Il était six heure et j'étais déjà assis sur une des chaises de ma cuisine. Les nuits était courte et mon boulot me prenait tout mon temps mais heureusement pour moi, mon patron m'avait donné mes trois semaine de vacance. Ça me permettrait de profiter de moi et de me reposer pour reprendre les forces dont j'avait perdu. J'étais en train de déjeuner quand mon portable se mit à sonner et alors que je regardais qui m'appelait, je laissais sonner ! Notre première soirée avait était un désastre et il était hors de question que je me laisse abattre par un mec. J'écoutais son message vocal et l'effaçait aussi tôt sans prendre la peine ni la politesse de le rappeler. Pour détendre mes nerf, je pris ma douche, c'était le seul endroit où j'étais bien avant de sortir de la salle de bain vêtu d'un short de sport et d'un simple débardeur.

J'attachais mes cheveux et me maquillait les yeux légèrement avant de redescendre faire le ménage. Après avoir fait la maison de haut en bas, je me posais à ma fenêtre pour m'en fumer une. J'étais complètement paumée et tout ça était de sa faute ! Il ne pouvais que s'en vouloir et était en train de me dire que notre relation sexfriend était peut être mieux pour nous deux.

Assis devant la télé, j'attrapais la télécommande pour zapper les chaines, il n'y avait rien et ça commençai à me plaire sérieusement. Lorsque ma sonnerie retentit, je mis un bon moment avant de me lever mais réussis à ouvrir la porte apercevant Dylan. Je laissais la porte grand ouverte et retournais dans mon canapé. « Qu'est-ce que tu fous la ? ». Lâchais-je froidement.

Il était là, il était venu sous la pluie et même si je ne savais pas quoi dire, j'étais contente qu'il soit la. Ça prouvait certaine chose dont j'aurais même pas imaginée. « Je t'ai appeler, je t'ai laissé des messages, je t'ai envoyé des textos... Pourquoi tu n'as pas répondu? C'était pas rien ce qui s'est passé, je voulais te parler et qu'on mette les choses au clair, parce que crois moi, elles sont loin de l'être ». Même trempée jusqu'au os, il était beaux même si ces cheveux avait prit un coup. J'éteignais la télé afin de ne pas avoir les musique en tête pendant la journée. Je rapportais mes jambes à mon menton et les entourais de mes bras en le regardant. « J'ai eu du boulot, j'avais pas le temps et de deux, j'avais un petit pas envie de te parlée suite au vent que je me suis pris il y a deux semaine. J'avais pas trop envie de me reprendre un mur car ça fait mal ». Lâchais-je simplement, qu'est-ce qui voulait que je dise en même temps ? J'avais aucune envie de me prendre la tête aujourd'hui. Certes, j'étais amoureuse, ça n'allait pas changer en deux semaines mais vu le râteau que je m'étais pris, je préférais aussi prendre mes distances afin de me protéger. On était tellement bien partis que je me voyais déjà avec lui mais il m'avait vite refroidit ce qui avait fait que ma carapace était de nouveau formés. « Laisse moi t'expliquer, s'il te plaît... ». Je le regardais alors en soufflant. Puisqu'il était là, autant qu'il me dise ce qu'il veut pour encore bien m'enfoncer et j'avais quand même des principes et n'allais pas le foutre dehors alors qu'il pleuvait des cordes, c'était pas mon genre. Je détendais mes jambes et le regardais vu qu'il s'installé face à moi. « Ta 10 minutes ». Lançais-je sur le même ton, je m'attendais à plein de choses et j'étais assez perdu sur le fait même si il n'avais qu'a battre des cils pour que je retombe dans ses bras, c'était comme sa. Il m'attirait, tout en lui me rendait meilleure.  

