Sujet: You better work B**** #A&A Mar 28 Jan - 23:36
Autumn&Andrea
You better work bitch
Une nouvelle journée terminée et pourtant Andrea semblait encore une tonne de travail à faire. Il n’avait jamais autant été débordé mais on ne pouvait pas le blâmer de vouloir rester dans son bureau et peaufiner quelques détails pour son futur projet. Il avait décidé de prendre les choses en main puisque ses soit disant employés n’étaient pas fichus d’accomplir une tâche qui était pourtant assez simple. Voilà qu’aujourd’hui, il était obligé de tout refaire pour ne pas perdre des investisseurs importants. C’était bien la peine d’engagé des personnes diplômées s’il ne pouvait absolument pas compter sur eux. Il y’avait des soucis du côté étranger et il n’avait pas vraiment envie de devoir se rendre à Paris pour régler quelques affaires. Il fut alors sorti de ses pensées lorsque le téléphone sonna « Allô ? … Ha oui bonjour Monsieur Dubois… Oui j’ai bien reçu les derniers croquis mais… Non c’est que j’ai dû revoir certains détails… visiblement il y’avait une erreur dans un paramètre assez important et je ne voulais pas que… bien Monsieur. Mon assistante se chargera de vous le faire parvenir aussi rapidement que possible… Oui dès demain… c’est entendu. » Il avait beau avoir quelques origines françaises, le jeune homme ne trouvait pas les parisiens très courtois mais son personnel avait merdé et il se devait de rectifier le tir. Demain matin, deux ou trois têtes allaient tomber et il se fichait royalement de savoir s’ils avaient besoin de ce travail pour survivre. Il n’allait pas perdre un gros pactole à cause d’incompétents ignares de surcroit. Il soupira, levant la tête pour regarder Londres qui se dessinait sous ses yeux. Il faisait déjà nuit depuis un bon moment et seules les lumières éclairaient la ville. Il pouvait voir non loin de son bureau, le big ben qui était, comme d’habitude, splendide. Il se replaça alors devant son bureau regardant les dossiers empilés sur ce dernier. Il allait surement y passer une bonne partie de la nuit. Adieu la bière, adieu les femmes, ce n’est pas ce soir qu’il allait pouvoir s’amuser un petit peu. Non… Dépité, il composa le numéro d’un traiteur japonais afin de pouvoir se restaurer un petit peu « Ce serait pour une commande… oui Roy Entreprises. Sushis saumon une fois, maki avocat une fois, sushis au thon une fois et je vais aussi vous prendre une bière japonaise… Très bien. Bonne soirée » Il reposa le combiné et reparti alors dans ses pensées. Il n’avait pas de nouvelles de ses parents depuis un petit moment et étrangement, ils ne lui manquaient pas plus que ça. Il était content de vivre sa propre vie et n’avait besoin de personnes pour la mener à bien. Cependant, ce soir, il aurait bien aimé avoir un petit coup de main pour pouvoir se débarrasser rapidement des dossiers qui lui encombraient la vue. Son téléphone sonna, la sécurité au rez-de-chaussée lui demandait confirmation d’une livraison, il répondit qu’il arrivait pour pouvoir récupérer sa commande. Une fois en bas, il laissa un pourboire au livreur et reparti au 7e étage. Il fronça les sourcils lorsqu’il vit qu’une lumière était toujours allumée. Soit un abruti avait laissé allumé cette lampe avant de partir, soit quelqu’un travaillait encore à cette heure-ci. Dans les deux cas, il ne serait tout de même pas d’accord. Il poussa la porte et vit une jeune femme sur son bureau. Il plissa alors les yeux, la scruta de haut en bas car il restait tout de même un homme et il fallait dire qu’elle semblait très jolie. Il sourit mais se reprit rapidement. « Hum hum. Que faites-vous ici à cette heure ? » Il n’avait pas eu le diplôme de la courtoisie mais bon il était comme ça de toute manière.
Sujet: Re: You better work B**** #A&A Mer 29 Jan - 14:43
Autumn&Andrea
You better work bitch
Lorsqu’Autumn s’était levée ce matin là, elle était en train de se demander si elle allait continuer encore longtemps. Sa vie était passionnante, mais cela ne l’empêchait pas de regretter le fait de ne pas vivre d’aventures aussi extraordinaires que celles qu’elle pouvait lire et dont elle était particulièrement fan. Mais la brune n’était pas niaise, tout était loin d’être facile. Après tout, depuis son enfance, elle savait que tout pouvait s’écrouler du jour au lendemain, la preuve était là avec le divorce de ses parents alors qu’on ne cessait de proclamer à tout va que l’amour était éternel, mais il fallait alors reconnaitre que tout ceci n’était que foutaises et qu’il fallait quand même ouvrir les yeux. S’étant préparée pour se rendre au travail, elle avait enfilé ses escarpins en soupirant. Ce tailleur lui allait à la perfection, et elle n’avait qu’une seule envie, continuer dans cette voie et faire que tout aille pour le mieux. Seulement, ce parcours universitaire était loin d’être son premier choix, et la photographie était sa passion première, mais le manque de confiance évident en elle-même faisait qu’elle n’avait jamais pu se lancer. Alors, tant pis, elle était partie sur le fait qu’elle se débrouillait relativement bien dans les chiffres et les nombres, et du coup elle faisait de tout ça un futur métier qui lui rapporterait non pas une fortune, mais elle s’en moquait. En plus, son stage se terminait bientôt et elle espérait secrètement qu’on la garderait parce que Roy entreprises était vraiment reconnu, et qu’elle s’y sentait à l’aise, et point supplémentaire, elle avait eu la chance de croiser plusieurs fois son patron et elle ne pouvait que reconnaitre son charme. Seulement, elle n’était pas comme toutes ces midinettes, qui auraient vendu leur âme au diable ou pire qui auraient misé sur la promotion canapé afin de pouvoir gravir les échelons plus rapidement. Etant à présent sur son lieu de travail, elle avait enchainé les coups de fil à répétition, à apporter les cafés, préparer les divers rendez-vous. A la pause, elle n’avait pu que discuter ou du moins entendre les bruits de couloirs. Toutefois, elle n’avait pas envie de prendre part aux débats « d’après ce que j’ai compris, le boss va avoir du boulot supplémentaire, vu que les français se sont montrés pire que mécontents de ce qui a été envoyé. Tu ne serais pas responsable, Autumn par hasard ? » . Comme elle était la petite dernière rentrée dans la boite, tout le monde la charriait et misait sur le fait qu’elle avait une relation avec Andrea, ce qui n’était absolument pas vrai. Levant les yeux au ciel, elle avait alors vivement rétorqué « si je me rappelle bien, ce n’est pas moi l’assistante personnelle, alors c’est surtout celle-ci qui devrait se remettre en question, plutôt que d’essayer de faire porter le chapeau aux autres. Sur ce, j’ai du boulot. » . Se servant un café, elle le but d’un trait, avant de repartir dans le cagibi qui lui servait de bureau. Bon sang, elle en avait plus que marre de passer pour la conne de service, uniquement là pour endosser les points négatifs. Son stage se passait à merveilles et son rapport avait été plus qu’élogieux, mais elle ne tenait pas non plus à tout prendre pour acquis. Une fois que la journée de travail fut terminée, Autumn n’eut pourtant pas envie de quitter tout de suite l’entreprise, parce qu’elle avait encore un peu de boulot. Méticuleuse, elle ne voulait pas le remettre au lendemain, et avait continué au point que lorsqu’elle consulta sa montre, celle-ci lui indiquait une heure plus que tardive. Toutefois, comme personne ne l’attendait, elle pouvait largement se le permettre. Prenant son manteau sur le bras ainsi que son sac à main, elle se rendit compte qu’elle avait un papier pour le patron, alias Andrea Roy. Certes, habituellement, elle le donnait à sa responsable, mais là, c’était assez urgent, et cela lui permettrait par la même occasion de se rendre dans le bureau le plus important. Direction le 7ème étage, la brune avait avancé sur la pointe des pieds, et une fois arrivée, elle ne put qu’allumer la lumière pour poser ce qu’elle avait en main sur le bureau de son boss. Sauf qu’il avait fallu qu’elle se montre maladroite et que le document ne parte plus loin que ce qu’elle aurait voulu. Autumn s’était penchée et entendant un bruit, elle s’était retournée, limite assise sur ce bureau, pour se retrouver face à face avec un homme qui la reluquait de haut en bas en prononçant un « Hum hum. Que faites-vous ici à cette heure ? » . Se mettant à rougir, elle baissa les yeux, face à celui qui était à la tête d’un empire colossal. « Excusez moi, j’avais juste un papier à vous faire signer, mais je vois que vous êtes occupé. Je vais vous laisser, avec tous vos dossiers, qui pourraient me faire de l’œil si je m’écoutais. Excusez-moi d’avoir pu vous déranger» . faisant un pas en avant, elle posa mal son pied et fut à deux doigts de tomber, si elle n’avait pas eu le réflexe de se raccrocher à ce beau brun. « et en plus, je suis maladroite. Je peux me faire pardonner de vous avoir éventuellement fait mal ?» . Levant les yeux vers son interlocuteur, elle se sentit défaillir un peu plus. Andrea était fort, très fort parce que sans dire ou faire quoi que ce soit, il avait un certain pouvoir sur celle qu’il ne connaissait, à coup sûr, pas…
