Sujet: music, the cure to everything ► Jaliam Lun 7 Juil - 7:52
music, the cure to everything.
Deux jours de repos, c'était quelque chose d'un peu miraculeux pour le blond qui trimait au travail tous les jours avec des horaires assez spéciaux. Il fallait dire que le Starbucks était ouvert tôt le matin et fermait assez tard le soir, il était placé à un endroit très très fréquenté du coup, il y avait constamment du monde et il fallait toujours assurer. Vu les responsabilités qu'il avait dans le café maintenant il était plus difficile pour lui de prendre du repos mais là, il n'avait pas craché dessus. Il était très fatigué en ce moment, et depuis qu'il avait vu Nadja, très perturbé. Il ne se remettait pas du fait que sa petite sœur soit venu en Angleterre pour le retrouver mais surtout, il ne savait pas du tout comment gérer cette situation. Appeler Eliam pour passer du temps avec lui était la chose la plus évidente qui lui était venu à l'esprit, ne pouvant encore une fois solliciter Charlie de plus, elle connaissait sa sœur, et il ne se sentait pas de lui mentir en plein visage.
Jamie n'avait peut-être pas une liste d'amis qui faisait des kilomètres de long mais il savait qu'il pouvait compter sur eux n'importe quand, pour n'importe quoi. Il connaissait Eliam depuis quelques années maintenant, les deux garçons s'étaient croisés dans le métro où ils jouaient tous les deux. Séparément au début, puis après qu'ils ait fait connaissance, ils se retrouvaient souvent en duo et avait pas mal de succès. Il était la première personne avec qui il avait créé un lien en Angleterre, et ça n'était pas rien. Eliam était son repère depuis le début et il prenait pas mal exemple sur lui. Bon, pas toujours pour le meilleur mais qui se ressemble s'assemble comme on dit. Non pas qu'ils se soient assemblés déjà, non non !
Il ne savait pas ce que son meilleur ami lui avait concocté pour la journée ni à quoi s'attendre, il n'était jamais sûr de rien avec lui. Il lui faisait suffisamment confiance pour le laisser le guider quand même, mais il n'était pas tellement rassuré. Le brun lui avait dit qu'il serait là vers 9h, or il était déjà 9h15 et pas de traces de lu et il tombait sur sa messagerie quant il tentait de le joindre " J'espère que t'as une bonne excuse pour ce retard inacceptable tête de fion ! ", oh, juste un petit message amical qu'il lui avait laissé en attendant qu'il daigne se montrer.
lumos maxima
Eliam M. Hodson
feat : god of sexiness, loueh the tommo tomlinson. tu peux pas teeeest. Pseudo : anaëlle. Souriez, dites cheese : Âge : moyen. ouais, je viens du moyen-âge moi. même que je mène une double vie de moine chauve qui travaille pour l’industrie du chaussée aux moines becoz j'adore le fromage. Famille : alannah, mon petit bb de soeur. Statut : de la liberté. Bff : dony, la plus jolie (c'est bien parce que je suis gentil becoz en vrai elle est grosse, grasse, moche et chiante mais bon, je l'aime). Jukebox : 5 seconds of summer, wrapped around your finger (la plus belle chanson du monde okok) + pixie lott, nasty. Points chance : 32These little things : « UNE PETITE SOEUR, MÊME SI T'ES A DES MILLIERS DE KILOMÈTRES, ELLE EST TOUJOURS DANS TA POCHE D'AMOUR ÉTERNEL. » THE APPLE OF MY EYE. « LA MIFA RICHARDS C'EST L'AMOUR LA VIE L'UNIVERS ET L'AU-DELA T'INQUIETES PAUPIETTE JOLEZEM. » LUAN + DONIA. « ON N'EST PAS IDIOT, ON EST JUSTE DES IMBÉCILES HEUREUX. ET UN PEU IDIOTS QUAND MÊME. » RPZ JALIAM LES ROIS DU MONDE.
Sujet: Re: music, the cure to everything ► Jaliam Mar 8 Juil - 23:04
► MUSIC IS THE CURE TO EVERYTHING + featuring jaliam.
