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 #1206 - you don't know about me but i bet you want to.

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Eliam M. Hodson
Eliam M. Hodson
feat : god of sexiness, loueh the tommo tomlinson. tu peux pas teeeest.
Pseudo : anaëlle.
Souriez, dites cheese : #1206 - you don't know about me but i bet you want to. 18683920145
Âge : moyen. ouais, je viens du moyen-âge moi. même que je mène une double vie de moine chauve qui travaille pour l’industrie du chaussée aux moines becoz j'adore le fromage.
Famille : alannah, mon petit bb de soeur.
Statut : de la liberté.
Bff : dony, la plus jolie (c'est bien parce que je suis gentil becoz en vrai elle est grosse, grasse, moche et chiante mais bon, je l'aime).
Jukebox : 5 seconds of summer, wrapped around your finger (la plus belle chanson du monde okok) + pixie lott, nasty.
Points chance : 32
These little things : #1206 - you don't know about me but i bet you want to. Tumblr_lrnhkdBiDG1r0ybih« UNE PETITE SOEUR, MÊME SI T'ES A DES MILLIERS DE KILOMÈTRES, ELLE EST TOUJOURS DANS TA POCHE D'AMOUR ÉTERNEL. » THE APPLE OF MY EYE.
#1206 - you don't know about me but i bet you want to. 505657donia « LA MIFA RICHARDS C'EST L'AMOUR LA VIE L'UNIVERS ET L'AU-DELA T'INQUIETES PAUPIETTE JOLEZEM. » LUAN + DONIA.
#1206 - you don't know about me but i bet you want to. Tumblr_mwoovygHE21rj2wado3_500 « ON N'EST PAS IDIOT, ON EST JUSTE DES IMBÉCILES HEUREUX. ET UN PEU IDIOTS QUAND MÊME. » RPZ JALIAM LES ROIS DU MONDE.

#1206 - you don't know about me but i bet you want to. Empty
MessageSujet: #1206 - you don't know about me but i bet you want to.   #1206 - you don't know about me but i bet you want to. Icon_minitimeDim 11 Mai - 13:01

► YOU DON'T KNOW ABOUT ME BUT I BET YOU WANT TO + featuring eluan.
Y’A. PLUS. D’EAU. CHAUDE. Non mais sérieusement, il n’est que dix heures et y’a déjà plus d’eau chaude. Mais qu’est-ce que j’avais bien pu faire au bon Dieu pour mériter de vivre dans un appartement aussi pourri, est-ce que quelqu’un pouvait me répondre ? Tu veux dire, à part avoir quitté le foyer familial et ta petite sœur avec pour la laisser avec ton connard de père sans aucun remord et te retrouver ici à faire les plus grosses conneries tu monde ? Oh, rien du tout. Ta gueule la petite voix ! criai-je pour moi-même tandis que je refermais le robinet de douche. Eh, l’hôpital psychiatrique est pas loin mon pote ! entendis-je à travers le mur d’à côté, propos joliment accompagnés de la douce mélodie d’une succession de coups de poings contre la paroi. J’avais toujours apprécié l’amabilité de mes voisins. Il fallait dire que je le leur rendais bien. Ferme-la gras du bide ! J’accepterais d’y aller le jour où tu arrêteras de récompenser tes efforts à la salle de gym en allant bouffer au McDo juste à côté ! Un grognement se fit entendre, et je devinais que ce serait la seule réponse que j’obtiendrais de sa part. Après avoir laissé échapper un lourd et bruyant soupir, je me décidai à tirer l’eau de nouveau étant donné que c’était de toute façon la seule solution que j’avais puisqu’il était évident que je n’allais pas me baigner dans la rivière d’à côté. D’ailleurs, je ne l’avais jamais aimée cette putain de rivière. Une fois, je suis tombé dedans parce que je m’étais approché trop près du bord, franchement, quel genre de rivière fait ça, hein ? J’suis sûre elle est infestée de piranhas en plus… ouais des piranhas à Londres. Quitte à choisir, je préférais la douche froide. Après tout, ce n’était pas comme si je n’avais pas l’habitude. Pour compenser et tenter d’oublier le fait que j’allais me transformer incessamment sous peu en glaçon, je me mis à chanter à tue-tête – comme d’habitude en fait. Une douche sans chanson n’était pas une douche. Et puis là encore, tout était bon pour faire chier mes voisins. MIIIIDNIIIIIIGHT MEEEEMORIIIIIES OH OH OH OHOH BABY YOU AND ME STANDING IN THE STREET SINGIIIIING SINGING SINGING ! One Direction. Pourquoi est-ce que j’avais la chanson de ces cinq tapettes dans la tête ? A force de trainer avec Donia, forcément, fallait bien que ça arrive un jour. C’était un passage obligé, malheureusement pour ma pomme. TULULULULUT ! C’est quoi ça ? TULULULULUT ! Putain mon téléphone ! Donia m’avait prévenu qu’elle m’appellerait aujourd’hui, et en vue du scandale qu’elle m’avait fait