Sujet: Re: You better work B**** #A&A Mer 29 Jan - 23:15
Autumn&Andrea
You better work bitch
Andrea était un homme toujours très droit lorsqu’il fallait parler affaires. Il ne plaisantait jamais pour ce genre de choses et bien qu’il ne soit pas très sérieux concernant ses relations amoureuses, il gardait tout ce sérieux-là pour le business. Il n’aimait pas échouer, il n’aimait pas les gens incompétents et il avait en horreur qu’on le prenne pour un imbécile. Autant dire qu’il ne fallait pas le décevoir dans son entreprise sinon on prenait directement la porte. Il se fichait bien de la vie des autres, il avait déjà la sienne à gérer et celle de son entreprise, alors quiconque ne voulait pas filer droit, il connaissait la sortie. Ou bien Andrea ferait un plaisir de leur montrer le chemin ! S’il y’avait bien une chose qu’on ne pouvait lui reprocher c’était bien son entreprise et le temps qu’il passait à l’université. Il était passionné et ça se voyait. Il était certes très fermé, très sérieux mais il n’en restait pas moins un homme dans toute sa splendeur. « Je pense qu’il serait temps de se mettre sérieusement au boulot Nadege » avait-il lancé à l’une de ses secrétaires. Il avait beau aimer les femmes, et les trouver toujours aussi charmantes, il n’aimait pas lorsqu’elle passait plus leur temps à se pouponner qu’à travailler. Dans son entreprise, il n’y avait pas de place pour la coiffure, elle n’était pas là pour faire la belle bien que ça plaise au CEO, ce n’était pas une raison pour y prendre goût. « Edward, je veux trois copies de ce dossier sur mon bureau demain, je me fiche que tu n’en dormes pas, si moi je ne dors pas, pas de raison que tu n’en fasses pas autant ! » avait-il dit sur un ton agacé et très énervé. Il fallait qu’il s’absente une journée pour que ce soit le bazar complet ! Visiblement, il allait encore devoir s’absenter afin de faire ce voyage à Paris pour rencontrer face à face les dirigeants de l’entreprise mécontente. Un Roy sur les nerfs ce n’était pas de bon augure et ce soir, seul dans son bureau à contempler les lumières de Londres, le jeune homme se rendait compte de tout le chemin qu’il avait déjà parcouru. Il était très fier de lui, il avait tant donné pour en arriver là et aujourd’hui encore, il misait tout sur le travail et la bonne volonté même s’il aimait déléguer le plus possible, ce qui n’était visiblement plus une très bonne idée. Une fois ses plats japonais récupérés, Andrea vit qu’il y’avait encore de la lumière, il n’était visiblement pas le dernier et il trouvait ça assez étrange de voir qu’une jeune femme qu’il ne connaissait pas vraiment était toute seule ici. Il prit tout de même le temps de la regarder de haut en bas pour la trouver assez séduisante, du moins du peu qu’il voyait. « Excusez-moi, j’avais juste un papier à vous faire signer, mais je vois que vous êtes occupé. Je vais vous laisser, avec tous vos dossiers, qui pourraient me faire de l’œil si je m’écoutais. Excusez-moi d’avoir pu vous déranger» Elle s’était levée et Andrea put admirer bien mieux la vue qui était sous ses yeux. Il esquissa un tout petit sourire mais garda la mine fermé et son sérieux sans vergogne. « A me faire signer ? A une heure pareille ? Quel papier ? » avait-il demandé sans pouvoir en demander d’avantage puisque la jeune femme venait de perdre l’équilibre. Il réussit alors à garder lui-même l’équilibre lorsqu’elle s’accrocha à lui pour ne pas tomber. « et en plus, je suis maladroite. Je peux me faire pardonner de vous avoir éventuellement fait mal ?» Il la rapprocha un peu plus de lui et pouvait sentir son souffle au creux de son cou. « Venez avec moi » avait-il murmuré tout en la laissant là pour regagner son bureau non loin. Il déposa alors les plats japonais sur celui-ci attendant qu’elle ne daigne arriver. Elle allait manger avec lui et elle lui serait d’une très grande aide. De plus, elle était une très jolie jeune femme, ce qui arrangerait bien la soirée. « Je vous attend ! » avait-il crié à la jeune femme. Il n’allait tout de même pas l’attendre indéfiniment.
Sujet: Re: You better work B**** #A&A Jeu 30 Jan - 20:26
Autumn&Andrea
You better work bitch
Autumn avait pensé que sa vie était plutôt bien arrangée finalement. Etant stagiaire, elle n’avait pas trop de responsabilités, mais il n’en demeurait pas moins qu’elle avait quand même un travail assez phénoménal, dans la mesure où sa responsable se déchargeait un maximum sur elle, afin de passer plus de temps possible en pause clopes ou à la machine à café. Cela l’agaçait, mais elle se taisait, bien que cela la titillait de plus en plus de la renvoyer bouler lorsqu’elle se prenait des réflexions en pleine figure. Mais bon, elle se disait que d’ici peu de temps, elle en aurait terminé et ne serait plus sous les ordres de cette abominable bonne femme, bien qu’elle ait espoir quand même d’être prise, c’était pour cette raison qu’elle se donnait à fond. En plus, les commentaires avaient été plus que positifs, alors elle n’avait pu que faire une petite remarque à sa pause à des collègues qui l’avaient limite insultée d’incapable, alors qu’elle était plus que consciencieuse dans tout ce qu’elle entreprenait, aussi bien sur le plan personnel que sur le plan privé. Quoique, si on y réfléchissait bien, le second ne connaissait rien de palpitant, c’était même un désert depuis quelques temps, mais cela ne la dérangeait pas plus que cela, au moins, elle n’était pas obligée de supporter des comportements désobligeants qui lui rappelleraient qu’il n’y avait pas que le travail, et qu’elle se tuait à la tâche pour rien, ou pour un mec qui n’avait aucune idée de qui elle était, vu qu’elle n’était qu’un pion parmi tant d’autres. Elle en avait pleinement conscience, mais elle s’en moquait, c’était dit. Alors à nouveau, elle s’était donné à fond pour finir les dossiers qu’elle avait en cours, et vu que le lendemain, elle était quasiment sure d’avoir une pile sur le bureau qu’elle occupait, elle avait pris de l’avance, quitte à finir à une heure indécente qui aurait pu être totalement inacceptable pour certains, qui n’étaient plus au bureau depuis un bon moment déjà, étant donné que toutes les lumières étaient éteintes, et que la nuit avait pointé le bout de son nez. Après avoir fait tout le travail, la brune s’était rendu compte qu’elle avait besoin de faire signer un papier, et si elle pouvait se montrer timide, elle avait été de se montrer audacieuse en allant porter elle-même ce document sur le bureau d’Andrea Roy, et puis, cela lui permettrait de monter au 7ème étage, chose qu’elle n’avait jamais eu l’occasion de faire par le passé, mais cela allait changer, juste pour cette fois du moins. Et alors qu’elle avait cru être toute seule pour poser le fameux papier en question, elle avait été prise sur le fait par le patron en personne. Autumn était loin d’être à l’aise, au point où elle s’était retrouvée limite assise sur le bureau du chef, enfin même très sexy chef. Elle se sentait se liquéfier sous son