce que l’on peut appeler des sources sures.

Un quart d’heure avant le début de la réunion, j’entre dans la pièce. Les élèves ont pris d’assaut les rangs du milieu : ni trop près ni trop loin. Je n’ai pas peur de me retrouver au premier rang, loin de là, mais j’opte tout de même pour une place un peu plus éloignée. Je m’assoie et pose mon sac à terre puis regarde les gens entrer en masse dans la vaste pièce. J’entends des murmures venir de toute part. Les professeurs sont déjà là ainsi que le directeur. Les élèves sont priés de se dépêcher de s’asseoir. Contrairement à ce que je m’attendais, le temps passe rapidement et bientôt tous les élèves sont entrés et installés. Je ne dis rien, j'attends impatiente de savoir ce qui va être dit.

UNE PRISE DE RESPONSABILITÉS S'IMPOSE ► Il semblait que les cours de la matinée allaient être remplacé par un entretien collectif dans le foyer, avec le doyen et tous nos professeurs. Effectivement, nous avions reçu un courrier quelques jours auparavant pour nous annoncer la nouvelle. Lors de la soirée du nouvel an organisée par l'université, le doyen avait été drogué, et on ne savait toujours pas qui avait pu faire ça. Le ou les coupable(s) tardant à se dénoncer, le personnel avait décidé de prendre les choses en main pour nous forcer à prendre nos responsabilités. Enfin, surtout ceux qui avaient fait quelque chose, parce que je n'y étais pour rien personnellement. Et j'espérais ne pas avoir à payer pour les autres. Je trouvais ça plus qu'injuste. Il se murmurait même depuis quelques jours que l'université pourrait fermer ses portes. Ce serait quand même extrême, et ce serait briser les rêves de tout le monde. Alors que certainement les trois quarts des étudiants n'avaient rien à voir là-dedans. Je m'étais donc préparé assez rapidement, pour me rendre au foyer aussi vite que possible. J'aimais autant arriver dans les premiers pour observer les autres, et tout voir de ce qui allait se passer. Quand je fus sur place, je remarquais déjà quelques têtes connues. Mes deux meilleures amies n'étaient pas encore là, j'espérais qu'elle ne tarderaient plus. Je vis Skye et Charlie, puis me dirigea dans leur direction, afin de m'installer près d'elles. « Ça va les filles ? » leur demandais-je, en chuchotant. Il ne valait mieux pas que je me fasse remarquer maintenant. « Je sais pas ce que ça va donner ça encore » déclarais-je en soupirant. J'aurais préféré être chez moi en ce moment, je ne savais pas à quoi m'attendre suite aux différentes discours des professeurs, et à celui du doyen. C'était encore une belle leçon de morale qui nous attendait.

DOLCE - NON! JE VEUX PAS Y ALLER! J'IRAIS PAS JE TE DIS! LACHES-MOI! MAIS MAMAAAN!!!

Je m'accrochais à la table du salon tant bien que mal, Justin se marrer, papa travaillait et Danny avec ses gros muscles tout dégeu me tenait jusqu'à tant que je lâche cette foutu table aidé par maman! Il y n'y aura donc jamais de justice dans cette baraque! C'est toujours LA plus faible qui se fait niquer, y en a marre! marre! MARRE! ... L'embrouille du jour? C'est que je savais très bien qu'on allait ENCORE se tapper une morale de par le doyen de la ville et les enseignants! Ca leur arrive d'avoir des idées sympathiques à ces gens?! Non mais au cas où vous aviez pas compris, ça fait des jours que je suis sur les nerfs! J'en ai ras le bol de toutes ces conneries! En plus, étant une habituée des conneries en tout genre, il a fallu qu'on m'accuse MOI, DOLCE MADISON BEN! NON MAIS ILS SONT SERIEUX?! Vous avez vu ma tronche?! T'as vu ma mère un peu?! Le jour où je me promène avec de la drogue mais... JOMEURS! BREF!
J'ai fini par faiblir et c'est en larmes que mon frère m'a salement jeté dans la voiture pour aller en cours, la belle affaire! Toute la matinée j'étais en train de tapper des pieds, de râler dans mon coin, d'insulter les gens et même de faire la malade histoire qu'on me renvoie chez moi mais non! Rien à faire avec ces gens-là, ils m'ont gardés! Et maintenant quoi? Maintenant t'as Danny qui me tient par la main et qui me fout bieenn la honte devant tout le monde -tout le monde sait qu'on est frère/soeur- juste pour être suuuur et certain que je vienne à cette réunion de trou du cul!

Mon arrivée s'est à peine remarqué entre les gens qui se tournent vers moi et Danny pour se marrer, moi qui tire la tronche, Justin qui marche 3mètres derrière nous en faisant style qu'il nous connait pas et qui en définitif gueule du style "JE LES CONNAIS PAS.. C'EST QUI CES DEUX? .. JE LES CONNAIS PAS..." et l'autre timbré là qui me balance sur une chaise au PREMIER RANG! NAMEHO! Puis v'la pas que je me retrouve au milieu de ces deux crétins maiiis FUCK!

DOLCE - Dann..
DANNY - Te!! Chut!
DOLCE - MAIS..
DANNY - Chuuuuuuut...

Et en plus il me colle son gros doigt sur ma bouche! NAHMAISJOREV! La honte!