la seule et unique fois où j’avais osé ne pas lui répondre parce que j’étais occupé, je préférais ne pas réitérer la scène. Ce monstre de l’amitié avait le don de me faire peur tant elle était possessive et grognon et chiante et jalouse et gueularde et colérique et boudeuse et éternelle insatisfaite et… et tout en fait. Or, j’étais trop jeune pour mourir. Vivement, je me retournai à 180°C afin de pouvoir sortir de la douche et choper mon portable qui était sur le plan de travail de la salle de bain, mais l’un de mes pieds glissa sur la surface lisse. Un énorme bruit se fit entendre, bruit dans lequel je m’étalai de tout mon long contre le sol, ne manquant pas de me fracasser le crane contre le rebord. Trop jeune pour mourir, tu parles ! Visiblement c’était bel et bien mon heure. Par chance, si je n’avais probablement plus aucun membre désormais rattaché à mon corps, j’avais tout de même réussi à attraper mon téléphone au vol, et, d’un doigt faible, j’appuyai sur la touche « décrocher ». Emmène-moi à l’hôpital, viiiiiiiiite, je saigne de partout, je souffre le martyr, j’ai les os brisés, tu l’emporteras pas au Paradis ma vieille ! Evidemment, à l’autre bout du fil, Donia ne comprenait strictement rien, mais je n’étais pas en état de lui expliquer ma soudaine descente aux Enfers. D’accord, j’avais peut-être un peu exagéré sur les bords : aucune goutte de sang, aucune fracture, aucun hématome… finaement, je n’avais pas si mal.  Toutefois, toutes les excuses étaient bonnes pour la rendre responsable de mes malheurs. De toute façon, c’était pas comme si elle s’en était inquiétée. Tandis que je me relevai péniblement, j’écoutais la demoiselle me raconter sa vie, pour terminer en me donnant rendez-vous. Où ? Quand ? J‘étais tellement préoccupé à me demander si j’étais toujours vivant pour écouter un traitre mot de ce qu’elle m’avait baragouiné. Résultat des courses, j’étais dans la merde. Après avoir tergiversé pendant de longues minutes, j’en conclus que si elle m’avait appelé maintenant, c’était qu’elle devait être dispo. Je n’étais pas du genre à me prendre la tête pendant 2183437809 ans, ce pourquoi je décidai pour moi-même que j’avais raison. Afin de ne pas me mettre davantage en retard – en admettant donc que je devais y aller maintenant – je m’étais hâté vers la cuisine afin de prendre mon petit-déjeuner, puis c’était parti en direction de chez Donia.
Je frappe à la porte. Une fois. Deux fois. Trois fois. Aucun bruit, personne ne vient m’ouvrir. J’en viens à me demander si le rendez-vous n’était pas pour tout de suite, ce qui ne m’aurait pas étonné puisque de toute façon je ne l’avais pas écoutée. Je frappai encore une fois, et, lorsque mon poing fut sur le point de cogner de nouveau la porte, cette dernière s’ouvrit enfin. Une silhouette qui ne m’était pas inconnue se dessina dans l’encadrement, et je ne pus m’empêcher de rire intérieurement en découvrant sa chevelure en bataille, au moins aussi bien rangée que mon appart’, c’est-à-dire pas rangée du tout. Il ne me fallut pas plus de quelques secondes pour me rappeler qu’il s’agissait du frère de Donia qui avait fraichement débarqué à Londres. Lui par contre, ne semblait pas me remettre le moins du monde. T'es qui toi déjà ? Pour sa défense, depuis son arrivée ici, nous n’avions du nous croiser qu’une ou deux fois. Ceci étant, il n’avait pas vraiment l’air d’être une lumière. Bon ok, venant de moi c’était sûrement malvenu, mais bref, d’abord j’vous ai pas demandé votre avis. Le mec de ta soeur, mentis-je avec un léger sourire en coin. D’ailleurs, j’savais pas qu’elle me trompait à ses heures perdues. Elle les prend au berceau maintenant, terminai-je en concluant mes propos d’un rire qui trahissait la véracité de mes dires. De toute façon, à en juger par son accoutrement, le jeune homme sortait probablement du lit, et croyez-moi que j’aurais pu inventer n’importe quoi qu’il l’aurait cru. Tu pourrais pas la libérer deux secondes histoire que je sois pas venu ici pour rien ?
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#1206 - you don't know about me but i bet you want to. Empty
MessageSujet: Re: #1206 - you don't know about me but i bet you want to.   #1206 - you don't know about me but i bet you want to. Icon_minitimeMer 11 Juin - 11:59

► YOU DON'T KNOW ABOUT ME BUT I BET YOU WANT TO + featuring eluan.