regard, et elle osait à peine le dévisager ou le regarder de bas en haut, comme lui le faisait ouvertement. La jeune femme avait bien trop d’éducation pour lui taper sur les doigts ou le remettre à sa place, parce que certes, elle avait des formes, mais ce n’était pas une raison pour la reluquer de la sorte. Ayant répondu quand même à la question de manière très polie, elle n’avait pu que se lever, et regarder le visage d’Andrea où se mélangeaient un sourire ainsi qu’un sérieux qui était plus qu’effrayant en y réfléchissant bien. « A me faire signer ? A une heure pareille ? Quel papier ? » . Bon sang, elle était à deux doigts de lui balancer une remarque cinglante. Mais elle s’était contentée de croiser les bras, en essayant de lui faire front, avant de se raviser et de rester dans la courtoisie et l’amabilité. « Oui, des papiers, même à cette heure. Cela vous surprend tellement qu’on puisse rester jusqu’à la nuit tombée pour essayer de faire un travail sérieux ? Je crois que j’aurais du m’abstenir et rester à ma place, ma tutrice se serait chargée volontiers de vous les apporter. ». Elle se moquait pas mal de ne pas répondre à la question du brun, mais elle s’en moquait pas mal, au pire elle aurait droit à une remarque encore désagréable, sur un ton qui ne donnait pas spécialement envie d’engager la conversation, mais il valait mieux ça que quelqu’un de trop gentil qui vous plantait un couteau dans le dos. Seulement, voilà il avait fallu d’un faux pas pour qu’elle évite de justesse une chute, en se raccrochant à cet homme, qui l’avait attirée un peu plus à lui. La brune avait senti son cœur s’accélérer de par ce contact, mais elle était restée stoïque, elle se le devait. Son « Venez avec moi » la surprit, et elle était restée là, avant qu’il ne lui assigne un nouveau « Je vous attends ! » . Là, elle pressa le pas, et la jeune femme ne put qu’entrer d’un pas décidé, l’air décidé. « Dites donc, je veux bien que vous soyez à la tête de cet empire, mais cela ne vous empêche surement pas de traiter les gens de cette manière. Vous connaissez la politesse, et les s’il vous plait ? ». S’approchant de lui, elle posa son index sur son torse, la brune le défia du regard « je ne suis qu’une stagiaire et vous êtes mon boss, celui qui a accepté ma candidature, mais ouvrez les yeux, on se saigne pour vous, alors ayez un peu de respect pour eux. bon, qu’attendez vous de moi à cet instant précis ?». Mettant une main sur sa hanche, Autumn le dévisageait, un sourire aux lèvres. Mais même si elle se montrait forte, à l’intérieur elle tremblait…
Sujet: Re: You better work B**** #A&A Ven 31 Jan - 13:04
Autumn&Andrea
You better work bitch
ndrea avait toujours des problèmes avec sa vie sentimentale mais il ne se posait jamais réellement de questions. Il vivait tout le temps au jour le jour sans se poser de questions. Les seules choses dont il se souciait etait bel et bien son entreprise et ca lui allait très bien comme çà. C'était un homme assez serieux surtout dans son travail mais pour le reste il brisait pas mal de coeurs. Il ne le faisait pas exprès, il était séduisant, même sexy sur les bords, mais il n'en jouait pas vraiment. Du moins, pas beaucoup. Il avait plus de chance de séduire une femme avec son corps et sa prestance qu'avec son prénom qui était au départ un prénom féminin. Il voulait que ses employés travaillent sérieusement, qu'on n'ait pas besoin de lui pour tout et n'importe quoi. Il aimait déléguer pour pouvoir sereinement jouer son rôle de professeur à l'université. Il aimait enseigner bien qu'en premier lieu, il n'était pas prédestiné à ce genre de pratiques. Fatigué de savoir qu'il allait y passer toute la nuit et il se contenait de ne pas s'énerver. Ca ne servait à rien de toute manière. Il pouvait parfois être nerveux, il n'aimait pas lorsque le travail était mal fait et il détestait passer derrière les gens afin de rectifier leurs erreurs. À part ça, c'était un homme qui n'avait pas pour habitude de se prendre la tête, il était plutôt calme dans l'ensemble mais tout de même assez autoritaire sur les bords. Il allait se consoler avec de bons plats japonais et il en salivait d'avance. Il aurait pu demander quelques employés a rester avec lui pour les punir mais on était mieux servi que par soi même. Alors qu'il revenait dans son bureau, il vit de la lumière et s'approcha pour découvrir une jolie demoiselle toujours présente. Malgré sa beauté évidente, Andrea n'avait pas envie de se démonter et n'en perdait donc pas son cynisme légendaire. Elle était jolie, même très belle et il était bien tard pour qu'une jolie jeune fille soit encore ici. Il ne la connaissait pas, il l'avait sûrement vu quelques fois mais n'en avait pas vraiment le souvenir. Il aurait repérer bien plus tôt la demoiselle avant sinon. Un léger sourire aux lèvres mais rien d'important, il se repris rapidement n'allant pas la laisser tranquille et elle pourrait être utile. Pour ses yeux comme pour son travail à faire. Elle semblait bien jeune pour être une employée, elle était sûrement stagiaire, mais elle ferait bien l'affaire. Il n'avait pas eu de vent sur elle ce qui voulait dire qu'elle semblait être dynamique et sérieuse dans son travail. Un bon élément en somme. « Oui, des papiers, même à cette heure. Cela vous surprend tellement qu’on puisse rester jusqu’à la nuit tombée pour essayer de faire un travail sérieux ? Je crois que j’aurais du m’abstenir et rester à ma place, ma tutrice se serait chargée volontiers de vous les apporter. » il soupira, elle n’avait pas sa langue dans sa poche visiblement et il appreciait déjà ca. Oui, il aimait l'autorité venant de certaines personnes, il appreciait qu'on lui tienne tête. C'était assez excitant. Il passa sa langue sur ses lèvres afin de les humidifier. « il est vrai que ces derniers temps mes employés n'ont pas vraiment envie de se mettre au travail et personne ne reste jamais le soir, surtout pas aussi tard. Que voulez vous me faire signer exactement ?» finit il par lui demander, faussement intéressé par les papiers que la jeune femme voulait lui faire signer. Il ne lui laissa le temps de rien et reparti dans son bureau après lui avoir demandé de le suivre. Il enleva doucement tout ce qu'il y avait sur son bureau afin qu'il puisse manger un morceau, pensant même à la jeune femme. Oui, il pouvait avoir un coeur lorsqu'il le voulait. Il commença alors à sortir le contenu de son sac plastique lorsque la jeune femme entra à la hâte dans son bureau. « Dites donc, je veux bien que vous soyez à la tête de cet empire, mais cela ne vous empêche surement pas de traiter les gens de cette manière. Vous connaissez la politesse, et les s’il vous plait ? » il sourit à la jeune femme, il se fichait bien de ne pas être vraiment poli pour le coup. Qu'allait elle bien pouvoir faire ?! Il arqua un sourcil la laissant faire et appréciant secrètement ce genre d'initiative. « Et bien, c'est une entrée. On ne se connaît pas. Si nous faisions connaissance. Vous êtes ? » Il avait ensuite montrer à la jeune femme de prendre place. « J'allais commencer à manger, ce sont des plats japonais. Prenez place, s'il vous plaît et joignez vous à moi voulez vous ?» la jeune femme le defiait du regard mais à ce petit jeu-là, c'est lui qui allait gagner c'était certain. « je ne suis qu’une stagiaire et vous êtes mon boss, celui qui a accepté ma candidature, mais ouvrez les yeux, on se saigne pour vous, alors ayez un peu de respect pour eux. bon, qu’attendez vous de moi à cet instant précis ?» avec cette main sur sa hanche, la jeune femme le charmait un peu plus. « Si mes employés pouvaient être comme vous, ok avancerait sûrement plus vite. Une stagiaire, certes, mais une jeune femme qui semble très bien travailler. Arrêtez avec l'insolence, je sais qui travaille et qui ne travaille pas. Quoiqu'il en soit, votre aide me serait bien précieuse, si vous le voulez bien, bien évidemment. Après avoir dîner, j'ai quelques dossiers à finir à cause de l'incompétence de certaines personnes... » Il ne souriait pas et gardait toujours son air impassible et trop sérieux.