Tout se basculait dans ma tête, mais il était là et pour moi c'était une grande preuve d'amour même si de son côté n'étais peut être pas la même vision. « Je suis vraiment désolé. J'ai été vraiment stupide au cinéma. Mais je sais ce que j'aurais du faire maintenant ». Il avait pas tort et il avait raison de s'excusé. Je frottais alors mon arcade en le regardant. Il me manquait, plus que tout c'était sûr mais est-ce que c'était une bonne idée ? Je le regardais alors. « C'est le cas de le dire. J'ai était humiliée Dylan, mais je t'en veux pas ». Lâchais-je alors en apaisant ma voix, je sais que c'est lui qu'il me faut, je le sais car je le sens. Tout ce qu'on a vécut était magique et c'était mon rêve, à moi. « Lorsque tu m'as dit "Je t'aime", j'aurais du dire que moi aussi, je t'aime. Ça m'a pris un moment pour le réalisé, parce que c'est nouveau pour moi, mais c'est la vérité. Ce n'est pas une de ses tactik pour se faire une fille, loin de la. Le fait d'être loin de toi aussi longtemps et de te savoir triste par ma faute me brisait le cœur. Je veux être avec toi, et je ne te demande pas de me pardonner maintenant mais... Est-ce que tu penses que ce sera possible un jour ? ». Je souriais intérieurement, je le montrais pas mais j'étais heureuse que j'avais envie de lui sautée dans les bras de suite mais quelque chose m'en empêchait .. Peut être encore cette angoisse, ce stress de me faire repousser de plus bel et je ne voulais pas, je voulais pas me reprendre un mur. « Je comprend que tu n'a pas pu me le dire mais ce que tu n'a pas dit ma blessée. Je me suis pris un râteau, le pire de ma vie ! C'est la première fois que je faisais le premier pas envers quelqu'un et toi, tu n'a rien dit et c'est ce qui m'a fait le plus mal. Bien sûr que je te pardonne, je suis rancunière mais pas avec toi, j'y arrive pas. C'est vrai que te voir chez moi m'a faire comprendre que tu voulais de moi et ça me plaît de te revoir .. ». Je le regardais en lui adressant un magnifique sourire, le sourire qui pardonne toute les erreur, qui pardonne tout ce qu'il s'est passer avant, c'était un sourire nouveau qui indiquait alors le présent et le futur, notre futur peut être, pourquoi pas. Je pris sa main pour entremêler nos doigt, ça lui permettrait de comprendre que tout était oublié. 

« Je te promet que tu ne le regretteras pas une seule seconde. ». Comment ne pas le croire alors qu'il était venu jusqu'ici alors qu'il pleuvait des cordes. Il a fait des erreur comme tout le monde mais la vie n'est pas livrée avec un mode d'emploi. Je remettais une mèche derrière mon oreille. Pourquoi me prendre la tête alors que tout est si simple hein ? Je le regardais alors. « Et ce sera la dernière, alors fais en bon usage ». Répondis-je alors en lui adressant un sourire, je reprenais petit à petit mon âme d'adolescente. Je frissonnais avant qu'il ne vienne poser ses lèvres sur les miennes et d'un coup, j'avais cette impression d'avoir oubliés toute les petites querelles qu'on avait eu tout les deux. Je voulais juste arrêter le temps et de profiter de rien d'autre que de lui, lui et lui seul. « Je t'aime Léana. Merci pour cette seconde chance. ». Il avait rompu notre baiser et je me sentais vide, vide de ne plus le sentir. Je m'approchais alors de lui en nichant ma tête aux creux de son cou. « Je t'aime aussi. De rien mais ne me déçoit pas ». Lançais-je en lui embrassant le cou doucement. 

Sa blessure était guérit, du moins j'avais tout fait pour qu'elle le soit. « Merci ». Je lui adressais un sourire en guise de réponse et m'étais assis sur ses genoux pour l'embrasser, je crois que je ne pourrais jamais me passer de ces lèvres, c'était un peu comme une dépendance, une drogue même. J'étai bien là, sur ces genoux et je ne voulais pas bouger. « Heureusement que tu es la ma puce. Tu es la meilleure, tu le sais ça? ». Je riais alors légèrement en frottant mon nez contre le sien amusée, à présent je ne savais ps ce que je deviendrais si il n'était pas là, j'avais pris l'habitude. « J'ai jute soignée ton doigt et oui je le sais, et toi tu sais que je t'aime ? ». A la fin de ces mots, ma sonnerie retentit et Dylan s'empressais de descendre chercher les pizzas. Moi, en attendant je rangeais un peu et descendais à mon tour afin de le rejoindre mais il m'avait déjà appelé. « Léaaanaa! Ma bella! ». Je me mis alors à rire en arrivant à la cuisine, fallait qu'il prenne des cours mais il se débrouillait pas trop mal, je dirais pas que c'est un boss dans cette langue mais il progressait. « Ton accent Italien est à revoir mon amour ». Je l'embrassais furtivement en m'installant sur une des chaise de ma cuisine face à lui en servant du vin dans nos verres avant de prendre une part et de croquer dedans. « Çà fait du bien de manger ». Lâchais-je alors en continuant de manger avec Dylan.