OH UNE LICORNE ! J'en revenais pas, c'était la toute première fois que je voyais une licorne de ma vie. Trop d'émotions d'un coup là. Elle était belle, blanche légèrement teintée de rose, avec sa longue corne dorée et scintillante et sa crinière arc-en-ciel. Elle gambadait à travers la prairie verte pomme qui s'étendait en face de moi. J'avais envie de la prendre en photo sauf que cette bécasse de Donia m'avait piqué mon portable parce qu'elle avait une mission secrète. Une affaire de bananes si j'avais bien compris. Oh, mais voilà que la licorne se dirigeais vers moi, tout sourire. Putain je savais pas que ça pouvait sourire les licornes. Elle s'arrêta là, devant moi, puis je lui grimpai dessus. Je commençais ma chevauchée magique quand... LUAN ! Mon coeur s'arrêta d'un coup. Bam. Dur retour à la réalité. Je sentis un poids s'affaler sur moi telle une baleine sur la rive un jour de tempête. Réveille-toi. J'émis un grognement d'homme des cavernes montrant bien à quel point j'étais disposé à me réveiller. Je voulais retrouver mon amie licorne moi, parce qu'elle était gentille la licorne, elle allait m'emmener loin retrouver ses amis magiques. Tu fais chier Luan. J'entendis un soupire. Bon, j'te préviens juste que je sors, voilà, j'dois voir quelqu'un. A plus. Je réalisais enfin qu'il s'agissait de ma soeur qui me parlait depuis tout à l'heure. Avant qu'elle ne parte je lui glissais donc un petit mot d'encouragement. Bonne chance avec tes bananes Donia. Elle s'arrêta dans son mouvement, je sais pas quelle tête elle faisait puisque je fermais résolument les yeux, mais elle mit dix bonnes secondes avant de dégager enfin de ma chambre. Vive la vivacité d'esprit j'vous jure. Me voilà de nouveau seul. J'allais pouvoir retourner au pays imaginaire. Il ne restait plus qu'à m'endormir. Ce qui ne devrait pas être si compliqué, hein ? Mais évidemment, madame la chaleur avait décidé de s'en mêler et je ne pouvais plus rien faire d'autre que transformer mon lit en piscine olympique (miam). En tout cas pas me rendormir. Alors je décidai de me lever mais, entortillé comme je l'étais, au premier mouvement brusque je finissais par terre. Comme une limace. Comme une merde aussi. Je me tortillais comme un dément pendant au moins cinq bonnes minutes sans grand succès puisque j'avais toujours l'air d'un rouleau de printemps. Donia Richards. Tu as signé ton arrêt de mort. Bah oui. Tout ça ne serait jamais arrivé sans elle. Je m'arrêtai un instant, reprenant mon souffle. Soupirant même. Puis d'un geste brusque je parvins à libérer mon bras droit de la féroce étreinte de mes draps. Ça m'apprendra à chevaucher les licornes. Le rapport ? Aucun. Bref, deux minutes supplémentaires furent nécessaires pour que je me sorte de là. La journée commençait BIEN. Je sortais enfin de ma chambre, en caleçon, sinon c'est pas drôle, laissant mes draps sur le sol. Un véritable champ de bataille. Je devrais avoir une médaille pour avoir terrassé le méchant Drativor, qui voulait ma peau. Bon, je commence sérieusement à dire de la merde. Je me dirigeai vers la cuisine avec la grâce d'un éléphant puis ouvris le frigo. J'avais faim pour tout vous dire. Un petit déjeuné ça fait jamais de mal. La lumière de l'engin me fit mal aux yeux et de toute façon j'avais pas l'esprit assez clair pour réfléchir vraiment. Résultat : je restai en bug total devant l'intérieur du frigo pendant plusieurs minutes. Je revins seulement à la réalité lorsque le "bip" m'annonça que j'avais laissé la porte trop longtemps ouverte. Je me mis alors en quête de quelque chose de mangeable mais, triste vie, je remarquais une nouvelle fois que ma soeur ne savait visiblement pas faire les courses. Y avait de la salade verte - qui veut de la salade pour le petit-déjeuné ? personne - des autre trucs aussi, je crois que ça s'appelle des légumes. Une tranche de jambon... Et puis un reste de pizza de la veille, mais ça c'est moi qui l'avais acheté. C'était vide quoi. Mais pire que tout, elle n'avait pas de Chocopops. ET JE FAIS QUOI MOI SANS MES CHOCOPOPS ? Je fermais enfin le frigo et m'installais à la table de la salle à manger. Ma vie est fichue. Oui bon, j'aimais être mélodramatique de temps en temps... Mais bon, qu'est-ce que la vie sans des céréales décentes ?
Je fus interrompu dans mes lamentations face à ma triste destinée par des coups tapés sur la porte. C'était peut être Donia qui a oublié ses clés ? Ah la boulette... Ou alors... non. Ce devait être un monstre violeur et sanguinaire venu me chercher. Je restai pétrifié devant la porte, tandis que l'être humanoïde derrière elle continuait de donner des coups. Puis il y eut le silence. Puis je me rendis compte que j'étais ridicule. Jack l'éventreur il est mort hein ? Alors j'ouvris la porte, comme ça. Je ne laissais dépasser que ma tête, parce que j'étais en calbut donc forcément je ne voulais offrir ce spectacle à aucun inconnu, j'étais trop beau pour eux. ET là... Je vis un type brun, les yeux bleu vif, la tête du Dom Juan de service, un peu bad boy. Enfin j'en sais rien mais sa tête me disait trop quelque chose. Sauf que je savais pas du tout d'où je l'avais croisé. T'es qui toi déjà ? Il me dévisagea un instant avant de me répondre. Le mec de ta soeur. Je manquais de m'étouffer. Je me souvenais pas qu'elle sortait avec un mec moi. Putain. D’ailleurs, j’savais pas qu’elle me trompait à ses heures perdues. Elle les prend au berceau maintenant. Il ponctua sa phrase d'un léger rire. Mais il se foutait de ma gueule peut être ? Jamais je pourrais sortir avec Donia, même si elle était pas ma soeur. Bah... Mais maintenant je me souvenais du gars. Je me rappelais que Donia me l'avait présenté, un jour. On avait dû se recroiser une ou deux fois mais ça s'arrêtait là. Elion je crois... Non Elliott. ELVIS ! Voilà, le mec s'appelait Elvis. Tu pourrais pas la libérer deux secondes histoire que je sois pas venu ici pour rien ? Apparemment il voulait voir ma soeur. Bon, je savais comment il s'appelait, d'où et comment je l'avais rencontré mais je doutais fort qu'il sorte avec ma soeur. Que je ne séquestrais pas de toute façon. T'es très drôle Elvis. Mais désolé de te décevoir, Donia n'est pas là. Elle doit être en train de se cherche un nouveau mec à la garderie d'en face. Bon, il n'y avait même pas de garderie en face mais il était pas censé le savoir ça. Je réfléchis un instant puis j'en conclus que de toutes les façons, Donia reviendrait tôt ou tard à l'appart' donc... Elvis pouvait rester un moment. Mais si tu veux entre. Elle va pas tarder je pense... Ou pas. Je m'éloignais de la porte laissée ouverte tout en continuant de parler, juste assez fort pour qu'il m'entende. Même si faut être franchement désespéré pour attendre le retour de Donia. Bah oui, cette fille était un véritable moulin à paroles. Et puis c'était ma soeur quoi, par définition elle était chiante. Comme toutes les soeurs. Je me faufilais rapidement dans ma chambre afin d'enfiler un short et un tank top, histoire de pas me balader à oilp devant Elvis. Je retournais enfin dans l'entrée, afin de tenir compagnie au nouveau venu. Bah oui j'étais un hôte exemplaire moi, faut pas croire.