UNE PRISE DE RESPONSABILITÉS S'IMPOSE ► Une lettre nous était parvenue il y a peu. Celle-ci était évidemment signée du Doyen. Ce dernier avait été drogué lors de la soirée organisée pour le nouvel an. Personne ne savait qui était derrière tout cela, et le personnel de l'université entendait bien le découvrir. Ce courrier nous annonçait donc un rassemblement ce matin même, au foyer de notre lieu d'études. Voyons le bon côté des choses, on perdrait un peu de temps sur les cours de la matinée. Sauf que je savais déjà d'avance qu'une leçon de morale nous attendait et que ça risquait fortement de m'énerver. Je n'aimais pas vraiment qu'on me dise ce que je devais faire. Pourtant, j'allais devoir m'accommoder de tout ça. Dans le pire des cas, je ne ferais que grommeler dans mon coin. Rien de plus, ni de moins, que d'habitude. Je m'étais donc préparée comme chaque matin, avant de me rendez au lieu donné. Alors que je pénétrais dans la salle principale où étais déjà installée quelques étudiants, je ne remarquais pas ma meilleure amie, ni mes amis les plus proches. Seulement quelques connaissances, avec lesquelles je n'avais jamais rien approfondi. Génial, je ne savais encore pas où j'allais aller me mettre en attendant qu'ils arrivent. Pour une fois que j'étais à l'heure à un cours, eux avaient décidé d'être en retard. J'essaierais de me rappeler que je leur dois une leçon de morale aussi pour la peine. J'évitais soigneusement les premiers rangs, réservés aux premiers de la classe, et me mettais en retrait, sur le côté. Je comptais bien avoir une vue d'ensemble pour tout surveiller, et plus particulièrement l'arrivée des derniers. Je soupirais déjà d'ennui et d'impatience. C'est seulement à ce moment-là que je remarquais Dolce, une des plus jeunes étudiantes de l'université. Elle était dans les premiers rangs, cette vision assez unique me fit tout de même lâcher un petit rire. Cette situation ne se reproduirait pas de sitôt, et on avait dû la forcer pour la faire asseoir dans le coin. C'était le seul moyen à mon humble avis.

Une prise de responsabilités s'impose.

La salle se remplissait petit à petit, et chaque élève paraissait intrigué de e qui allait se passer. Personnellement j'étais plus qu'intriguée, j'était terrifiée oui ! L'idée qu'ils puissent fermer cette université m'était inconcevable. J'avais mes rêves, et je n'étais pas encore assez connu dans ce milieu pour pouvoir me passer de mes études et de ce diplôme ! Alors il était hors de question qu'ils ferment tout ça, fermant par la même occasion mon accès à mes rêves.
Je n'avais pas tant bu que ça à la fête, et j'en gardais de très bon souvenirs... Tiens en parlant de ça, voilà que j'apercevais Dolce. Elle n'avait pas l'air d'être là de son propre gré, et on l'installa au premier rang presque de force. J'aurais aimé aller la voir, lui parler... Oh et puis zut qu'est-ce qui m'en empêche ?! Je pris mon sac et me leva discrètement en direction de la blondinette. Il restait une place derrière elle. Je du enjamber plusieurs sièges mais j'y suis arrivée. Je m'avança de sorte à être tout proche de son oreille et lui dis:

- Alors, tu comptes nous faire un aveu magistral ou tu vas te cacher encore longtemps ?

Oui j'étais peut être un peu piquante, mais j'avais peur pour mon avenir et ça, ça passait avant tout. je me fichais de ce qu'elle pouvait penser de moi, ni même si elle m'apprécierait, peu importe, je voulais savoir que mes rêves pourraient se réaliser, pas qu'ils seraient détruit par lâcheté de sa part.
Je sais bien que Dolce n'est pas le genre de fille rebelle qui se fout de tout, mais là il n'était plus question que d'elle...
Avant qu'elle puisse dire quoique se soit, je renchéris, pour qu'elle sache que je ne l'accusait pas uniquement elle:

- D'ailleurs il est où ton ami Eyden ? Il n'a pas voulu venir ?!

Son "ami" oui... Un ami comme ça je l'aurais vite rayer de mes contacts mais passons, ce n'est pas mon problème ça.

Je m'enfilais bonbon sur bonbon histoire de passer le temps, quand une voix sorti de nul part me fit sursauté! Les quelques bonbons en mains volèrent en éclat et un léger "HOAN' sorti de ma bouche exprimant la frayeur que l'autre follasse venait de me faire! J'allais pas cherché à comprendre d'où elle venait ou pourquoi elle avait fait ça, je comptais plus la renvoyer d'où elle venait, point barre! Nameho, elle se prend pour quoi celle-là? T'es pas la reine d'angleterre chérie, retournes chez ta mère!

DOLCE - NAMEHO! Ca va pas toi! Tu veux me faire crever ou bien? Allô, la meuf, elle débarque comme ça! Non mais allô quoi! C'est comme si je disais la meuf elle est magicienne, Allô! Tu débarques et t'es magicienne? JE VAIS TE FAIRE BOUFFER DU LAPIN ALORS!

Gueuler est tout à fait dans mes capacités, d'ailleurs, c'est ma marque de fabrique et je l'assume: je ne parle pas, je GUEULE! Tout le temps! Sans jamais qu'on s'y attende! Bref, l'autre là, elle me parle d'Eyden nan mais WTF? Puis d'abord, arrêtez de m'accuser à tord! Je suis pas non plus à l'origine de tous les crimes en ville, j'ai plus intéressant à faire quoi..

DOLCE - Premièrement, le seul aveu que je vais te faire c'est mon poing sur ta figure et il sera aussi magistral que tes accusations, Madame Je Juge Sans Savoir! Deuxièmement, Eyden n'est pas ici -m'adressant à mes deux frères l'espace d'un instant je leur recommandais de fermer leurs bouches, pour rester polie avec vous- et j'en ai rien à foutre de savoir s'il n'a pas voulu venir ou s'il est venu! On est pas marié, on a rien qui nous lie, alors tu vas fermer ta GRAAAANDE bouche et retourner t'asseoir! J'aimerais bien dormir en silence maintenant que j'ai plus mes bonbons... Oh, et sois gentille, vires ton cul loin de moi!

Disais-je d'un sourire le plus faux cul du monde! En vérité si je voulais pas venir, c'est parce que ça fait des jouurs que les étudiants m'accusent! Genre, c'est forcément Dolce, elle fait toujours des conneries! Toutes manières, c'est toujours pareil: c'est la plus jeune du bahut qui prend tout dans les dents! Puis, il est où ce con d'Eyden tiens au fait?!!

“ – i just need my friend. ”

ft.Les élèves.