« Il n'est pas a revoir, c'est toi qui a mal entendu ». Je lui tirais la langue avec une grimace en riant tout en continuant à manger tranquillement et doucement sans me presser. Je crois bien que les pizzas était un plat que je mangeai régulièrement car ça allait plutôt vite à commander et je n'avais pas à faire la cuisine même si je savais la faire, bien entendu. Je lui adressais des sourires de temps à autre. « Écoute... j'aurais un truc a te dire. C'est seulement une question en fait. Tu sais ce... ce mec que tu vois souvent, Junan... Vous êtes seulement ami? C'est que tu le vois souvent et je me dis que pendant mon absence il s'est peut-être rapproché de toi... ». J'arrêtais spontanément de manger en fronçant un sourcil sans trop comprendre pourquoi il me demandait sa. Je passais une main dans me cheveux et avait retrouvés alors la petite colère qui s'était dissipés. « Ta raison, je t'es pardonner mais je te trompe, c'est tout moi sa ». Lançais-je sans trop me rendre compte de ce que je disais car ça ne tenait pas la route ! J'avais pardonner toutes les querelle de Dylan, ces doute et ces peurs par amour et il me croyait encore capable d'aller ailleurs ? Décidément, ça n'ira jamais, quoi que je fasse. « Si ta pas confiance Dylan, la porte et grande ouverte ! Je n'ai jamais était comme toi, moi. J'ai eu qu'une seule relation de ma vie qui s'est terminés en désastre. Je ne voulais plus de relation mais tu es arrivé, j'ai appris à t'aimer avec ton passé de garçon qui couche avec tout le monde. Je t'es dit ce fameux mot que j'avais jamais plus osé dire depuis longtemps et tu crois qu'avec ta petite absence, je serais capable d'aller avec Junan ? ». Lâchais-je en le regardant blessés de ce qu'il me demandait. Junan était mon meilleur ami, il faisait partie de ma vie depuis trop longtemps et c'était grâce à lui que j'avais réussis à faire le deuil de mon premier amour ! « Junan est quelqu'un qui compte énormément pour moi. On a jamais eu de relations et on en aura jamais, c'est pas une question d'amitié mais une question de principes ». Je riais nerveusement en levant les yeux au ciel, alors qu'on avait réussis à se redonner une chance, qu'on passe un moment agréable tout les deux, fallait qui gâche encore tout .. Comme si j'étais une pute sans cervelles et sans principes. « Je t'aime Dylan, quand va tu enfin le comprendre ? Jamais je pourrais faire une chose pareil, que ce oit avec Junan ou un autre. C'est toi, et ça sera toujours toi ». Dis-je avec toute la sincérité que je pouvais lui donner

« Excuse moi, j'aurais pas du douter. Je t'aime aussi, et j'ai confiance en toi, je t'assure. Je crois que j'arrive simplement pas à croire qu'une fille comme toi, s'intéresse à un mec comme moi. J'ai encore tout gâché, je suis désolé... ». Je le regardais me prendre les mains sans trop rien dire. Je comprenais qu'il pouvait être jaloux, c'était normal et mignon par la même occasion mais je n'étais pas comme ça et il le savait mieux que personnes. Certes j'avais était blessés mais d'un côté, je ne lui en voulais pas car j'aurais peut être eu la même réaction si c'était le contraire. « Ce sera que toi pour moi aussi, je peux t'en faire la promesse ». Il avait passer son bras autour de moi et spontanément, je me retournais pour le prendre dans mes bras, je nouais mes bras autour de son cou en y posant ma tête. J'avais quand même beaucoup de chance de l'avoir quand j'y pense et même si il était jaloux, il avait confiance en moi, c'était le principal. « Comment tu peux dire une chose pareil ? Pourquoi tu arrive pas à croire que je peux être avec toi ? Je te signale que c'est plutôt moi qui devrait dire sa, toi ta eu pleins d'aventure, moi non ». Dis-je en souriant puis le détacher de mon étreinte en souriant en passant ma main dans mes cheveux. Dylan était l'homme qui me fallait, c'était lui et ça sera toujours lui, quoi qu'il arrive.