Sujet: Re: You better work B**** #A&A Dim 2 Fév - 21:17
Autumn&Andrea
You better work bitch
Le fait de rester travailler tard était la preuve qu’Autumn était très consciencieuse dans le métier qu’elle souhaitait exercer. Simple stagiaire, elle aurait pu se contenter du minimum, mais elle voulait bien plus, pousser ses limites encore plus loin et montrer qu’elle n’était pas une simple brune avec des formes. Certes, elle en avait entendu des commentaires désobligeants, et elle voulait passer outre tout ça, bien qu’elle avait eu une envie d’aller dans une toute autre voie celle de la photographie, où on n’aurait pas fait attention à la manière dont elle était faite, mais plus la caractéristique de son œil aiguisé, seulement il lui manquait un point non négligeable : la confiance en elle, cette confiance qui avait disparu depuis un bon moment déjà et qui l’avait faite se réfugier dans les livres, le seul endroit en quelque sorte où aucune mauvaise surprise ne l’attendait. Enfin là elle s’accommodait des exigences demandées par cette entreprise qui était plus que reconnue. Mais c’était ce qu’il lui fallait, du moins c’était ce qu’elle ne cessait de se répéter, y compris ce soir en travaillant d’arrache-pied alors qu’elle aurait très bien pu le repousser au lendemain, mais la brune n’était pas de ce genre là. La jeune femme savait montrer les crocs, elle avait su le montrer dans la journée, et se retrouver face à Andrea C. Roy qui semblait très hautain. Et c’était une chose qu’elle ne supportait pas ce genre de personnalité, et si elle avait eu des échos, à présent se retrouver limite les yeux dans les yeux de ce brun aurait pu la mettre mal à l’aise. Toutefois d’un point de vue extérieur, elle semblait forte, froide, de glace. A l’intérieur, c’était l’opposé et elle ne savait pas du tout où elle trouvait cette énergie pour tenir tête à ce symbole de puissance et de réussite. « il est vrai que ces derniers temps mes employés n'ont pas vraiment envie de se mettre au travail et personne ne reste jamais le soir, surtout pas aussi tard. Que voulez vous me faire signer exactement ?» . Le fait qu’il passe la langue sur la lèvre aurait pu la déstabiliser, vu qu’il avait ressemblé à un loup qui était prêt à bondir, ou plutôt un tigre, mais elle ne tenait pas non plus à flancher. Non, elle ne donnerait pas ce plaisir à celui qui semblait être habitué à qu’on dise amen à ce qu’il disait, et si elle aurait pu agir de même, ce qui aurait été de son intérêt, il était à présent hors de question de faire machine arrière et de montrer qu’elle regretter son attitude. Venant jouer avec une mèche de cheveux en se mordillant la lèvre, elle prit une profonde inspiration avant de se lancer et de répondre d’une voix emplie d’assurance « je vois ce que vous voulez dire. Même dans l’ombre on voit certaines choses. Il faudrait leur expliquer les choses plus clairement ou alors serrer un peu plus la vis, si on peut utiliser cette expression. Vous n’aurez qu’à vous y pencher ultérieurement, ce n’est rien de pressant. ». Autumn avait très bien constaté qu’il avait fait semblant de s’intéresser à ce qu’elle avait porté, et elle ne comptait pas épiloguer dessus, il verrait bien tout ceci en temps et en heure. Parce que si elle avait eu le temps de parole, celui-ci avait été abrégé en raison du départ d’Andréa vers son bureau, où il avait aboyé ses ordres. Seulement, elle n’avait pas envie de jouer les gentilles petites stagiaires, bien que cela aurait été plus que naturel qu’elle se comporte comme tel. Alors en le suivant, elle avait su faire preuve d’autorité, enfin plutôt avait laissé parler son caractère, et autant dire que les mots n’avaient pas fait dans la dentelle. Malgré son sourire, elle percevait très bien que cela devait quelque peu le surprendre qu’on s’oppose à lui de la sorte. Le sourcil arqué, elle avait souri face à son « Et bien, c'est une entrée. On ne se connaît pas. Si nous faisions connaissance. Vous êtes ? J'allais commencer à manger, ce sont des plats japonais. Prenez place, s'il vous plaît et joignez vous à moi voulez vous ?» . La brunette aurait pu répondre, mais elle n’avait pas envie de se dévoiler. Se mordillant la lèvre, elle plongea son regard dans le sien, avant de rétorquer « auriez-vous préféré que j’arrive sur la pointe des pieds ? telle une maitresse qui a peur d’être surprise par la femme de son amant ? connaissance ? Réellement, vous y tenez ? Et pourquoi ne pas simplement manger, en parlant de vous Andrea Roy. Après tout, la pauvre Autumn que je suis n’est pas très intéressante. Et serait-ce un ordre que vous me donnez là ? ». Une part de mystère ne faisait jamais de mal et elle le savait pertinemment, en même temps, elle jouait avec les armes qu’elle avait. Son regard défiait inlassablement celui du brun, et sa posture ne la trahissait nullement. « Si mes employés pouvaient être comme vous, ok avancerait sûrement plus vite. Une stagiaire, certes, mais une jeune femme qui semble très bien travailler. Arrêtez avec l'insolence, je sais qui travaille et qui ne travaille pas. Quoiqu'il en soit, votre aide me serait bien précieuse, si vous le voulez bien, bien évidemment. Après avoir dîner, j'ai quelques dossiers à finir à cause de l'incompétence de certaines personnes... » . Autumn se rapprocha un peu plus, venant effleurer la jambe d’Andrea de la sienne. « Nous allons dire que nous n’avons peut-être pas la même mentalité, ou les mêmes priorités. Je suis une simple stagiaire, et j’espère juste que vous serez satisfait du travail fourni, et que votre successeur sera de votre avis également. je ne suis en rien insolente, mais vous ne me connaissez pas très cher. ». Se penchant, elle posa son index sur le torse de cet homme. « Donc, si je vous comprends bien, vous voulez me nourrir pour mieux me faire travailler par la suite ? Vous êtes très malin, très malin, je dois bien le reconnaitre. ». Lui souriant, elle se recula, et finit à nouveau à moitié assise sur le bureau et prononça un « oups. » d’une voix limite chaude et provocatrice. Se relevant, elle avança tout doucement pour faire le tour du bureau et s’installer en face de lui…
Sujet: Re: You better work B**** #A&A Dim 2 Fév - 23:46
Autumn&Andrea
You better work bitch
Andrea se fichait de travailler, il aimait son entreprise plus que sa vie si on pouvait ainsi dire et il donnerait tout pour celle-ci. Il n’aimait pas qu’on le prenne pour un imbécile, il n’aimait pas qu’on profite de son absence pour faire n’importe quoi et qu’on perde des clients à cause d’une incompétence. Il était assez sévère comme ça, on pouvait le détester, il s’en fichait, la porte était grande ouverte. Peu, importe, il trouverait toujours d’autres personnes pour faire le travail de ceux qui prendraient la porte et il ne fallait pas compter sur lui pour avoir un minimum de pitié. Pour lui, le travail était très important et si on ne pouvait pas compter sur une personne, et bien elle était vivement remplacée. Il ne se prenait absolument pas la tête, il n’aimait pas se mettre en colère et il ne se mettait d’ailleurs jamais vraiment en colère, il agissait. Pas besoin de paroles avec lui, les simples gestes suffisaient et on ne pouvait le contre dire la dessus. Il était très stricte, certes, mais ça faisait partie de son charme. Alors qu’il était bloqué au bureau pour le reste de la soirée, il avait finalement commandé de quoi manger afin de ne pas mourir de faim et de soif et avait remarqué une présence inhabituelle. Il fut tout de même ravi de voir qu’une jeune femme, plutôt ravissante avait décidé de rester assez tard elle aussi. Il ne la connaissait pas, ou bien il avait dû la voir mais que les rares fois où il prêtait attention aux personnes de son entreprise. A peine le dialogue commencé, que le ton était déjà lancé. Elle n’avait pas sa langue dans sa poche et Andrea appréciait déjà ce petit plus de la jeune femme. Il aimait l’autorité mais elle semblait détester ça et il allait s’en donner à cœur joie. Le petit jeu qui commençait déjà à s’instaurer entre le CEO et sa stagiaire était très satisfaisant. Mais attention à ne pas se brûler les ailes. Il ne souriait pas, il ne souriait jamais vraiment, il ne savait pas ce que s’était finalement mais la jeune femme avait le don de le dérider un petit peu. Enfin, il n’allait pas lui montrer par un petit sourire, bien au contraire, il allait se montrer un peu plus froid, un peu plus autoritaire et teigneux. Elle tombait à pic en tous les cas, car un peu d’aide de sa part lui plairait grandement et puis il pourrait se rincer l’œil par la même occasion. On avait l’impression de voir un lion face à sa proie en les regardant tous les deux mais la soirée était encore jeune, affaire à suivre. Il plissa doucement les yeux la voyant jouer avec une mèche de cheveux et se mordre la lèvre. Elle le titillait, elle jouait avec lui. Cette stagiaire n’avait pas froid aux yeux. « je vois ce que vous voulez dire. Même dans l’ombre on voit certaines choses. Il faudrait leur expliquer les choses plus clairement ou alors serrer un peu plus la vis, si on peut utiliser cette expression. Vous n’aurez qu’à vous y pencher ultérieurement, ce n’est rien de pressant. » Il leva les yeux au ciel. Tous deux jouaient déjà à un petit jeu dangereux et peu importe si elle était une stagiaire ou non. GAME ON. « Etes-vous en train de me dire que vous êtes témoin de certaines choses ? Car si c’est le cas, parlez ! Maintenant que vous avez mis ces papiers sur le tapis, continuez et montrez-les moi » il se fichait royalement des papiers qu’elle voulait lui faire signer, il avait simplement envie de poser ses mains sur cette jeune femme mais il ne voulait pas le faire tout de suite, ce serait bien trop facile. « auriez-vous préféré que j’arrive sur la pointe des pieds ? telle une maitresse qui a peur d’être surprise par la femme de son amant ? connaissance ? Réellement, vous y tenez ? Et pourquoi ne pas simplement manger, en parlant de vous Andrea Roy. Après tout, la pauvre Autumn que je suis n’est pas très intéressante. Et serait-ce un ordre que vous me donnez là ? » Il écoutait la jeune femme lui conter son monologue mais admirait la silhouette parfaite de cette dernière. Elle était vraiment jolie, et elle avait un corps magnifique. Andrea se demandait si elle avait un petit ami, et quand bien même, il se fichait bien qu’elle soit en couple avec quelqu’un, il l’aurait, il finirait par l’avoir c’était certain. Elle le défiait, il le sentait et il aimait ça. Il avait envie de la remettre tout de même un peu à sa place. « Peu m’importe, mais ayez un peu de respect pour votre patron ! Vous parlez en connaissance de cause peut-être ? Je ne parle jamais de moi mademoiselle et ce serait plus intéressant d’en savoir plus sur vous, c’est un ordre effectivement Autumn. Joli prénom, pour une jolie jeune femme. Vous êtes dans l’entreprise pour quelle raison ? Une stagiaire qui étudie quelle matière principale ? » Il s’intéressait à elle mais la seule question qu’il avait vraiment envie de lui poser était celle qui lui brulait les lèvres. Avait-elle oui ou non un petit ami. La jeune femme se rapprocha un peu plus de lui et il ne flanchait pas le moins du monde. Il restait droit, derrière son bureau. Il regarda la jambe de la jeune femme lui effleurer la sienne doucement. Il avait envie d’elle. C’était très frustrant quand même. « Nous allons dire que nous n’avons peut-être pas la même mentalité, ou les mêmes priorités. Je suis une simple stagiaire, et j’espère juste que vous serez satisfait du travail fourni, et que votre successeur sera de votre avis également. je ne suis en rien insolente, mais vous ne me connaissez pas très cher. » il la scruta de haut en bas, comme au tout début de leur rencontre et se laissa une nouvelle faire lorsqu’elle posa son index sur le torse d’Andrea. Après quelques secondes, il prit la main que la jeune femme avait posé sur son torse et lui murmura « Mon successeur ? Vous y aller bien vite dis donc et ne jouait pas avec le feu Autumn, vous risquerez de perdre vos jolies petites ailes. Je ne vous connais pas, mais vous ne connaissez pas non plus l’homme à qui vous parlez… attention. » une parole de plus, un geste de plus et il serait capable de la plaquer contre cette grand baie vitrée. « Donc, si je vous comprends bien, vous voulez me nourrir pour mieux me faire travailler par la suite ? Vous êtes très malin, très malin, je dois bien le reconnaitre. » Il lâcha la main de la jeune femme qui se recula par la même occasion. « Ne jouez pas les malines avec moi Mademoiselle » avait-il répondu sans rien ajouter d’autre la regardant jouer avec lui un peu plus. « oups. » Il plongea son regard dans celui de la jeune femme qui n’en démordait pas. Elle s’installa alors face à lui, sur le bureau. Lui se rapprocha d’elle doucement. Et plaça ses deux mains de chaque côté de la jeune femme. « Vous croyez-vous maligne mademoiselle ? » Il posa alors une de ses main sur la cuisse de la jeune femme tout en se rapprochant dangereusement de son visage. « Descendez de ce bureau et asseyez-vous afin de manger avant de m’aider un peu ! » Il essayait de se contenir un peu, la soirée ne venait que de commencer et il ne fallait pas brûler les étapes.