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Eliam M. Hodson
Eliam M. Hodson
feat : god of sexiness, loueh the tommo tomlinson. tu peux pas teeeest.
Pseudo : anaëlle.
Souriez, dites cheese : #1206 - you don't know about me but i bet you want to. 18683920145
Âge : moyen. ouais, je viens du moyen-âge moi. même que je mène une double vie de moine chauve qui travaille pour l’industrie du chaussée aux moines becoz j'adore le fromage.
Famille : alannah, mon petit bb de soeur.
Statut : de la liberté.
Bff : dony, la plus jolie (c'est bien parce que je suis gentil becoz en vrai elle est grosse, grasse, moche et chiante mais bon, je l'aime).
Jukebox : 5 seconds of summer, wrapped around your finger (la plus belle chanson du monde okok) + pixie lott, nasty.
Points chance : 32
These little things : #1206 - you don't know about me but i bet you want to. Tumblr_lrnhkdBiDG1r0ybih« UNE PETITE SOEUR, MÊME SI T'ES A DES MILLIERS DE KILOMÈTRES, ELLE EST TOUJOURS DANS TA POCHE D'AMOUR ÉTERNEL. » THE APPLE OF MY EYE.
#1206 - you don't know about me but i bet you want to. 505657donia « LA MIFA RICHARDS C'EST L'AMOUR LA VIE L'UNIVERS ET L'AU-DELA T'INQUIETES PAUPIETTE JOLEZEM. » LUAN + DONIA.
#1206 - you don't know about me but i bet you want to. Tumblr_mwoovygHE21rj2wado3_500 « ON N'EST PAS IDIOT, ON EST JUSTE DES IMBÉCILES HEUREUX. ET UN PEU IDIOTS QUAND MÊME. » RPZ JALIAM LES ROIS DU MONDE.

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MessageSujet: Re: #1206 - you don't know about me but i bet you want to.   #1206 - you don't know about me but i bet you want to. Icon_minitimeVen 13 Juin - 19:52

► YOU DON'T KNOW ABOUT ME BUT I BET YOU WANT TO + featuring eluan.
Donia était tellement bavarde qu’il m’arrivait souvent de ne pas l’écouter. Déjà lorsque je décrochais au bout de cinq minutes, c’était pas mal. Il fallait dire que la brunette était un véritable moulin à paroles. Toutefois, cette fois, ce n’était absolument pas de ma faute si je n’avais pas écouté un traitre mot de ce qu’elle m’avait dit. Je m’étais littéralement fracassé au sol en sortant de la douche pour aller lui répondre alors j’avais autre chose à penser que ses blablatages incessants. La seule chose dont je me souvenais c’était qu’elle m’avait donné rendez-vous… mais quand ?... Et où ?... Telle était la question. Mais je n’avais aucunement l’intention de réfléchir sur le sujet pendant des heures, ce pourquoi je m’étais directement rendue chez elle afin de l’y trouver. Mais contre toute attente, ce fut un jeune homme qui m’ouvrit, jeune homme que je n’eus pas de mal à reconnaître – contrairement à lui, visiblement. Autant j’avais souvent des trous de mémoires, autant lui c’était l’amnésie totale. Il fallait croire que dans la famille Richards, c’était pas tous des lumières. Et en parlant de lumière, je crois bien que la lumière du jour était venue titiller Luan qui, à en juger par sa tête, sortait probablement du lit. C’était peut-être pour cette raison qu’il ne m’avais pas remis directement. D’un côté, je ne pouvais pas lui en tenir rigueur : on aurait dit moi, ni plus ni moins. Une mémoire de poisson rouge, la tête dans le cul, un amabilité sans faille. Bref, un amour. A cette pensée, j’esquissai un léger sourire à peine visible. De toute façon, celui-ci disparut dès lors que le blondinet ouvrit la bouche. « T'es très drôle Elvis. Mais désolé de te décevoir, Donia n'est pas là. Elle doit être en train de se cherche un nouveau mec à la garderie d'en face. » Je mis quelques longues secondes avant de réagir. « Euh… comment ça elle est pas là ? » le questionnai-je en insistant sur le « pas là ». « Elle est pas là comme genre… pas là du tout ? Ou est-ce qu’elle est pas là mais dans la pièce d’à côté ? » Moi qui m’étais hâté