CHAPTER ONE - WHEN I WAS BORN :
C'est par une nuit hivernale que le travail se mit en route. Le treize décembre plus exactement, Aleksandra Tsiolkovski perdit les eaux. A croire que le petit bout de chou qui résidait dans son ventre depuis maintenant neuf mois avait décidé de pointer le bout de son nez. Elle hurlait de douleur, posant sa main sur son ventre. Elle essayait en vain de se diriger vers le salon afin d'attraper le téléphone, mais heureusement, son mari arriva au même moment, et ni une ni deux, il l'aida à monter en voiture et l'amena directement aux urgences. Là, ce dernier arrivait en furie, s'exclamait avec panique que sa femme était sur le point d'accoucher. Deux infirmiers vint la chercher avec un brancard pour l'amener en salle d'accouchement. L'un d'entre eux amenait le futur papa dans les vestiaires afin d'enfiler une blouse, et de s'y laver les mains par questions d'hygiènes et ensuite, il suivit l'obtétricien qui allait accoucher sa femme. Ce dernier était prit de panique, ses mains tremblotaient, il avait la gorge serrée et l'estomac noué, tout ceci était dû au stress de la naissance de leur premier enfant. « Allez vous pouvez le faire, un dernier petit effort Aleksandra ! » s'exclamait l'obtétricien. Cette dernière se crispait et serrait fort la main de son mari en lui en broyer cette dernière. « Allez calmes toi chérie, c'est la fin, pousses de toutes tes forces une dernière fois » lâchait doucement son mari, son visage à quelques centimètres du sien afin de la rassurer. La jeune femme inspirait longuement, et finit par pousser de toutes ses forces. Là, des pleures se firent entendre, le médecin aidait la jeune femme à terminer le travail. Le bébé était enfin né. La sage femme récupérait le bébé, et le posait dans les bras de son père un court instant, le temps que ce dernier présente leur enfant à la jeune maman. Le sourire aux lèvres, cette dernière finit par fondre en larmes, à la fois heureuse de voir son enfant, et soulagée que tout cela soit enfin terminé. Hezekiel Stanislas Tsiolkovski, ainsi fut baptisé ce nouveau né, plus tard appelé Stanislas.

CHAPTER TWO - A NEW MEMBER IN OUR FAMILY :
Si la jeune Aleksandra pensait en avoir fini de sa grossesse, ainsi que des accouchements, elle remit ça sur le tapis deux ans plus tard. Alors qu'au mois de mars, la neige tombait encore du ciel à Saint-Pétersbourg, le jeune petit garçon réclamait vouloir sortir. Sa mère se levait alors difficilement de son fauteuil, épuisée de sa grossesse, et se traînait jusque dans sa chambre, alors qu'elle s'apprêtait à attraper le bonnet, les gants et le petit blouson polaire de son fils, elle sentit de grosses contractions, automatiquement, cette dernière poussait un cri qui interpellait son fils. Ce dernier, malgré son insouciance vint voir sa mère, et la vit assise sur le lit. « Chéri la petite arrive ! » criait la jeune femme afin d'alerter son mari. A ces mots, ce dernier rappliquait à la course. Comme une impression de déjà vu, le jeune homme tenait sa femme pour l'amenait jusque dans la voiture, et l'amenait une nouvelle fois aux urgences. Là, elle fut emmenée en salle d'accouchement, et mit au monde une jolie jeune fille du nom de Katarjina Oksana Tsiolkovki. Lorsque le petit Stanislas rejoint sa mère dans la chambre, son père portait ce dernier pour le poser sur le lit de sa mère, et aux côtés de cette dernière se trouvait sa petite soeur. Ce dernier la regardait, il sourit du coin des lèvres. A ce moment là, tout le monde était loin de s'imaginer que Stanislas serait aussi protecteur envers sa soeur.