Merveilleux ! Que rêvez de mieux pour cette fin de journée qu'une convocation dans le grand amphithéâtre par le Doyen. C'était tout sauf le moment, entre ce que Noah m'avait avoué récemment et mon frère avec qui sa commençait tout juste à s'améliorer, je n'avais pas du tout envie de passer mon début de soirée ici surtout si dans passer mon début de soirée ici, je devais éviter, à nouveau Noah, comme tous les jours. Je ne savais pas pourquoi, mais je savais très bien de quoi on allait parler, le problème c'est que de cette soirée je ne pouvais pas en parler car je ne savais pas ce qu'il s'était passé. En arrivant je cherchais des têtes que je connaissais, il y avait presque tous les élèves, au fond j'avais déjà repéré Kat, je m'apprêtais à la rejoindre lorsque je me rendis compte que Noah était pas loin d'elle et que j'allais devoir lui passer devant et c'était chose que je ne pouvais pas encore le faire, surtout que Nathanaël était pas loin, et sentir leurs regards sur moi et surtout leur chuchotage sur mon passage. Oui, je devenais vite paranoïaque. « Installez-vous rapidement et en silence s'il vous plaît. » Et bien c'est partie, l'heure de vérité va arriver. Je pris la première place que je trouvai, je m’installai vers Heaven. Je ne faisais pas attention à ce qui se passais à côté de moi, j'étais plutôt penché sur mon téléphone, jusqu'as ce que je vois arriver Dolce, elle arrivait, toujours aussi folle que d'habitude, elle s’approchait de moi et surtout d'une place libre vers moi. Heaven parlait avec Dolce, une conversation qui ne m'interpella pas spécialement, jusqu'as un prénom « ... Eyden ?! Il n'a pas voulu venir ?! » Ce ton était emplis de reproche. Pourquoi elle parlait de mon frère. La réponse de Dolce me surpris encore plus « Premièrement le seul aveu que je vais te faire c'est mon poing sur ta figure et il sera aussi magistral que tes accusations, Madame Je Juge Sans Savoir! Deuxièmement, Eyden n'est pas ici et j'en ai rien à foutre de savoir s'il n'a pas voulu venir ou s'il est venu... » Je levais la tête pour leur préciser que la sœur du prénommé était juste à côté et qu'elle ne comprenait rien à ce qu'il se passait. Je pris mon téléphone pour demander à mon frère ou il était avant d'ouvrir enfin la bouche, je n'allais pas laisser des filles parler sur mon frère c'est mal me connaitre. « C'est quoi le problème ?! » Dis-je en parlant simplement, tout le monde savait à la fac que mon frère personne n'y touchais quel que soit la connerie qu'il est fait.

« Si je prétendais assumer à l'infini les conséquences de mes actes, je ne pourrais plus rien vouloir.  »

we are young.

Par chance, je n'étais pas arrivée en retard, c'était ma plus grande peur. Je n'étais pas la jeune femme la plus discrète de l'université mais, je n'étais pas non plus celle qui se faisait le plus remarqué. Je ne supportais pas que les regards se retournent tous sur moi au même moment. Je me faufilais donc, en silence, au travers des chaises installées au foyer en grand nombre en vue du rassemblement. Je m'asseyais non loin de Charlie, une amie de Callie qui d'ailleurs, ne mis que très peu de temps à arriver. Nous nous trouvions au centre de la salle et celle-ci se remplissait petit à petit pour ne laissait que quelques places inoccupées. Je me tournais vers mon amie en souriant : Ça va bien et toi ? Mon "ça va" n'était pas des plus sincère, je jouais la dure, celle qui n'avait rien à se reprocher et qui n'avait peur de rien or, je me demandais ce qu'il nous attendait... J'avais grandi à Londres, j'avais toujours suivi mes études ici-même, j'avais fini par comprendre que les professeurs ou du moins, l'administration était capable de tout et n'importe quoi pour arriver à ses fins. Je sais pas ce que ça va donner ça encore. J'hochais la tête positivement. Elle avait parfaitement raison et c'est cela qui me faisait le plus peur. C'est alors que des tensions se firent ressentir dans les premiers rangs. Les filles, que la fête commence ! Arriver à s'engueuler dans un moment comme celui-ci, ce n'était sûrement pas la meilleure des choses. Attirer l'attention sur soi, c'était encore pire... J'étais bien contente de ne faire partie de ce petit groupe et me contentais d'observer les jeunes femmes en me demandant ce qu'il allait se passer.

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L'autre barge ne savait pas à qui elle avait à faire là! Puis, qu'elle commence pas à me parler d'Eyden, parce que mine de rien, oui on est amis et il n'y a rien de pire que de s'attaquer aux potos! Surtout quand ceux-ci ne sont pas là!!

DAELYSIA - C'est quoi le problème ?!

D'où elle sort elle aussi? Elles se sont donnés le mot pour me faire crever ou comment ça se passe?! Ma foie, Daelysia je la connaissais pas tant que ça, on s'est pas mal croisés c'est sur mais après, on a jamais vraiment discuté ensemble! Combien même je suis sure qu'elle me connaît par le biais de son frère... Ce qui ne doit pas être une très bonne chose en soit. Enfin bon, j'ai rien contre elle à vrai dire... Puis, là pour le coup, j'avoue qu'elle ne pouvait pas être une véritable ennemie étant donné le contexte! Tiens d'ailleurs, si je m'amusais??

DOLCE - Le problème c'est que cette jeune fille que tu vois là, accuse ton frère et moi-même d'être responsables de tout ce bordel!

Je savais très bien qu'en disant ça, Daelysia ne prendrait pas ma défense mais bien celle de son frère... En réalité, je m'en fous de moi. Je préfère largement qu'on prenne la défense de mes amis que de la mienne. J'ai beau être la plus jeune et par la même occasion la plus folle dingue des étudiantes, je préfère porter le chapeau et défendre les autres, même les plus enfoirés d'entre eux! Bref, histoire d'en rajouter une couche je fixe alors Daelysia histoire d'attirer son attention et pointant du doigt la brunette du coin je lançait le plus bas possible (pour pas me faire chopper par la brunette) et d'un léger sourire:

DOLCE - Elle est complètement folle..