jusqu’ici de peur de me faire fracasser par ce monstre de Donia, son frère n’avait pas intérêt à me dire qu’elle n’était pas là… bien qu’il l’ait déjà dit de toute façon. « Et puis d’ailleurs, pourquoi est-ce que tu m’appelle Elvis ? » Si Luan avait le même sens de l’humour que sa sœur, on n’était pas sorti de l’auberge. Sérieusement, est-ce que j’avais une tête à m’appeler Elvis ? Comme pour changer de sujet, le blondinet m’invita tout de même à rentrer… et je compris très rapidement pourquoi il avait tardé à le faire en voyant sa tenue. En vérité, il n’en avait pas vraiment de tenue. Ceci étant, il en fallait plus pour me faire peur. Relativisons, j’aurais pu tomber sur Donia à poil, et ça c’était un traumatisme autrement plus important. « Elle va pas tarder je pense... » « J’espère parce que si elle compte sur moi pour l’attendre toute la journée, princesse Donia va vite être déçue ! Nan parce que j’me suis pas cassé la gueule dans ma salle de bain pour rien hein… » C’est en le voyant m’observer d’un air interrogateur que j’ajoutai : « Laisse tomber. » J’allais pas déballer ma vie devant le petit frère Richards, ce n’était pas mon but. D’ailleurs, c’était quoi mon but, concrètement ? J’étais là pour Dodo le dindon et madame jouait la princesse à ne pas être présente. Et moi, pauvre petit ange que je suis, je me fais engueuler quand j’ai le malheur de ne pas répondre au téléphone. Je suis vraiment maltraité. Mais là n’était pas la question. Luan me sortir d’ailleurs très rapidement de mes pensées. « Même si faut être franchement désespéré pour attendre le retour de Donia. » J’éclatais de rire sans pouvoir m’en empêcher vraiment suite à ses propos. « Désolé… enfin j’veux dire… j’suis plutôt d’accord en fait », avouai-je en réprimant une nouvelle crise de rire. Quand je disais qu’il était comme moi. Mine de rien, on allait peut-être bien s’entendre lui et moi. Bon, c’était pas non plus une certitude parce qu’une seule Richards c’est déjà beaucoup. Mais puisque je devais rester là pour le moment, autant voir le bon côté des choses. « T’avais peut-être quelque chose de prévu ? Regarder la télé ? Compter les mouches ? Faire une reproduction d’un tableau de Picasso ? Nan parce que t’occupes pas de moi hein, même si je connais déjà chaque détail de la tapisserie, je peux encore l’admirer pour quelques heures, j’ai l‘habitude. » Oui, l’habitude je l’avais. A toutes ces fois où j’ai dû attendre Donia pendant trente ans et demi parce qu’elle mettait autant de temps à se préparer… je vous déteste. Toutefois, le pauvre Luan n’y était pour rien, et il avait probablement autre chose à faire que de me tenir compagnie. Ayant l’habitude de faire comme chez moi, je me dirigeai vers le salon afin de m’affaler sur le canapé, mais je me relevai presque aussitôt après avoir senti quelque chose de dur sous mes fesses. A tâtons, je passai la main sous ses dernières et en retirai deux baguettes d’apparentant à des baguettes de batterie. Ou plutôt, c’était bel et bien des baguettes de batterie. « Ah d’accord ouais… Je savais que ta sœur était folle de moi, mais de là à se mettre à la batterie pour me plaire, là ça va très loin quand même », riai-je. Bêtement, je m’étais imaginé qu’elles appartenaient à Donia puisque cela faisait des années maintenant qu’elle était seule à vivre dans cet appart’. Et moi, il fallait pas me brusquer : le chemin est long jusqu’à mon cerveau. Mais comme on dit, tous les chemins mènent à Rome. Bref.
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MessageSujet: Re: #1206 - you don't know about me but i bet you want to.   #1206 - you don't know about me but i bet you want to. Icon_minitimeLun 7 Juil - 17:00

► YOU DON'T KNOW ABOUT ME BUT I BET YOU WANT TO + featuring eluan.