CHAPTER THREE - DAD, I HATE YOU :
Les années passèrent, et tout sembler se dégrader pour la famille Tsiolkovski. Récemment, le père de famille s'était fait arrêter au détour d'une petite ruelle, en possessions de produits illicites. Cela faisait un moment maintenant que Boris passait ses nuits dans cette fameuse petite ruelle. Il prétextait à sa femme qu'il avait trouvé un petit boulot de nuit, et que c'était pour cette raison qu'il n'était pas là, mais finalement il dealait la drogue pour un groupe de malfaiteur. Il a commencé à entrer dans ce merdier, lorsqu'il a perdu son travail. Il n'avait plus les moyens de s'acheter sa propre came, alors un jour, trois jeunes gens acceptèrent de lui fournir de la came gratuitement, mais en échange, il devait dealer pour eux. C'était un jeu dangereux dans lequel il s'embarquait. Et aujourd'hui, il se retrouvait derrière les barreaux.
[...]
Il était tard, très tard. Katarjina, et Stanislas rentraient d'une soirée chez des amis. Afin de rentrer plus vite chez eux, ils décidèrent d'emprunter une petite ruelle sombre, seulement, ils étaient loin de s'imaginer que ce n'était pas la meilleure idée qu'ils puissent avoir. Alors qu'ils se taquinait, et rigolaient, trois jeunes gens vinrent les cerner. Stanislas se stoppait directement posant sa main contre le buste de sa soeur, l'empêchant d'avancer plus. Il arquait un sourcil interrogateur, se demandant ce qu'il se passait. « Vous êtes les gosses du grand Boris Tsiolkovski hein ! » lâchait l'un des trois mecs. Par derrière, un arrivait, et commençait par poser ses mains sur Katarjina. Cette dernière tentait de se débattre, mais ce dernier l'attirait contre lui, posant un couteau sous sa gorge. Stan se retournait immédiatement. « Putain mais qu'est-ce qui vous arrive là, lâchez là ! » s'exclamait-il, essayant de contenir sa peur, ses craintes. L'un des trois mecs se trouvait derrière Stan, il le saisit par la capuche de son pull et le balançait contre l'un des murs de la ruelle. Ce dernier tombait à terre, mais se relevait assitôt et se jetait sur la personne qui venait de le balancer contre le mur, le faisait tomber à terre à son tour. Il s'en prit à ce dernier, le ruant de cou, tandis que l'autre mec libre vint lui donner un coup de pied dans les côtes. Stan se laissait tomber à terre. Au passage, il s'égratignait la joue, saignant un peu. Le jeune qui venait de lui donner un coup de pied vint se mettre en califourchon sur lui afin de le ruait de coup à son tour, vengeant son ami qui était au sol, à présent inconscient. « Fallait pas s'en prendre à Diego » lâchait la personne qui tenait toujours Katarjina. « vas-y niques lui sa gueule à ce petit merdeux » ajoutait-il tandis qu'il ne daignait pas lâcher la jeune fille. Stan regardait alors sa soeur, appeurait et en pleure, ne supportant pas cela, il donnait un violent coup de tête au mec qui se trouvait sur lui, qu'importe s'il se blessait, il était décidé à sauver sa soeur. Il se relevait, et se jeter sur le mec qui tenait sa soeur, le couteau volait, et sa soeur fut enfin lâcher. Quant à Stan, il vint plaquer le mec qui tenait sa soeur contre le mur et cognait à plusieurs reprises ce dernier, il finit par tomber de tout son long au sol, la tête en sang. Ne dit-on pas que l'adrénaline est capable de faire faire bien des choses à l'être humain. S'était bien vrai, ce soir là, pour sauver sa soeur, Stanislas avait été jusqu'à tuer un homme. Il se retournait, choqué, et vit le premier mec à terre commençait à se réveiller, tandis que l'autre s'apprêtait à se jeter sur lui. Stan se décalait, et le mec s'entravait et tombait aux côtés de la personne morte. Le jeune garçon attrapait sa soeur par le bras et l'entraînait avec lui jusque chez eux. Ils ne purent cacher cela à leur mère. Stan était en sang, tandis que sa soeur pleurait. Leur mère, pour les protéger, et surtout pour protéger Stan décidait de quitter la Russie.

CHAPTER FOUR - NEW LIFE IN LONDON :
Londres. Capital de l'Angleterre, c'est ici qu'Aleksandra à mit les voiles avec son fils et sa fille afin de les protéger. Elle rayait désormais la Russie de sa carte, et exigeait le divorce avec son mari, parce qu'en réalité, tout ceci était à cause de lui. C'est à cause de ses magouilles que ses enfants on failli mourir cette nuit là. Elle ne voulait désormais plus le voir et espérait qu'il périsse en prison pour le restant de sa vie. A Londres, ils emménagèrent dans un petit appartement, tous les trois. Stan resta longtemps choqué par rapport à son acte, mais au moins, il avait sauvé sa soeur, et s'était tout ce qui l'importait, il avait seulement peur des conséquences. Finalement, il risquait gros si un jour on apprenait qu'il était à l'origine de ce meurtre.
A présent, tout va mieux pour eux maintenant, sa soeur et lui étudient à l'université d'art non loin de chez eux. Ils ont apprit à tous les trois se reconstruire ensembles. A passer outre tout ce qu'il a pu se passer, ils espèrent seulement que les démons du passé ne les rattraperont pas.

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