Ca pour être folle, elle est folle l'autre! M'enfin brref. Les deux autres grassouillets qui m'entouraient étaient eux aussi un peu zinzins dans leur genre!! L'un jouait avec son portable et l'autre était trop bien occupé à matter une .. enfin un truc féminin pas tellement doté d'intelligence.. Autant dire que je ne fais pas tant tâche dans ce décor... M'enfin, tant qu'ils étaient occupés à regarder ailleurs, ils baissaient leur garde vis-à-vis de moi. Il fallait absolument que j'arrive à trouver quelqu'un dans cette foutue salle qui saurait me divertir! Eyden, pas là... Alex.. Pas encore là.. Fuck off sérieux!!! Je vais pas rester sur cette foutue chaise à la con!!

Une prise de responsabilités s'impose.

Oulà mais c'est qu'elle serait impulsive la petit Dolce ! Je ne la croyait absolument pas comme ça et j'avoue que de la voir s'énerver comme ça m'avait fait rester bouche bée pendant quelques minutes. Allo ? Elle est sérieuse ?! Elle reprend vraiment Nabilla là ?! Ok.... Une fois que la blondinette eut déversé ce qu'elle avait à dire, je me mis à sourire légèrement. Oui ça me faisait rire de la voir réagir comme ça. Je trouvais ça quelque peu pathétique et franchement déplacé sachant que tout le monde dans l'amphi pouvait l'entendre.
Avant que je réplique, quelqu'un m'interrompis. La soeur d'Eyden, qui visiblement à été interpellé par mes paroles... Je l'avais déjà croisé en cours de musique, elle étudie le chant il me semble. Son style m'avait toujours impressionné, et j'avais comme une sorte d'admiration pour elle. Elle assumait parfaitement son style un peu décalé, et je respectais ça tout simplement.
Au quart de tour Dolce répondit. C'est dingue comme elle est réactive ! Complètement folle moi ? AH oui c'est possible, un tantinet. Mais la plupart des gens bien le sont non ?

Il fallait bien que je réponde maintenant, alors avec un sourire en coin pas du tout intentionnel je regarda la soeur d'Eyden et lui dit:

- Je sais que c'est Dolce qui est responsable, ça peut te paraître complètement ridicule vu que personne ne s'en souvient, mais je n'ai pas bu à cette soirée, et du coup je sais ce qui c'est passé...

Pour moi c'était clair, j'étais sur de ce que j'avais vu, et il n'y avait pas d'autres alternative. Mais je ne m'attendais pas à ce que la soeur d'Eyden me croit sur paroles non plus. Je baissa d'un ton pour ne pas créer une émeute au sein de la salle et continua:

- Dolce a mis la drogue dans le verre du Doyen, mais ce n'est pas elle qui l'avait à la base... Eyden lui en avait...

J'essayais d'adopter une voix des plus douces et compréhensive, je n'essayais pas de rejeter la faute sur n'importe qui, juste sur ceux qui avait commis la faute. J'étais désolé que se soit son frère, mais c'était comme ça. J'allais peut être avoir deux filles sur mon dos après ça, mais tant pis...

Je remarqua alors que tout le monde autour de nous fixaient Dolce. Moi qui voulais faire ça dans la discrétion c'est foutu... Mais Dolce elle ne s'en foutais pas. Et à croire son comportement elle le faisait même exprès. Je regarda alors la jeune fille en question et lui dis:

-Tu as réussi, tout le monde te regarde, c'est ce que tu cherchais n'est-ce pas ? Je m'en fous c'est pas ma réputation ni mon avenir qui est en jeu. Ecoute, tu n'as peut être pas de but dans la vie, ni d'ambitions, mais c'est pas le cas de tout le monde ok ?! Y'en a ici qui ont un projet précis, qui veulent devenir quelqu'un. Cette université est pour beaucoup d'entre nous le seul moyen d'étudier ce qu'ils aiment ! C'est leur seul moyen de concrétiser leurs rêves ! Ton but n'est peut être que d'attirer l'attention et de te faire une jolie réputation sur le campus, mais c'est pas le mien ok. Alors si jamais ils commencent à parler de fermer l'université, c'est toi qui en sera responsable, et je ferais en sorte que tout le monde le sache, crois moi.

Sur ces mots je m'installa au fond de mon siège, peut importe ce qu'elle allait me répondre je ne l'écouterais pas. La discussion était terminé, en réalité ce n'était pas une discussion, je voulais juste lui faire une annonce, qu'elle sache qu'elle n'est pas si protégé que ça. J'avais peut être agis en peste et avec un ton inquisiteur, mais j'avais de quoi après tout. Tout ce que je dis est vrai, et je le sais. Je ne laisserais pas une gamine détruire les rêves de centaines d'élèves et les miens par la même occasion !

J'attendais maintenant les paroles du Doyen, qui allait se faire sous peu j'imagine, vu que la salle commençait à être pleine.

“ – i just need my friend. ”

ft.Les élèves.