Sujet: Re: You better work B**** #A&A Mar 4 Fév - 18:04
Autumn&Andrea
You better work bitch
« Etes-vous en train de me dire que vous êtes témoin de certaines choses ? Car si c’est le cas, parlez ! Maintenant que vous avez mis ces papiers sur le tapis, continuez et montrez-les moi » . Autumn avait automatiquement levé les yeux au ciel en croisant les bras. A vrai dire, c’était elle qui avait lancé les hostilités en parlant de ce qui se passait dans les bureaux, ce qu’il ne voyait pas. Parce que oui, la brune pouvait se montrer relativement calme, là, elle se la jouait aguicheuse avec le très grand patron Andrea Roy, sans qu’elle n’en ait envie de rougir ou de faire machine arrière. Elle jouait avec le feu, mais cela la faisait frissonner de manière irrévocable. La demoiselle n’était que stagiaire, et elle aurait du se calmer, mais c’était trop tentant. « je ne parlerai qu’en présence de mon avocat, c’est bien ça la formule, monsieur Roy, que je ne me trompe pas. De toute manière, ce n’est pas à moi de me mêler de vos affaires, vous êtes bien assez grand pour gérer votre entreprise seul, sinon je pourrais bien demander une augmentation et un poste plus important, ce qui serait très ennuyeux et attiserait les commentaires et les bruits de couloir. Tenez », dit-elle en se penchant pour attraper les papiers qu’elle avait déposés plus tôt sur le bureau et les lui tendit. Lana savait que cette posture pourrait être mal interprétée et qu’il avait pu se rincer l’œil quelques instants durant, mais elle se dépêcha de retrouver une attitude et surtout une position plus adéquate et surtout beaucoup moins provocatrice. Au moins, une chose de faite, et tant pis si elle risquait de se faire taper sur les doigts pour avoir apporté elle-même ce précieux document. Enfin tant pis. Par la suite, elle l’avait suivi dans son bureau, en exprimant ce que cet ordre engendrait chez elle. Lana n’avait que sortir le ton quelque peu agressif tout en restant polie en courtoise, autant qu’elle pouvait, mais c’était plus que difficile de se contenir et de rester calme et à sa place, surtout quand il regardait sa plastique, sans se cacher. Etait-ce ça qui la faisait sortir un peu plus de ses gonds ? Sans nul doute, mais elle s’était abstenue de le gifler et l’avait écouté s’exprimer à son tour « Peu m’importe, mais ayez un peu de respect pour votre patron ! Vous parlez en connaissance de cause peut-être ? Je ne parle jamais de moi mademoiselle et ce serait plus intéressant d’en savoir plus sur vous, c’est un ordre effectivement Autumn. Joli prénom, pour une jolie jeune femme. Vous êtes dans l’entreprise pour quelle raison ? Une stagiaire qui étudie quelle matière principale ? » . Andrea n’avait pas tort du tout, elle outrepassait ses droits, et elle se sentait vraiment penaude, en baissant légèrement les yeux avant de les relever, histoire de venir planter son regard dans le sien. « Ah parce que vous avez du respect pour vos employés, même si ce ne sont que de simples stagiaires ? Les efforts, c’est dans les deux sens si je ne m’abuse. Bien évidemment comme si j’étais forcément une adepte de ce genre de choses ? Et ben non, soyez rassuré monsieur. Encore une fois dans un seul sens, je dois vous appeler comment ? Chef, monsieur Roy, ou autre ? Et sachez une chose, je peux être très indisciplinée, et je n’obéis pas à tous les ordres donnés, au moins vous êtes prévenus, et c’est un détail sur moi que vous connaissez à présent. Je suis stagiaire, et je viens de terminer mes études de gestion, donc autant dire que mon stage tire à sa fin également ». Au moins, elle était honnête sans se montrer effrontée, ce qui était bien inédit en cette soirée. Au moins elle calmait le jeu, au niveau des paroles, parce que ses gestes étaient passés à un stade supérieur, en venant coller sa jambe contre la sienne, ce qui signifiait que le premier contact physique avait eu lieu, de par son initiative. La brunette ne se sentait pas forcément à l’aise, bien qu’elle fasse la femme forte prête à tout, un peu comme une tigresse ou une aguicheuse de premier lieu. Et sous son regard qui se faisait toujours plus intense, elle ne bronchait toujours pas, partagée entre la colère et l’excitation du moment. D’ailleurs, elle en avait rajouté un peu plus, en posant son index sur son torse, avant qu’il ne lui prenne la main. Tout s’accélérait et elle était en train de se dire qu’ils étaient quasiment arrivés à un point de non retour. « Mon successeur ? Vous y aller bien vite dis donc et ne jouait pas avec le feu Autumn, vous risquerez de perdre vos jolies petites ailes. Je ne vous connais pas, mais vous ne connaissez pas non plus l’homme à qui vous parlez… attention. » . Se penchant un peu plus vers lui, elle susurra à son oreille « oui, votre successeur, vu que le stage est quasi fini et que cela m’étonnerait dur que vous décidiez de me prendre en tant qu’employée ici. Je peux jouer avec le feu, mes ailes sont sauvées. C’est peut-être vous qui avez peur d’une brune qui peut se montrer féroce malgré son rang. Hum, et je ne demande qu’à vous connaitre ». Soufflant doucement dans le cou du brun, elle avait reculé lorsqu’il lui avait rendu sa main, agrandissant ainsi la distance qui les séparait. C’était préférable, parce qu’elle se doutait que cela risquait de mal finir, alors calmer le jeu et faire descendre la température de l’air ambiant de la pièce était quand même mieux. Seulement, il avait décidé qu’ils travaillent ensemble, après avoir mangé lui avait fait penser qu’il était plus que malin, chose qu’elle n’avait pu taire, bien évidemment. « Ne jouez pas les malines avec moi Mademoiselle » . Lui tirant la lèvre, elle se mordilla la lèvre, une pointe de malice dans le regard, elle ne rétorqua rien, vu qu’en voulant se reculer, elle s’était retrouvée un peu assise sur le bureau, ce qui semblait lui déplaire fortement, étant donné que le brun s’était rapproché d’elle, l’air menaçant en posant d’abord ses mains sur le bureau de chaque coté d’elle « Ne jouez pas les malines avec moi Mademoiselle » , avant de finalement une de ses mains sur la cuisse de la brune. Celle-ci était en train de tressaillir sans qu’il ne s’en rende compte, du moins elle l’espérait. « Descendez de ce bureau et asseyez-vous afin de manger avant de m’aider un peu ! » . Leurs visages très proches, Lana aurait pu le provoquer un peu plus, ce qu’elle fit, en croisant ses jambes, emprisonnant en quelque sorte la main de l’homme entre ses cuisses. Se pinçant les lèvres, elle se pencha doucement en arrière, afin d’essayer de voir où se trouvaient les dossiers en question. « Hum, désolée, il est très agréable et très confortable surtout votre bureau. Et je préfère travailler un peu avant de manger, comme ça, après l’effort, le réconfort». S’étant relevée tout doucement, la brune venait effleurer tout doucement son patron, en posant sa main sur celle qui était toujours présente sur le bureau « Au travail Monsieur Roy, je n’ai pas toute la nuit devant moi, et vous devez surement avoir des projets également, surtout un homme aussi charmant que vous, et encore je retiens et pèse mes mots», avait-elle susurré d’une voix douce et chaude. Encore une fois, tentation, provocation…
Sujet: Re: You better work B**** #A&A Jeu 6 Fév - 20:25
Autumn&Andrea
You better work bitch