J'avais oublié à quel point la vie avec ma soeur pouvait s'avérer compliquée. Si si je vous jure. Entre les réveils hyper tôt - oui dix heures pour moi c'est tôt - et les frigos vides, du moins remplis de quelques immondices nommées légumes... Y avait pas de quoi sabrer le champagne. Faut pas se méprendre, j'aime bien ma soeur. Même si elle est bavarde et tout ce que vous voulez. Mais y a des moments, à quatre-vingts-dix-neuf pour cent du temps, où elle me gave, tout simplement. Mais bon, on fait avec. C'est une Richard après tout, faut pas s'étonner. On est chiants de père en fils depuis 1854 et bien sûr ça marche pour les filles également. Ce serait dommage de nous laisser ce privilège. Bref. J'avais passé un début de matinée exécrable à faire la guerre à mes draps et à mon estomac criant au supplice, et je me tenais désormais en face d'Elvis, un ami de Donia. Le gars semblait pas très vif d'esprit quand je lui annonçais que ma soeur n'était pas là. C'était pas bien difficile à comprendre pourtant. Elle n'était tout simplement PAS LA. D'où le paisible silence qui régnait dans l'appartement. Euh… comment ça elle est pas là ? Je le dévisageais en haussant un sourcil.  Elle est pas là comme genre… pas là du tout ? Ou est-ce qu’elle est pas là mais dans la pièce d’à côté ? Je comprenais mieux où il voulait en venir. Je jetais un coup d'oeil significatif dans le salon puis repassais ma tête blonde dans l'embrasure de la porte. Heureusement pour moi, elle ne se cache pas derrière le canapé. Et oui, j'avais enfin un peu de répit, pauvre de moi. Donc oui, elle n'est pas là, pas là. Pauvre Elvis. Réduit à attendre ma soeur, se faisant mener par le bout du nez par cette furie brune. Je ne pouvais que compatir avec lui.  Et puis d’ailleurs, pourquoi est-ce que tu m’appelles Elvis ? Là, c'était à mon tour de ne pas comprendre. Pourquoi je l'appelais Elvis ? Peut être parce que c'était comme ça qu'il s'appelait, non ? Lui lançant un regard plein d'incompréhension, je répondis : Si tu veux que je t'appelles par ton nom de famille... Oui, peut être qu'il considérait qu'Elvis c'était pour les intimes, par pour un type en calbut' à qui il parle pour la première fois. Ma foi. Mais bon, j'te comprends, c'est vrai que c'est moche Elvis comme prénom. Si tu veux que je t'appelle différemment c'est faisable. Oui, j'avais une grande bonté de coeur, c'était bien connu. Mais comment lui en vouloir, avec une mocheté pareille en guise de prénom ? Non, ça aurait dû être interdit à la naissance, le pauvre.
Je décidais enfin de le laisser rentrer. Il n'avait apparemment rien d'un pervers égorgeur donc je n'éprouvais aucune gène à me balader en sous-vêtements devant lui. Tout le monde en a d'un côté... en théorie. J'accueillais donc monsieur-elvis-j'assume-pas-mon-prénom dans notre salon puis me dirigeais peu à peu vers ma chambre, histoire de me changer. oui parce que j'avais pas spécialement envie de passer pour un exhibitionniste vous voyez. J’espère parce que si elle compte sur moi pour l’attendre toute la journée, princesse Donia va vite être déçue ! Nan parce que j’me suis pas cassé la gueule dans ma salle de bain pour rien hein… Je levais une nouvelle fois un sourcil, l'air perplexe. Elvis état donc venu ici parce que ma soeur l'avait fait tomber dans la salle de bain ? Intéressant... Laisse tomber. Je crois qu'il vaut mieux en effet. Y avait un truc qui me plaisait déjà chez Elvis : il avait l'air tout aussi doué que moi. Dans le genre boulet quoi. C'était rassurant quelque part, de pas se sentir seul. Tout en continuant ma longue épopée jusque dans ma chambre, je fis une remarque concernant Donia. Parce que oui, je suis désolé, mais fallait franchement pas avoir autre chose à faire pour attendre le retour de ma soeur, qui équivalait presque à une flagellation publique. Ce à quoi Elvis rit de bon coeur. Désolé… enfin j’veux dire… j’suis plutôt d’accord en fait. Ah... Il était donc plus censé que je le pensais. C'était déjà ça. Je me rendais donc dans ma chambre pour enfiler ma tenue de la journée avant de retrouver mon "invité" d'un jour dans le salon.
Arrivé dans le salon, je retrouvais donc Elvis avachit sur le canapé, faisant comme chez lui. A vrai dire, ça m'était bien égal. Au contraire, ça m'arrangeait même de le voir à l'aise à l'appartement, j'avais pas spécialement envie de faire une multitude de politesses aussi ridicules qu'inutiles juste pour qu'il ne se prenne pas la tête. Ça aussi, ça me plaisait bien chez Elvis. Il avait l'air facile à vivre comme gars. Pas prise de tête. Alors sérieusement que faisait-il à traîner avec ma soeur ? Moi j'avais pas le choix mais lui il se l'infligeais lui-même. T’avais peut-être quelque chose de prévu ? Regarder la télé ? Compter les mouches ? Faire une reproduction d’un tableau de Picasso ? Nan parce que t’occupes pas de moi hein, même si je connais déjà chaque détail de la tapisserie, je peux encore l’admirer pour quelques heures, j’ai l‘habitude. Ce fut à mon tour de m'amuser de la répartie d'Elvis. C'est vrai que compter les mouches semblait être une activité fort intéressante mais elle n'était pas au planning du jour. Pour tout te dire, je m’apprêtais à me morfondre pendant quelques minutes parce que Donia a oublié d'acheter mes Chocopops. Et je peux pas vivre sans mes Chocopops ! Enfin problème perso tu vois, c'est compliqué. C'était vraiment de la plus haute importance, mais j'avais pas envie d'embêter tout le monde avec ça, hein, chacun a ses propres soucis. Du coup j'en profitais pour m'avachir avec lui sur le canapé. Non, en fait "à côté" de lui parce que "avec" lui ça fait bizarre. Bref. Je fus distrait par mon voisin de canapé donc, qui sembla avoir dégoté une trouvaille sous ses fesses. Ah d’accord ouais… Je savais que ta sœur était folle de moi, mais de là à se mettre à la batterie pour me plaire, là ça va très loin quand même. Je regardais ce qu'il tenait dans la main et... Il s'agissait en réalité d'une de mes baguettes pour la batterie. Je l'avais perdue depuis la veille. C'était, genre, la crise planétaire pour moi. J'avais posté des affiches sur les portes de la maison et tout. Et je me demandais ce qu'elle foutait sur le canapé, surtout sous les fesses d'Elvis. Mais pour couronner le tout, ça m'amusait vraiment qu'il pense que cette baguette appartenait à Donia. Je l'imaginais pas vraiment produire un son "musical" sur ce genre d'instrument. Pas vraiment son style m'voyez. C'est la mienne, dis-je tout en pouffant de rire comme une gamine de quinze ans. Ça fait un moment que je la cherchais, j'avais peur de l'avoir perdue. Je pris la baguette de ses mains puis la posais sur la table basse. Là au moins je ne devrais pas l'oublier. Mais ça te plaît la batterie ? Pour que Donia en fasse pour te plaire ? Je ponctuais ma question d'un léger sourire amusé. Tu en joues ? La batterie, c'était pas vraiment l'instrument à la mode. Les gens préféraient généralement la guitare ou le piano sans vraiment trouver une réelle musicalité à ce merveilleux instrument qu'était la batterie. Alors je priais pour rencontrer quelqu'un qui l'aimerait autant que moi, si c'est possible. Parce que j'adorais mon instrument comme j'adorais la musique. Enfin bref, quoiqu'il en soit je me levais finalement histoire de remplir un nouveau de mes devoir d'hôte modèle. Tu veux boire quelque chose ? Je fis quelques pas vers le frigo afin de voir ce que je pouvais lui proposer. J'affichais alors une mine blasée. J'peux te proposer de l'eau ou... de l'eau ? C'était la criiise. Il fallait vraiment que j'aille faire les courses pour une fois dans ma vie, si je voulais pas mourir affamé.