Arrivée dans cet amphithéâtre à peine cinq minutes plus tôt je n’aurais jamais penser que j’allais voir mon frère entré dans la conversation, mais dès son évocation, j’avais été obligé de prendre part à la conversation, mon frère étant pas là et je ne comptais pas le laisser se faire assassiner sans le défendre. « Le problème c’est que cette jeune fille que tu vois là, accuse ton frère et moi-même d’être responsables de tout ce bordel ! » Sur ses paroles, Dolce me désigna Heaven, et même si je ne voulais pas y croire, avec ce que j’avais appris récemment sur mon frère cette information ne me surprendrais même pas ! Je regardais avec insistance Heavan afin qu’elle me réponde, qu’elle m’explique ce qu’elle avait à répondre si elle avait des preuves de ce qu’elle avançait. Après tout, personne ne s’était jamais manifester pour dire qu’il ou elle avait des preuves sur ce qu’il s’était passé lors de cette soirée, vu que personne ne se rappelais de rien. « Je sais que c’est Dolce qui est responsable, ça peut te paraître complètement ridicule vu que personne ne s’en souvient, mais je n’ai pas bu à cette soirée, et du coup je sais ce qui s’est passé… […] Dolce à mis la drogue dans le verre du Doyen, mais ce n’est pas elle qui l’avait à la base… Eyden lui en avait… » Tiens prend toi une baffe Dae. J’essayais de rester impassible, mais malgré tout je ne pouvais pas ne pas avoir de doute, c’était sa parole contre celle de mon frère, absent. Je tournais mon regard un peu partout et bien sûre nos élévations de voix n’était pas passé inaperçu, et presque tout l’amphi nous regardais, je cherchais du regard Katajrina, qui me regardais, elle était la seule à être au courant de ce qui se passait dans ma vie et avec mon frère. Il y avait aussi Destiny, mais cette dernière n’était pas là ! Les gens attendais une réponse cherchais l’altercation, c’est comme ça, dès que des voix s’élèvent, les jeunes cherche l’altercation, comme de l’animation. « Tu te figure que les gens vont te croire peut-être ?! Après quatre mois de silence ?! Si tu avais la moindre preuve ou la moindre certitude, tu l’aurais ouvert avant, au lieu de nous avoir laissé vivre avec une épée de Damoclès au dessus de nos têtes ! » Certes, je ne voyais pas pourquoi je lui disais cella, vu qu’il y avait plus de cinquante pourcent des chances qu’elle ait raison, mais après tout, ce n’était peut-être pas mon frère qui avait refilé la drogue à Dolce, si c’était bien elle qui l’avait déposé dans le verre du Doyen. Mon frère n’était pas le seul étudiant à se balader avec de la drogue sur lui, et je me devais en temps que sœur de le soutenir et de lui faire confiance. Même si avec les derniers événements, je pourrais facilement ne pas le croire, mais je lui avais jurer qu’a présent je lui ferais confiance et vice versa, il n’aurais pas pu déjà rompre ce serment.

Une prise de responsabilités s'impose.

Et voilà je le savais, je me retrouvais avec les deux filles sur mon dos... Je n'attendis pas la réponse de Dolce, et m'expliqua tout de suite avec Dae. Je n'en voulais absolument pas à son frère, et je comprenais tout à fait sa réaction, j'aurais agis de même je suppose...

- Je n'ai absolument rien contre ton frère, il n'était pas le seul à avoir de la drogue sur lui ce soir là j'imagine, et je pense pas que se soit à lui de faire quoi que se soit.

Elle avait raison sur un point au moins: est-ce que les gens me croirait ? Peut être pas, mais j'étais persuadé que faire régner le doute était suffisant pour tout déclencher. Il suffisait qu'un doute plane et le Doyen ne fermerait pas l'université. Il y tiens autant que nous à cette école après tout, et s'il avait une minuscule chance de savoir qui c'était, il ferait en sorte de pousser l'enquête.

- Tu as raison, se seras la parole de Dolce contre la mienne, mais honnêtement, tu crois qu'il vont croire qui ? la jeune étudiante qui cherche n'importe quelle occasion pour se faire remarquer ou celle qui n'a jamais fait aucun faux pas dans ses études et qui est reconnue dans toute la ville pour son boulot sérieux ?

Il n'y avait aucun doute, j'étais la plus crédible. Sérieusement, sans prétention, il fallait être réaliste, j'étais le genre de fille qui pouvait lécher les bottes de n'importe qui. J'avais toujours refusé de le faire, mais je renoncerais à mes principes pour sauver mon avenir c'est certain !

- Et il suffit de faire planer le doute pour que le Doyen oublie l'idée de fermer l'université.

C'est tout ce que je voulais après tout. Peut importe dans quelle ambiance on allait vivre, je veux juste que cette université reste ouverte et garde sa réputation pour ses cours.

◭ une prise de responsabilités s'impose.
Aujourd'hui, nous étions tous convoqués par le Doyen dans le foyer. Pourquoi mh ? A cause de ce qui s'était produit lors de la soirée du nouvel an. Un fâcheux incident -volontaire, a priori- qui avait mis le Doyen dans un sale état. Première cuite, je pense. C'était donc avec évidence qu'il avait décidé de faire des "interrogatoires" afin de savoir qui était le coupable. Ou peut-être, les coupables. Au fond, on ne savait pas grand chose des personnes au coeur de l'histoire. Il faut dire que de l'alcool avait été aussi intégré dans les boissons à la fête et que, donc, la plupart des personnes avaient été plus ou moins saoules. Et ainsi, la mémoire de ces étudiants là flanchaient à présent. Dire qui était le coupable était une chose plus que difficile à l'instant présent. Enfin. Petit-déjeuner avalé, je prenais la direction de la RCA ou, plutôt, du foyer. Mes frères n'étaient déjà plus à l'appartement, ce qui me faisait penser qu'ils étaient déjà en route vers le foyer. Je ne mettais pas longtemps pour y arriver, le trajet n'était pas trop long. Et à peine entré dans la salle, je comprenais bien vite que les choses commençaient déjà à prendre une mauvaise tournure. En effet, il y avait trois filles qui se prenaient la tête à propos de la soirée. D'où j'étais, je ne comprenais pas vraiment ce qu'elle disait mais ça semblait être grave. Pendant un cours instant, mon attention fut retenue par ces filles, jusqu'à que je pose mon regard sur Callie. Tiens, une tête connue. Sans plus attendre, j'allai dans sa direction. Il restait des places près d'elle, alors je ne me faisais pas prier pour m'installer à ses côtés. « Salut Lillie », lâchais-je afin de la saluer, un léger sourire sur les lèvres. « Hey vous deux », déclarais-je à l'attention des deux filles en compagnie de Callie, des filles que je ne connaissais pas pour tout dire. Par la suite, je balayais le reste de la salle avec mes yeux, tentant de trouver les jumeaux dans la foule d'étudiant. Ils devraient déjà être là normalement. Je finissais par tourner la tête vers Callie. « T'aurais pas vu les jumeaux ? » la questionnais-je alors, en fronçant légèrement un sourcil.