Andrea n’aimait pas beaucoup le ton que prenait la jeune femme. Il voyait qu’elle se jouait un peu de lui, mais malgré tout, il prenait plaisir à voir le petit manège de la jolie brunette. Elle était belle et avait un très fort potentiel. Elle lui plaisait. Elle était digne d’être dans son entreprise c’était certain. « je ne parlerai qu’en présence de mon avocat, c’est bien ça la formule, monsieur Roy, que je ne me trompe pas. De toute manière, ce n’est pas à moi de me mêler de vos affaires, vous êtes bien assez grand pour gérer votre entreprise seul, sinon je pourrais bien demander une augmentation et un poste plus important, ce qui serait très ennuyeux et attiserait les commentaires et les bruits de couloir. Tenez » Il ne sourit pas. Il ne souriait pas beaucoup de toute manière et malgré qu’il apprécie un tantinet le petit jeu de la jeune femme, il voulait se montrer tout de même encore réticent et froid. Il n’allait pas céder aussi facilement et puis, c’était encore une stagiaire et c’était lui le patron. Il n’avait pas envie qu’après, elle vienne raconter qu’il avait abusé d’elle. Il attrapa les papiers et Andrea les récupéra afin d’y jeter un coup d’œil assez bref. Il préférait regarder la jeune femme et il ne se cachait pas de la reluquer, bien au contraire. Il jouait avec elle, comme elle le faisait si bien aussi. « Vous faut-il vraiment un avocat mademoiselle ? Je pense que vous êtes assez grande et que vous avez… assez d’arguments pour plaider sans avoir besoin d’avocats… je me trompe ? Une augmentation, rien que ça ? Pensez-vous que je vous en donnerai une pour m’avoir raconté quelques petites histoires de bureau ? Il y’a moyen de s’arranger si vous y tenez tant. Attention, vous n’êtes qu’une stagiaire jeune demoiselle… vous n’avez pas froid aux yeux ! » s’exclama-t-il après avoir répondu à la jeune femme du tac-au-tac. Il aimait avoir le dernier mot, mais il semblerait que la jeune femme aussi aimait avoir le dernier mot. Elle était partante pour le titiller par la même occasion mais il n’allait pas se laisser faire aussi facilement. Il avait encore beaucoup de cordes à son arc. Cependant, il fallait reconnaître qu’elle avait un sacré potentiel et qu’elle savait y faire. Attendons de voir la suite. Mais pour le moment, il n’était pas certain de pouvoir faire ce qu’il avait à faire ce soir. Elle prit alors une posture moins aguicheuse qui eut le don de rendre Andrea un peu triste. Il aimait pouvoir jeter un œil à ses formes plus que sympathiques. Tant pis, elle n’allait pas rester comme ça indéfiniment de toute manière. [color=#B9121B] « Ah parce que vous avez du respect pour vos employés, même si ce ne sont que de simples stagiaires ? Les efforts, c’est dans les deux sens si je ne m’abuse. Bien évidemment comme si j’étais forcément une adepte de ce genre de choses ? Et ben non, soyez rassuré monsieur. Encore une fois dans un seul sens, je dois vous appeler comment ? Chef, monsieur Roy, ou autre ? Et sachez une chose, je peux être très indisciplinée, et je n’obéis pas à tous les ordres donnés, au moins vous êtes prévenus, et c’est un détail sur moi que vous connaissez à présent. Je suis stagiaire, et je viens de terminer mes études de gestion, donc autant dire que mon stage tire à sa fin également » Il se mordit alors la lèvre, tout en se contentant de ne pas lui sauter dessus. Elle commençait à le chauffer réellement et il avait bien du mal à garder ses esprits. Elle était très douée mais lui aussi l’était et il allait devoir ruser. « Parce que vous pensez que je n’en ai pas ? Croyez-moi on peut être un patron assez froid et même dur mais ce n’est pas pour autant que nous n’avons pas de respect pour les employés. Bien au contraire. A vous de me dire si j’ai du respect pour une simple stagiaire… Je vous écoute ! Monsieur Roy semble suffisant, non ? Mais si vous le souhaitez, vous pouvez aussi utiliser le terme Maître bien que cela soit un petit peu fort. Sachez une chose mademoiselle, si vous voulez rester dans cette entreprise et acquérir un poste chez nous, il va falloir faire preuve d’un peu de discipline, sinon vous risqueriez de vous mordre les doigts et ne pas apprécier ce qui peut suivre. Mais la question la plus intéressante est : Que voulez-vous, vous ? En fini avec cette entreprise, ou bien obtenir un poste ? » Il jeta son regard dans celui de la jeune femme. Elle ne baissait pas le regard mais lui non plus. Ce jeu était très intéressant et la partie ne faisait que commencer. Andrea était content de voir qu’il avait tout de même déstabilisé la jeune femme. Il le voyait très bien et il en était très fier, car elle avait peut-être un peu trop confiance en elle mais elle le pouvait avec le physique qu’elle avait. Un petit sourire se dessina sur le visage du jeune homme pour disparaître aussi rapidement qu’il n’était venu. « oui, votre successeur, vu que le stage est quasi fini et que cela m’étonnerait dur que vous décidiez de me prendre en tant qu’employée ici. Je peux jouer avec le feu, mes ailes sont sauvées. C’est peut-être vous qui avez peur d’une brune qui peut se montrer féroce malgré son rang. Hum, et je ne demande qu’à vous connaitre » Andrea fut choqué par les propos de la jeune femme. Du moins, il en prit l’air mais ne l’était pas. En revanche, il avait très envie de répondre aux propos de la jeune femme qui ne perdait pas du tout le nord « Vous êtes certaine de vouloir jouer avec le feu ? Attention avec vos propos… Pensez-vous réellement que j’ai peur d’une jeune femme comme vous ? Il n’y a rien à savoir sur moi, en revanche, je prendrai volontiers votre dossier pour en apprendre un peu plus sur vous, enfin sauf si vous vous lancez et m’en dîtes un peu plus… » Andrea n’avait peur de rien, du moins c’est ce qu’il laissait toujours paraître. Il n’avait cependant pas du tout peur de la jeune femme, il essayait simplement de se contenir car il ne savait pas si la jeune femme se jouait de lui pour l’enfoncer ensuite. Il était tout de même prudent. Il regarda la jeune femme faire ce qu’elle avait à faire et une nouvelle fois défié son autorité. « Hum, désolée, il est très agréable et très confortable surtout votre bureau. Et je préfère travailler un peu avant de manger, comme ça, après l’effort, le réconfort » Il leva les yeux au ciel. La vue qu’il avait sous les yeux était tout aussi sympathique, il n’allait donc pas se plaindre de la jeune femme. Mais il allait la titiller un petit peu. « Moi je n’ai pas envie de travailler pour le moment mademoiselle ! Je vais donc en profiter pour manger, vous, faites ce que vous voulez ! » lança-t-il mais il ne put dire autre chose que la jeune femme était pratiquement collée à lui « Au travail Monsieur Roy, je n’ai pas toute la nuit devant moi, et vous devez surement avoir des projets également, surtout un homme aussi charmant que vous, et encore je retiens et pèse mes mots » Andrea se leva tout en regardant la jeune femme. Il plaça alors sa main sur la cuisse de cette dernière. Il n’allait pas faire long feu et elle le savait très bien. « Charmant ? je vous en prie continuez … » Il se rapprocha un peu plus de la jeune femme, sentant alors son souffle dans son cou. Il posa sa seconde main sur l’épaule de cette dernière et commença à caresser doucement la peau douce de la jolie brune. Quant à son autre main, toujours posée sur la cuisse d’Autumn, le jeune homme continua son ascension, tranquillement. Pour enfin s’arrêter « Descendez de ce bureau et mangez ! » C’était un ordre cette fois-ci.