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Eliam M. Hodson
Eliam M. Hodson
feat : god of sexiness, loueh the tommo tomlinson. tu peux pas teeeest.
Pseudo : anaëlle.
Souriez, dites cheese : #1206 - you don't know about me but i bet you want to. 18683920145
Âge : moyen. ouais, je viens du moyen-âge moi. même que je mène une double vie de moine chauve qui travaille pour l’industrie du chaussée aux moines becoz j'adore le fromage.
Famille : alannah, mon petit bb de soeur.
Statut : de la liberté.
Bff : dony, la plus jolie (c'est bien parce que je suis gentil becoz en vrai elle est grosse, grasse, moche et chiante mais bon, je l'aime).
Jukebox : 5 seconds of summer, wrapped around your finger (la plus belle chanson du monde okok) + pixie lott, nasty.
Points chance : 32
These little things : #1206 - you don't know about me but i bet you want to. Tumblr_lrnhkdBiDG1r0ybih« UNE PETITE SOEUR, MÊME SI T'ES A DES MILLIERS DE KILOMÈTRES, ELLE EST TOUJOURS DANS TA POCHE D'AMOUR ÉTERNEL. » THE APPLE OF MY EYE.
#1206 - you don't know about me but i bet you want to. 505657donia « LA MIFA RICHARDS C'EST L'AMOUR LA VIE L'UNIVERS ET L'AU-DELA T'INQUIETES PAUPIETTE JOLEZEM. » LUAN + DONIA.
#1206 - you don't know about me but i bet you want to. Tumblr_mwoovygHE21rj2wado3_500 « ON N'EST PAS IDIOT, ON EST JUSTE DES IMBÉCILES HEUREUX. ET UN PEU IDIOTS QUAND MÊME. » RPZ JALIAM LES ROIS DU MONDE.

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MessageSujet: Re: #1206 - you don't know about me but i bet you want to.   #1206 - you don't know about me but i bet you want to. Icon_minitimeJeu 17 Juil - 8:27

► YOU DON'T KNOW ABOUT ME BUT I BET YOU WANT TO + featuring eluan.
Donia… elle m’aura tout fait cette morrue. En règle générale, c’était moi qui posais les lapins, pas l’inverse. Et bien qu’elle ne m’ait pas réellement posé un lapin étant donné que ce n’était pas un rencart et que je n’étais pas vraiment sûr de ce qu’elle m’avait dit au bout du fil, la règle était quand même d’actualité. Toutefois, il était malheureusement trop tard pour me plaindre puisque Luan m’affirma qu’elle était bel et bien absente. Autant dire que j’étais déjà assez agacé comme ça sans que le blondinet ne ramène sa fraise pour m’appeler Elvis ou je-ne-savais-trop-comment. « Si tu veux que je t'appelles par ton nom de famille... » Soit il était idiot, soit… non, il semblait qu’il était réellement idiot. Certes, nous ne nous connaissions pas au point de se donner des petits surnoms affectifs, mais nous n’étions pas non plus de parfaits étrangers pour s’appeler par nos noms de famille respectifs. Qui plus est, ce n’était absolument pas mon genre, et c’était peu de le dire. Je m’apprêtais d’ailleurs à rétorquer, mais c’est ce moment que choisit Luan pour poursuivre. « Mais bon, j'te comprends, c'est vrai que c'est moche Elvis comme prénom. Si tu veux que je t'appelle différemment c'est faisable. » « Et toi, tu crois pas que t’es moche ? » le questionnai-je rhétoriquement avant de lui administrer une légère tape derrière la tête. En vérité, il n’était pas spécialement laid, pas du tout même, mais l’avouer c’était comme avouer que c’était dans les gênes Richards et DONC que Donia n’était pas moche non plus, et ça… c’était trop me demander. Et puis après tout, il m’avait bien cherché lui aussi. Il était à peine sorti du berceau et voilà qu’il critiquait déjà à tout va. « Tu m’as pris pour la reine d’Angleterre ou quoi ? Tu serais bien dans la merde si je te demandais de m’appeler par mon nom de famille état donné que tu ne le connais même pas ! » Je levai les yeux au ciel avant de reprendre mon discours. « Et puis ça va… maintenant que je t’ai vu en caleçon, on peut dire qu’on se connaît bien », ajoutai-je amusé. « Donc tu peux m’appeler Eiam… parce que c’est comme ça que je m’appelle. ELIAM, pas Elvis. » J’avais fait exprès de soigneusement articuler mon prénom afin qu’il l’enregistre bien, et un peu aussi pour me moquer de lui… non en fait, c’était surtout pour me moquer de lui. Il était marrant. J’avais décidé que je l’aimais bien.