UNE PRISE DE RESPONSABILITÉS S'IMPOSE ► Dès mon arrivée, je m'étais dirigée vers des filles que je connaissais. Pour le moment, mes meilleures amies n'étaient pas encore là, et je n'avais pas envie de me retrouver seule dans un coin. Il fallait que je puisse extérioriser avec quelqu'un. Repérant ma coloc' de dortoir et Charlie qui faisait les mêmes études que moi, je vins prendre place juste derrière elles. « Je vais aussi bien que l'on peut aller quand on ne sait pas ce qui nous attend » lui répondis-je. « Je ne suis pas une fervente amatrice de ce genre de rassemblement, surtout en présence du Doyen » ajoutais-je. Il fallait bien être honnête. Une convocation pareille de la part du Doyen, ce n'est jamais bon signe. On était là toutes les trois, à regarder autour de nous, tout en se lançant des regards interrogateurs. Autant dire qu'on se sentait pas du tout dans nos assiettes. Ce genre d'atmosphère est presque flippante. « Si la fête en question pouvait être cool, j'apprécierais » déclarais-je, avec un léger rire nerveux. Je commençais en plus à me demander ce que pouvaient bien être en train de faire mes meilleurs amis. Arriver en retard dans ce genre de moments n'est jamais vu d'un bon œil. C'est alors que j'entendis une voix, et me retournais pour découvrir que Jayden s'approchait. « Hey Jay', on sera jamais de trop pour supporter le discours à venir » affirmais-je. Le Doyen a souvent tendance à parler sans savoir s'arrêter, donc autant se préparer psychologiquement. Il s'installa près de moi et commença à jeter un regard circulaire dans la pièce, comme nous. On avait tous la même idée au final. Puis, il me demanda si je n'avais pas vu ses deux frères. Je ne m'en rappelais pas franchement. N'ayant pas vu vraiment de têtes connues à mon arrivée, je pensais pouvoir affirmer qu'ils n'étaient pas ici. « Euh je crois pas non. J'allais d'ailleurs te faire remarquer que t'avais pas ramené toute la famille » répondis-je. Jaxen et Jace étaient peut-être tout simplement sur le chemin, et ils ne tarderaient pas maintenant.

UNE PRISE DE RESPONSABILITÉS S'IMPOSE ► Dès mon entrée dans le foyer de l'université, j'avais vu quelques têtes que je connaissais, mais je n'avais repéré aucun de mes meilleurs amis. C'était étonnant que je sois la première à être présente, pour une fois. Le Doyen aurait presque pu me féliciter quand même, ça aurait été la moindre des choses. Enfin bon, je m'étais installée dans un coin, pour attendre la sentence. Deux jeunes filles qui étaient placées commençaient à élever la voix, je me demandais ce qu'il se passait encore. Dolce était de la partie évidemment, elle avait peut-être encore fait des siennes. C'est à ce moment-là que Daelysia arriva. Elle m'avait remarqué je pense, et pourtant, elle alla s'asseoir plus loin. Je me demandais ce qu'elle pouvait bien trafiquer. Je pensais trouver un peu de compagnie et elle préférait aller plus loin. Je la questionnerais plus tard sur cette histoire après tout. Elle devait bien avoir ses raisons. Et puis les éclats de voix reprirent de plus belle, je vis même que Dae' s'en mêlait aussi maintenant. Mais qu'est-ce qu'il pouvait bien se passer. C'est à ce moment que mon amie me regarda, et moi je cherchais toujours à comprendre. Je lui lançais un regard interrogateur, tout en articulant un : « Qu'est-ce qu'il se passe ? », sans pour autant élever la voix. Il n'était nécessaire d'en rajouter, ou on allait vite se faire rappeler à l'ordre. Ne pouvant finalement pas attendre davantage, je me dirigeais discrètement vers le coin où se trouvait Dae', pour venir m'installer plus près d'elle. J'en saurais sûrement plus sur l'embrouille en cours, et je pourrais même venir la soutenir en cas de besoin. Je m'asseyais donc juste derrière elle et me rapprochait pour pouvoir lui chuchoter quelque chose, sans forcément attirer tous les regards. « C'est quoi l'embrouille là ? Je comprends rien depuis tout à l'heure » déclarais-je. C'était un fait, et j'avais horreur de ça. J'entendais un brouhaha intempestif, mais ne saisissait pas le moindre mot. C'était plutôt frustrant comme situation.

Je laissais Daelysia et l'autre malade s'arranger l'espace d'un instant en revanche, il y a deux choses que je ne cautionnais pas: la première c'est qu'elle n'avait pas le droit d'accuser mes amis et dans "mes amis" j'entend là Eyden! Deuxièmement, le fait qu'elle lance tant d'accusations quant à moi face à tous ne me plaisait en rien!! Une vague de larmes envahirent mes yeux, parce que malgré tout avant d'être folle j'ai une âme et une conscience qu'elle vient de blesser au plus profond!! J'allais pas me taire très longtemps! Et c'est toujours les larmes aux yeux que je m'adressais à l'autre frappée de la life!!

Dolce - T'as trouvé personne d'autre à qui faire porter le chapeau?! ECOUTEZ-MOI TOUS! SURTOUT VOUS DEUX *parlant à mes frères*... Ok j'aime faire le clown, ok je suis blonde, ok je fais des conneries CERTES! Mais j'ai jamais acheter de drogue! Et toi l'espèce de folle dingue, je te remercie par avance de tout ce que je vais me manger en rentrant! Tu connais pas ma vie, tu connais pas mes parents et ils vont me faire faire des tests que même pas ta grand-mère elle a subi! Alors maintenant, au lieu de m'accuser de choses et d'autres, trouves-toi une vie ma vieille!... OH et autre chose: je ne te permet pas de parler de drogue et de Eyden qui est MON AMI dans une même phrase, c'est clair? Sinon c'est personnellement que je m'occuperais de toi! Sur ce, j'aimerais que tu nous foutte la paix, à moi, Daelysia, Eyden, à tout le monde, ok?!