Sujet: Re: You better work B**** #A&A Lun 10 Fév - 21:17
Autumn&Andrea
You better work bitch
« Vous faut-il vraiment un avocat mademoiselle ? Je pense que vous êtes assez grande et que vous avez… assez d’arguments pour plaider sans avoir besoin d’avocats… je me trompe ? Une augmentation, rien que ça ? Pensez-vous que je vous en donnerai une pour m’avoir raconté quelques petites histoires de bureau ? Il y’a moyen de s’arranger si vous y tenez tant. Attention, vous n’êtes qu’une stagiaire jeune demoiselle… vous n’avez pas froid aux yeux ! » . Autumn avait réellement envie de pousser le très cher Andrea Roy dans ses retranchements en se montrant plus qu’insolente ou plutôt montrer le fort caractère dont elle était dotée. En plus, il fallait bien avouer que le fait qu’il soit aussi froid ne l’arrêtait nullement, bien au contraire. La brune avait encore plus envie d’aller plus loin, de le chercher davantage. « Je ne pense pas avoir beosin d’un avocat, dans la mesure où je n’ai rien fait de mal. Hum assez d’arguments ? Pouvez-vous être plus explicite, je vous prie ? Parce que je ne sais pas si je dois vous écouter ou bien me fier à votre regard. Et pourquoi pas ? De toute manière, je n’attends rien de vous, et surement pas une compensation financière pour avoir osé soulever ce qui se passe dans vos couloirs. Après tout, c’est vous le boss, n’est ce pas ? Non je n’ai pas froid aux yeux, et c’est surement parce que je suis stagiaire que je peux me le permettre, je n’ai nullement les mains liées, contrairement à tous les autres.. » . Il était vrai qu’elle avait l’impression de ne pas avoir de retenue et qu’elle s’avançait encore plus sur une piste verglacée sans avoir une quelconque possibilité de freiner ou faire machine arrière également. Certes, elle aurait pu partir au lieu de l’écouter, surtout après lui avoir remis le papier qu’elle avait dans les mains. Au moins, elle ne le chiffonnerait pas ou n’oserait pas frapper celui qu’elle était censée respecter avec les comptes rendus importants ou des notes totalement futiles. Parce que aussi désinvolte soit elle en ce jour, elle ne tenait pas non plus à se faire marquer d’une croix rouge qui la mettrait quelque peu dans l’embarras pour l’avenir et surtout son avenir professionnel qui serait fortement compromis. Alors, en revenant, enfin surtout en obéissant à son ordre expressément demandé. Alors comme à son habitude, sa langue avait parlé ou du moins avait été plus rapide que sa raison qui lui criait d’arrêter, mais elle en avait quelque peu marre que le brun aboie ses ordres comme si elle était un être inférieur. Après tout, il était peut-être à la tête d’un empire, il n’en demeurait pas moins un être humain, donc un peu de respect était la meilleure et surtout la moindre des choses. Le voir se mordiller la lèvre lui donnait soudain l’image de se retrouver face à un homme affamé, un prédateur prêt à sauter sur sa proie et si cela l’effrayait tout en lui donnant une petite pointe d’excitation supplémentaire, ce qui était assez étrange quand même. « Parce que vous pensez que je n’en ai pas ? Croyez-moi on peut être un patron assez froid et même dur mais ce n’est pas pour autant que nous n’avons pas de respect pour les employés. Bien au contraire. A vous de me dire si j’ai du respect pour une simple stagiaire… Je vous écoute ! Monsieur Roy semble suffisant, non ? Mais si vous le souhaitez, vous pouvez aussi utiliser le terme Maître bien que cela soit un petit peu fort. Sachez une chose mademoiselle, si vous voulez rester dans cette entreprise et acquérir un poste chez nous, il va falloir faire preuve d’un peu de discipline, sinon vous risqueriez de vous mordre les doigts et ne pas apprécier ce qui peut suivre. Mais la question la plus intéressante est : Que voulez-vous, vous ? En fini avec cette entreprise, ou bien obtenir un poste ? » . Gardant son regard dans le sien, elle dessina un sourire mi amusé, mi tentateur, en réfléchissant pendant quelques secondes. La brune avait besoin de ce répit histoire de préparer le plan d’attaque, et de ne laisser aucune part de baisse de mouvement. Passant son index doucement sur ses lèvres, elle susurra d’une voix douce et limite sensuelle « à en voir votre ton et les ordres balancés ainsi, vous auriez pu rajouter une touche de politesse afin de mieux vous faire entendre et que l’on vous écoute surtout. Pour être froid, c’est sur que vous l’êtes, c’est limite si on peut dire que vous avez des glaçons dans votre sous-vêtement, si vous me le permettez, ou non d’ailleurs. Donc Monsieur Roy, carrément ? Très bien, si c’est ce que vous souhaitez, alors restons dans les civilités. Dans vos rêves, je ne soumets pas, et surtout pas à un quelconque Maitre imaginaire, qui n’existe que dans vos pensées les plus farfelues. La discipline, je connais très bien, seulement, je dois avoir oublié, surtout à une heure aussi tardive. Si vous croyez que je veux obtenir un poste, vous vous mettez le doigt dans l’œil, je ne suis pas une adepte de la promotion canapé» . Cette dernière phrase avait été prononcée avec un énorme sourire aux lèvres, autant dire qu’elle n’avait pas sa langue dans sa poche une nouvelle fois. Et il fallait bien appeler un chat un chat non ? Certaines femmes auraient préféré allier le plaisir pour le travail, seulement cela ne faisait pas partie de la politique de la maison Lean. La jeune femme trouvait son patron séduisant, et le fait qu’ils continuent de se chercher irrévocablement. « Vous êtes certaine de vouloir jouer avec le feu ? Attention avec vos propos… Pensez-vous réellement que j’ai peur d’une jeune femme comme vous ? Il n’y a rien à savoir sur moi, en revanche, je prendrai volontiers votre dossier pour en apprendre un peu plus sur vous, enfin sauf si vous vous lancez et m’en dîtes un peu plus… » . Décidément, il savait parfaitement bien éluder ses questions et cela la frustrait quelque peu. Autumn avait besoin de réponse, de savoir où elle allait avec lui. De toute manière, elle n’avait pas envie de faire des plans, parce que ce n’était que de la provocation, à voir qui cèderait le premier, et elle ne tenait pas être la première, en raison de sa place dans la hiérarchie. « Vous n’avez pas ce monopole de jouer avec le feu, et je peux m’aventurer également sur cette voie sans ressentir une quelconque peur, je peux vous l’assurer. Mes propos ? Qu’ont-ils ? Ils ne vous plaisent guère ? Dans ce cas-là, vous n’aurez qu’à prendre mon dossier, parce que je vais adopter la même politique que vous et garder le silence.» . là aussi elle pouvait se montrer intraitable en refusant de lui révéler ce qu’il attendait, surtout qu’elle n’était pas en réelle mesure de parler ou de garder l’esprit libre à toute discussion sérieuse, en raison du fait qu’il la perturbait totalement. Assise sur le bureau, la brune continuait son petit manège, réduisant de manière inéluctable la distance qui les séparait. « Moi je n’ai pas envie de travailler pour le moment mademoiselle ! Je vais donc en profiter pour manger, vous, faites ce que vous voulez ! » . La jeune femme avait envie de travailler, même si son estomac criait famine. Toutefois, elle n’avait pas envie de rester trop tard. « Dommage pour vous très cher. Dans ce cas là, mangez, je vais travailler.» . Cette fois-ci elle était très sérieuse, et tenait à montrer que malgré sa désinvolture et le fait qu’elle lui tienne tête, elle était performante et très sérieuse dans son travail, deux qualités indispensables afin de réussir. « Charmant ? je vous en prie continuez … » . Pourtant, il y avait d’autres choses qui se tramaient là, surtout quand Andrea avait posé sa main sur sa cuisse, en la remontant doucement, alors que la seconde caressait son épaule. Autumn frissonnait et se liquéfiait littéralement. « Descendez de ce bureau et mangez ! » . Cela avait mis un sérieux froid, et elle s’était levée d’un bond du bureau, s’éloignant de ses mains si douces, mais qui avaient été à deux doigts de la faire succomber. « Voilà, satisfait monsieur Roy ? Quant à votre nourriture, vous pouvez vous la mettre où je pense. Je préfère travailler, histoire que je ne passe pas pour je ne sais quoi.» . Lui adressant un regard mi noir, mi provocateur, elle se colla tout doucement à lui, avant de se dégager. Il était hors de question pour elle de céder ou de lui montrer un coté tout doux, tout mignon. Surement pas. Attrapant un dossier, elle s’assit par terre en tailleur et commença à le feuilleter, en réfléchissant à ce qui pourrait être fait, autant dire qu’elle ne se souciait plus du tout de celui qui était présent dans la même pièce qu’elle.