« Putain tu vas t’ouvrir espèce de… » J’avais beau appuyer sur la poignée, rien ne se passait. « C’EST QUOI CET APPARTEMENT DE MERDE ?! » hurlai-je pour moi-même tandis que je trifouillais la poignée de la porte d’entrée comme je le pouvais. Depuis que j’étais ici, c’était tous les jours la même rengaine. Il y avait toujours un truc qui allait de travers. Je n’étais malheureusement pas en position de me plaindre en vue du prix que j’y mettais. Dans la vie, on ne peut pas tout avoir, et ça, je ne le savais que trop bien, à cela près que moi, j’avais rien. Enfin si, j’avais des problèmes, des tas de problèmes. Aujourd’hui en était la preuve puisque le verrou avait décidé de se bloquer, tant et si bien que je ne pouvais plus sortir de chez moi. Génial ! Non vraiment… GE-NIAL. J’étais tellement occupé à faire des efforts inutiles que je ne me rendis même pas compte que mon portable avait sonné. De toute façon, ça ne pouvait pas être bien grave. Mon problème de porte était autrement plus important, d’autant que mon meilleur ami et moi avions rendez-vous au disquaire à 9h00 et qu’il était… « QUOI ? IL EST DEJA 9h15 ?! » Après avoir lâché un lourd soupire, je fis un pas en arrière, puis deux, avant d’observer cette fichue porte de haut en bas. « Toi… j’vais te niquer la gueule, t’as compris ? » Je n’avais en effet pas l’intention de sortir par la fenêtre. L’idée m’avait traversé l’esprit c’est vrai, mais le fait d’être au cinquième étage m’avait de suite arrêté. Il m’arrivait déjà suffisamment de tuiles sans que je n’aille chercher les problèmes moi-même. Après avoir mûrement réfléchi – ou plutôt, après avoir réfléchi tout court puisque je ne réfléchissais jamais mûrement – j’allai chercher une chaise, ayant la ferme intention de forcer la porte de mon propre appartement. Une exclusivité made by Eliam Hodson. A l’aide des pieds en fer de cette fameuse chaise donc, je donnais deux ou trois coups sur la poignet ainsi que sur le loquet qui finirent par céder, à mon grand bonheur. « Alleluia ! » D’accord, dans cette affaire, je n’avais pas tout gagné puisque je n’avais plus de porte fonctionnelle, mais sur le moment, cela ne m’avais absolument pas alarmé. J’étais simplement soulagé de ne plus être séquestré dans mon propre chez-moi, parce que avouons-le, c’était quand même un comble. Laissant la porte dans un pauvre état derrière moi, j’entrepris de rejoindre Jamie qui devait déjà s’impatienter. Je ne m’en faisais toutefois pas pour lui, il avait l’habitude. « D’abord, puisque t’es là, on va évaluer qui de nous deux a le plus une tête de fion ! » Ce furent les premiers mots que j’adressai à mon meilleur ami lorsque j’arrivais enfin à notre point de rendez-vous. Sur le chemin, j’avais pris le temps d’écouter mes messages vocaux, et monsieur exigeait apparemment de moi que j’aie une bonne excuse à lui fournir. Ça pour ça, j’en avais une, et une bonne. « Ensuite, tu pourras blâmer Donia pour mon retard puisqu’elle ne m’a toujours pas racheté de porte depuis le jour où elle l’a défoncé mais ça c’est trop compliqué, j’te passe les détails… Tout ça pour dire que si j’avais eu une porte neuve, je serais l’heure. » L’air interrogateur que me lança le blond m’incita à poursuivre mes explications. « Mon verrou était bloqué. Enfin, je crois que c’était le verrou… En fait je sais même pas, tout ce que je sais c’est que je pouvais pas sortir de chez moi. J’me voyais déjà mourir de faim dans cet appart’ miteux sans que personne ne vienne me sauver… » Oui, j’étais comédien à mes heures perdues. Tragédien plus précisément, mon talent principal étant de toujours exagérer considérablement les choses. Quoi que pour une fois, j’en faisais à peine des caisses. « D’ailleurs, toi, ça t’es même pas venu à l’esprit que je pouvais m’être fait kidnapper ou violer… ou que je pouvais être en train de mourir, NAN ? T’es le pote le plus ingrat que j’ai jamais eu. »