Si avec ça elle n'a pas encore compris qu'elle m'avait fait du mal alors je ne sais pas quelle langue je devais employer! La seule chose qui m'importait, c'était qu'elle se taise et qu'on en finisse vite avec cette foutue réunion! Ah oui puis comme j'ai bonne mémoire malgré tout et que mes méninges fonctionnent un minimum, je me souvins alors de ce qu'elle avait dit quant aux rêves et à cette école! J'allais pas pouvoir me taire, je ne pouvais pas passer pour ce que je n'étais pas!

DOLCE - Ah oui, tant que j'y pense... Tu crois que la possible fermeture de l'école m'amuse? Et tu crois que je suis étudiante ici par hasard? Surtout que je suis la plus jeune d'entre vous! Moi aussi j'ai des rêves, et non mon envie n'est pas d'attirer l'attention sur moi!! Alors chuis très contente pour toi si on te reconnait dans toute la ville pour tes soit disant études, mais moi on m'a jamais reconnue que pour être une intello! Alors, réfléchis-y! La prochaine fois avant de parler, renseignes-toi bien sur la personne à qui tu t'addresses....

Et c'est sans un mot de plus que je me callais contre l'un de mes frères. Il n'y avait plus rien à dire, tout était dit pour moi. Si c'était vraiment sa parole contre la mienne, j'espère que quelques étudiants ont pris le temps de changer d'avis quant à moi.

une prise de responsabilités s'impose.

ft. students.

« Jace tu te grouilles ? » « Ouai ouai j'arrive ! » me répondit mon jumeau. Je soupirais, attendant qu'il finisse de se préparer. Pour une fois, on était en avance, ce qui voulait dire : levés et fin prêts avant Jayden, chose qui n'arrivait que très rarement. Bon en même temps aujourd'hui c'était un jour un peu spécial, vu qu'on était tous convoqués dans le foyer par le doyen à cause de tout le foutoir qui s'était passé lors de la soirée du nouvel an. Pour tout avouer, moi j'avais trouvé ça marrant, mais pas le reste du corps enseignant qui menaçait de fermer l'école si les coupables ne se dénonçaient pas. A vrai dire, c'était assez stressant de se dire que peut-être on allait tous se faire virer, mais en même temps j'avais du mal à y croire et je pensais bien que les auteurs de la grosse connerie allaient se dénoncer... Jace, lui était un peu plus flippé, vu comment il m'en parlait sur le chemin. On était partis tous les deux et il n'arrêtait pas son monologue sur les conséquences que tout ça auraient sur notre avenir et blablabla... Au bout d'un moment, je n'en pouvais plus de l'entendre. Alors je l'ai forcé à s'arrêter devant une épicerie, je suis rentré à l'intérieur, puis ressorti quelques minutes plus tard un paquet dans la main. « Tiens, mange. Ça te déstressera. » lui dis-je en tendant ce que j'avais acheté. Me remerciant du regard, il les mangea pendant qu'on continuait notre chemin. Un coup d'oeil sur mon portable et... ah merde, maintenant on était en retard. Bah tiens, c'était bien la peine de se lever tôt pour finir par arriver dans les dernier. Je jetais un coup d'oeil à mon jumeau qui finissait son cookie et lui demandais « Prêt pour un peu d'exercice ? On est légèrement à la bourre là. » il hocha la tête pour seule réponse et voilà que nous étions tous les deux à courir comme deux malades mentaux... Pfiou c'était fatiguant. Quelques minutes plus tard et on était arrivés. Le foyer était déjà assez bien peuplé, et y'avait même Dolce qui se crêpait le chignon avec je ne sais pas qui... Je l'aurais bien aidée, mais les bagarres de filles, c'est pas trop mon truc en général. « Y'a Jayden là-bas » me dit Jace en me montrant un petit groupe du doigt. Il était avec Callie et d'autres filles inconnues... Qu'importe, on allait tous les deux rejoindre notre grand frère. « Salut Jay, salut Callie. Il se passe quoi avec Dolce là bas ? » lui demandais-je en montrant les trois filles.

@destiny.

► une prise de responsabilités s'impose,

Qu’est-ce qui avait bien pu se passer ? La lettre du doyen que nous avions reçue quelques jours plus tôt ne me semblait pas être de bon augure du tout, bien au contraire. D’ailleurs, recevoir une convocation de ce genre n’était jamais bon en général, et j’étais plutôt bien placée pour le savoir. Qu’est-ce que j’avais encore fait ?