J’avais rapidement pris mes aises, comme j’avais l’habitude de le faire chaque fois que je venais ici. Toutefois, je ne voulais pas retenir Luan qui avait probablement autre chose à faire que de jouer les hôtes avec un ami de sa sœur. Et en effet, le blondinet semblait avoir un tout autre programme. « Pour tout te dire, je m’apprêtais à me morfondre pendant quelques minutes parce que Donia a oublié d'acheter mes Chocopops. Et je peux pas vivre sans mes Chocopops ! Enfin problème perso tu vois, c'est compliqué. » Tandis que je l’écoutais attentivement, je lui adressai une légère grimace en signe de compassion. « Dur dur… », confirmai-je simplement. Et le fait était que cette fois-ci, je ne me moquais absolument pas de lui. Je ne connaissais que trop la souffrance de découvrir que son paquet de céréales est vide. Ma vie s’est si souvent effondrée pour ça… Mais il y avait pire aussi, comme par exemple, perdre ses baguettes de batterie. Et comme Luan semblait collectionner les problèmes, c’était également une affaire qui le touchait de près. Cela dit, elle ne le touchait probablement pas d’aussi près que moi, étant donné que c’était quand même sous mes fesses que ses petits trésors s’étaient camouflés. D’ailleurs, dans un premier temps, j’avais pensé que Donia s’était mise à la batterie, et c’est en y repensant maintenant que je me rends compte à quel point cette idée était ridicule. Soyons sérieux cinq minutes : la brunette n’a aucun sens du rythme, et elle passe son temps à écouter des trucs nul du style… du style One Direction, tiens ! « C'est la mienne ! Ça fait un moment que je la cherchais, j'avais peur de l'avoir perdue.», confirma Luan en récupérant son bien. Il ne manqua pas non plus de glousser telle une adolescente, mais ça, inutile de le souligner tant c’était… un étrange phénomène. Je dus me pincer discrètement la lèvre inférieure pour ne pas rire à mon tour. Par chance, le blondinet reprit rapidement la parole avant que je ne me laisse aller. « Mais ça te plaît la batterie ? Pour que Donia en fasse pour te plaire ? Tu en joues ? Avec tout ça, je n’avais pas immédiatement réagi au fait que ces baguette appartenaient bel et bien à Luan, et que par conséquent, cela signifiait forcément qu’il jouait de la batterie. Aussi, un large sourire vint étirer mes lèvres tandis que je me redressai machinalement sur le canapé. « Ouais… ouais, enfin, je touche un peu à tous les instruments en fait. Mais comme j’ai ni l’argent ni la place dans mon appart’ pour avoir une batterie, j’avais l’habitude d’aller dans des salles de musique avant », lui expliquai-je simplement. « Mais depuis que j’ai été viré de la fac, j’suis trop occupé à être à droite à gauche pour récolter un peu d’argent comme je peux. Du coup, ça fait un petit bout de temps que j’ai pas tenu de baguettes de batterie dans les mains », poursuivis-je tout aussi naturellement. Pour être honnête, j’étais agréablement surpris de noter que le frère de Donia et moi avions au moins un point commun. En général, tout ce qui était plus ou moins en relation avec Donia n’était pas foncièrement bon à prendre. Mais en toute sincérité, je trouvais Luan plutôt sympa, malgré une première impression plutôt… mitigée. Qui plus est, c’était presque un hôte exemplaire puisqu’il ne manqua pas de me demander si je souhaitais boire quelque chose. « J'peux te proposer de l'eau ou... de l'eau ? » Trois… Deux… Un… je ne pus m’empêcher d’éclater de rire en me remémorant la dernière visite de Donia à qui j’avais proposé de l’eau ou de l’eau. Luan et moi avions finalement bien plus d’un point commun, et plus les minutes passaient, plus je me disait que nous ne pouvions que bien nous entendre. « Bon… va pour de l’eau ! J’ai bien envie de tenter ce cocktail exotique », répondis-je, amusé. « Ce qui est bien, c’est que si un jour tu viens chez moi, tu ne seras pas dépaysé pour un sou ! En plus, t’y gagnerait vachement parce que y’aurait plus de Donia pour te coller aux basques h24 » Je pris néanmoins le temps de la réflexion avant de poursuivre. « Enfin… elle est souvent là quand même c’est vrai… En même temps, c’est toujours partout ces bêtes-là », terminai-je en adressant une légère grimace à Luan. A dire vrai, je n’avais aucun complexe à me moquer un peu de sa sœur devant lui. Il avait l’air plutôt d’accord avec moi, et ça… c’était génial. Pouvoir critiquer cette martyriseuse de moi comme je le souhaitais, y’avait que ça de vrai.
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