Je n’avais pourtant pas le souvenir de quoi que ce soit qui puisse justifier la convocation en question. Certes, ce n’était pas la première fois que je recevais ce type de lettre, mais cette fois-ci, j’étais anormalement anxieuse car je savais que je n’étais pas la seule à l’avoir reçue. Ces derniers jours, cette histoire de convocation avait fait parler beaucoup de monde, mais personne n’était capable de nous fournir de plus amples explications. Mais aujourd’hui, nous allions enfin savoir le pourquoi du comment. J’ignorais encore si je préférais avoir la conscience tranquille -en quelque sorte- en connaissant enfin la raison de cette lettre plus stressante qu’autre chose, ou si je préférais au contraire rester dans le brouillard le plus total. J’étais curieuse, mais en fin de compte, il valait peut-être mieux que je ne sache pas. Je devais bien avouer que j’avais peur de me retrouver là-bas tant j’étais persuadée que cette réunion serait porteuse de mauvaises nouvelles. C’est donc l’esprit embrouillé et tout aussi chargé de questions que je m’étais rendue au rendez-vous indiqué sur le papier. A mon arrivée, les couloirs étaient vides, mais je pouvais aisément entendre une agitation certaine qui provenait de l’amphithéâtre. Sans plus attendre, j’ouvris la grande porte double qui grinça dans un vacarme sans nom. C’eut d’ailleurs le mérite d’attirer tout plein de paires d’yeux sur moi. Un instant, je restai immobile devant la porte, puis levai les yeux au ciel, me contentant d’aller chercher une place – plutôt vers le fond si possible. Je ne manquai pas de lancer quelques regards à droite à gauche, et ne pus m’empêcher de remarquer que tous les étudiants semblaient aussi anxieux que moi. Tout le monde ici s’interrogeait sur la nature de cette convocation, et l’atmosphère en était devenue très rapidement pesante. Tandis que je montai les marches, je notai quelques têtes connues, notamment Skye, ma meilleure amie. La rangée où elle était assise n’étant toutefois plus accessible, je pris place au rang juste derrière elle. A quelques sièges de ma meilleure amie, je repérai également mon meilleur ami Jaxen, ainsi que son frère, Jayden. D’un signe de main, je les saluai tous, bien que je fasse en suite une moue plus que visible lorsque mes yeux croisèrent ceux de Callie. Qu'est-ce qu'elle foutait avec mes potes, elle ? Mais bref, là n’était pas la question essentielle. Alors, vous êtes au courant de ce qui se passe ici ? questionnai-je un peu vaguement, à l’intention de tout le monde. Attendant une quelconque réponse, mon attention fût happée par un duo de jeunes filles dont la discussion semblait plutôt vive. Enfin, pour être plus précise, elle se hurlaient littéralement dessus. Qu’est-ce qu’elles ont les deux ? Elles se font un combat de poulette ? demandai-je rhétoriquement. Elles ont fugué de leur école primaire ou quoi ? En fait, j’ignorais pourquoi elles se disputaient, mais visiblement, cette conversation ne les mènerait nulle part. Je restai toutefois silencieuse, spectatrice de tout ce cirque, espérant que le doyen ne tarde pas à nous rejoindre ici, car le temps devenait très long. Mais qu'est-ce que je fous là ? me demandai-je à moi-même, fixant toujours la scène, mais sans trop y prêter attention.

Une prise de responsabilités s'impose.

J'avais le sourire aux lèvres, littéralement. C'est vrai tout ça m'attristait et en même temps de voir que Dolce réagissait comme ça me faisait rire. Elle criait toute seule en fait, je n'avais pas élevé la voix une seule fois depuis que je me suis installée derrière elle. Elle par contre avait ameuté toute la salle.
Une troisième demoiselle intervint auprès de la soeur d'Eyden, mais je ne réagis pas. J'écoutais tranquillement Dolce déverser son flot de paroles qui me paraissait de plus en plus démesuré, assise au fond de mon siège, les jambes et les bras croisés. Je la regardait fixement parce que c'était divertissant de voir ses yeux se plisser quand elle s'énerve. Dans une autre situation je n'aurais pas réagis comme ça, je m'énervais vite d'habitude, mais là je savais ce que j'allais provoquer en allant la voir, j'était préparé. En plus, de voir qu'elle s'énervait et pas moi, était plutôt amusant. Une fois finis, elle se blotti tendrement contre ses frères. Aurais-je vexée la benjamine de la fac ? J'en suis navrée... En fait non, pas vraiment vu comment elle m'a répondu.
Je ne releva pas, me tu et lança un dernier:

- Ah quand même !

Toujours en souriant, tout simplement parce que je ne pouvais pas m'en empêcher. J'attendis l'arrivée du Doyen avec hâte, et me réinstalla dans mon siège, comme si de rien n'étais.

Vous savez ce qu'on dit à mon propos? On dit que je suis folle et que l'autre me provoque comme ça c'était carrément pas bon. Malgré mes nerfs qui lachaient et les quelques perles de larmes qui s'écoulaient, je me suis laissé dire que là, le "Ah quand même" était de trop! Elle, son sourire de faux cul de première, son air de petite prétencieuse... Oh non mais vous savez quoi? Elle va se le manger zson "Ah" et pas que lui d'ailleurs!!
Alors je me lève, je me retourne très lentement, j'aperçois qu'il y a une foule derrière mais je la regarde sans la regarder, je fixe l'autre morue qui se la raconte, les jambes installés comme si c'était la reine avec ses cheveux là... Non non, j'en peux plus! Là je suis au bout de mes nerfs! Je suis petite, ok, je suis plus petite qu'elle okok ok OK! Mais y a un truc c'est que j'en avais rien à foutre de tous ces détails à la con! Quant au doyen, qu'il vienne j'en ai rien à foutre! Les deux autres trous du cul m'ont forcés à venir et je savais que c'était pas le bon plan! Je savais qu'il y en aurait un ou une et plus précisément une dans la situation qui se présenter et.. Oh fuck you, je lui ai craché à la gueule! Et on peut dire que j'avais pas raté ma cible! Me rasseoir maintenant? Oui bien sur, dans un de tes rêves!!! Je la fixais sans relâche méchament... C'était pas le jour pour m'enmerder! Puis, je lui avais dit de fermer sa gueule! Tenter d'avoir le dernier mot avec moi c'est comme tenter de .. Non bah y a pas de comparaisons équivalentes! Y a pas à le faire c'est tout!!

DOLCE - Je vais pas te louper toi... Crois-moi que je vais pas te louper!!

C'est alors que je lui fis le plus beau de mes bras d'honneur! Elle voulait donné sa parole maintenant? Ben qu'elle la donne, j'men tappe! Elle oublie un détail c'te vieille truie: c'est que le doyen est super proche de mes parents, alors qu'elle arrête de me chercher la petite bête! Maintenant, c'est moi qui croise les bras, qui me rasseoit en croisant les jambes façons "petite Heaven" et avec un grand sourire je quittais sa face de rat! Soit elle se la fermer, soit cette histoire finirait en baston, je vous le dit de suite! Je suis folle alors qu'elle se méfie....

» happy new year ◮ students.
» it's time to say goodbye 2013... ◮ students.

une prise de responsabilités s'impose ◮ students.

une prise de responsabilités s'impose ◮ students.

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