Sujet: Re: You better work B**** #A&A Mar 11 Fév - 19:13
Autumn&Andrea
You better work bitch
Il voyait très bien que la jeune femme cherchait à le déstabiliser et à le pousser hors de ses limites mais il était hors de question qu’il lui donne cette satisfaction dont elle jouirait avec un grand plaisir. Bien au contraire, lui aussi savait jouer malgré ses désirs et il était prêt à aller très loin. Très, très loin. « Je ne pense pas avoir besoin d’un avocat, dans la mesure où je n’ai rien fait de mal. Hum assez d’arguments ? Pouvez-vous être plus explicite, je vous prie ? Parce que je ne sais pas si je dois vous écouter ou bien me fier à votre regard. Et pourquoi pas ? De toute manière, je n’attends rien de vous, et surement pas une compensation financière pour avoir osé soulever ce qui se passe dans vos couloirs. Après tout, c’est vous le boss, n’est-ce pas ? Non je n’ai pas froid aux yeux, et c’est surement parce que je suis stagiaire que je peux me le permettre, je n’ai nullement les mains liées, contrairement à tous les autres.. » Il leva les yeux au ciel, puis replongea son regard dans celui de la jeune femme. Il n’avait toujours pas de sourire, toujours aussi sérieux, il avait tout de même un brin de malice et de vice dans son regard et il ne pouvait tromper la jolie brunette. Elle n’y allait pas de main morte, c’était une simple stagiaire, donc elle pensait qu’elle pouvait s’en tirer assez facilement. Et bien, malheureusement pour elle, non ce ne serait pas aussi facile. Enfin, elle avait de la chance qu’Andrea aime ce petit jeu finalement. « Je pense que je n’ai pas besoin d’être explicite, vous avez bien compris, avec votre jolie petite tête. A vous décider à quoi vous fier mademoiselle. Votre choix est libre mais attention, il faudrait faire le bon ! Je n’ai pas besoin de payer les gens pour connaître la vérité, tout se sait un jour ou l’autre mademoiselle, tout se sait un jour. Stagiaire ne veut pas dire être à part à l’entreprise, justement mais faites donc, amusez-vous encore un petit peu. Tic tac, le temps passe » Il eut une ombre d’un sourire mais se renferma aussi sec. Ce petit jeu n’allait pas durer car l’un d’eux allaient rapidement craquer. Très rapidement. Hum… elle savait jouer, elle savait mener la danse. Elle n’était pas une débutante et ça plaisait à Andrea qui ne pouvait détourner son regard du sien très longtemps. Il aimait la regarder, regarder le corps qu’elle possédait et elle était chanceuse. « A en voir votre ton et les ordres balancés ainsi, vous auriez pu rajouter une touche de politesse afin de mieux vous faire entendre et que l’on vous écoute surtout. Pour être froid, c’est sur que vous l’êtes, c’est limite si on peut dire que vous avez des glaçons dans votre sous-vêtement, si vous me le permettez, ou non d’ailleurs. Donc Monsieur Roy, carrément ? Très bien, si c’est ce que vous souhaitez, alors restons dans les civilités. Dans vos rêves, je ne soumets pas, et surtout pas à un quelconque Maitre imaginaire, qui n’existe que dans vos pensées les plus farfelues. La discipline, je connais très bien, seulement, je dois avoir oublié, surtout à une heure aussi tardive. Si vous croyez que je veux obtenir un poste, vous vous mettez le doigt dans l’œil, je ne suis pas une adepte de la promotion canapé » Il soupira. Il n’avait pas envie d’être poli, il donnait des ordres et c’est tout, elle n’avait pas à discuter de ses propos. Elle devait simplement suivre ce qu’il disait. « Je ne suis pas comme ça et je n’ai pas besoin de l’être. On obéit à mes ordres et c’est tout, on ne discute pas, mais vous, Autumn vous semblez apprécier me contre dire et me tenir tête. » il s’interrompit et se leva pour enlever sa ceinture de pantalon puis s’arrêter avant de reprendre « Je vous montre peut-être ? Histoire que vous soyez fixée et que vous voyez par vous-même que je n’ai aucuns glaçons dans mon caleçon et que tout va très bien de ce côté-là ? » Il en était capable. Et il le ferait si elle le prenait au mot. Elle allait d’ailleurs surement le prendre au mot. « Promotion canapé ? Pardonnez-moi si je me trompe mais qui est en train d’allumer l’autre en ce moment-même ? Parlons peu, parlons bien Autumn, je me permet une nouvelle fois de vous appeler par votre prénom hein, si je ne m’abuse, vous n’êtes pas que là pour m’aider, et ne me dites pas le contraire, vous aimez me tenir tête, vous aimez cette proximité… » Il la regardait droit dans les yeux, la défiant du regard pour voir qui allait dévier le regard à un moment donné. Ce ne serait pas lui. Finalement, il n’allait surement pas finir ses dossiers ce soir. Il n’avait plus du tout envie de travailler. Et dire qu’il devait s’en aller pour Paris dans une semaine et demie. Il secoua la tête pour chasser cette idée qui commençait à le prendre et fixa son regard. Avec intensité. Elle était très belle. Vraiment très belle et qu’importe si l’un ou l’autre fait un pas de plus, il ne la repoussera surement pas. « Vous n’avez pas ce monopole de jouer avec le feu, et je peux m’aventurer également sur cette voie sans ressentir une quelconque peur, je peux vous l’assurer. Mes propos ? Qu’ont-ils ? Ils ne vous plaisent guère ? Dans ce cas-là, vous n’aurez qu’à prendre mon dossier, parce que je vais adopter la même politique que vous et garder le silence.» Il se mordit la lèvre inférieure, essayant tant bien que mal de ne pas lui sauter dessus tout de suite. « Je n’aime pas le silence, mais vous allez me forcer à faire autre chose dans ce cas… » il laissa ses paroles en suspens, elle verrait bien en temps et en heure ce qu’il avait en tête pour elle. Elle était d’une telle insolence et pourtant Andrea adorait ça. « Dommage pour vous très cher. Dans ce cas-là, mangez, je vais travailler.» Elle avait vraiment envie de lui tenir tête mais lui avait tout autre chose en tête. C’est décidé, il allait devoir se mettre à l’action, se laisser aller, mais tout en finesse. « Voilà, satisfait monsieur Roy ? Quant à votre nourriture, vous pouvez vous la mettre où je pense. Je préfère travailler, histoire que je ne passe pas pour je ne sais quoi.» Il ne dit rien et la laissa partir et se mettre par terre. Elle était assise en tailleur et lui n’avait d’yeux que pour sa poitrine. Il se leva, se redressa, complètement droit et s’avança pour arriver face à elle. Toujours debout, il s’agenouilla rapidement. Fit un sourire qu’il ne faisait jamais et s’assombrit de nouveau. Il la prit par les bras pour la relever. « Non je crois que vous n’avez vraiment pas compris … » lui murmura-t-il tout en l’attirant un peu plus contre lui pour qu’elle sente bien ce qu’il se passait entre eux. La tenant toujours, contre lui, il plongea son regard dans le sien et ne fit qu’une simple chose : déposa ses lèvres sur les siennes mais ce fut très furtif et il finit par lui mordiller la lèvre avant de mettre un peu plus de distance entre eux. « Mangez. Ou perdez… » C’était clair. Il ne savait pas ce qui venait de lui prendre mais il ne pouvait faire marche arrière !
Sujet: Re: You better work B**** #A&A Mer 12 Fév - 22:01
Autumn&Andrea
You better work bitch
« Je pense que je n’ai pas besoin d’être explicite, vous avez bien compris, avec votre jolie petite tête. A vous décider à quoi vous fier mademoiselle. Votre choix est libre mais attention, il faudrait faire le bon ! Je n’ai pas besoin de payer les gens pour connaître la vérité, tout se sait un jour ou l’autre mademoiselle, tout se sait un jour. Stagiaire ne veut pas dire être à part à l’entreprise, justement mais faites donc, amusez-vous encore un petit peu. Tic tac, le temps passe » . Bon sang, Autumn n’en revenait pas. Elle n’arrivait pas du tout à déstabiliser celui qui semblait toujours froid, distant, autrement dit on appelait bien évidemment Andrea Roy. La brune n’était pas particulièrement des plus sauvages, mais là, il fallait avouer qu’elle jouait les effrontées et cela n’était pas pour lui déplaire, bien que cela puisse lui jouer un plus que mauvais tour, vu qu’il faisait la pluie et le beau temps, et que de par un claquement de doigts, elle pouvait se retrouver à la rue, sans son stage et grillée au sein de toute la profession. Pourtant, têtue elle l’était, et sur cette voie elle continua « vous me demandez d’être claire, je vous demande la même chose, au lieu de vous cacher derrière des phrases bien faites pour éviter de dire le fin fond de sa pensée. Je me fie à ce que je peux et surtout ce que je veux. Dans ce cas là, je ne dirai rien de mon choix, comme ça vous n’aurez qu’à émettre des hypothèses qui ne seront pas forcément vérifiables, enfin surtout de votre point de vue. Tout se sait, en effet, mais certaines choses restent dans l’ombre également, ne l’oubliez surtout pas. Certes, j’appartiens à votre entreprise, sauf qu’à la fin de mon stage, je retrouverai ma liberté. ». La brune se montrait toujours impitoyable, ne freinant même pas ses propos. Après tout, il la cherchait, que ce soit par son regard ou ses propos et elle ne tenait pas à céder la première. Donc autant dire que le jeu allait continuer encore longtemps, surtout vu leur caractère respectif. Parce que si un léger sourire était apparu sur les lèvres du brun, avant de disparaitre aussi rapidement qu’il s’était dessiné. Cela la déstabilisait parce qu’on aurait dit qu’il avait des glaçons dans le slip, façon de parler bien évidemment. Pour une fois qu’elle pouvait sortir le grand jeu et appliquer toutes les règles de séduction qu’elle avait apprises durant ces années, autant dire que là, cela l’amusait, surtout qu’elle avait des formes et que le patron en chef semblait se délecter de cette vue, elle n’était pas aveugle. Pourtant à la fin des mots qu’elle avait pu tenir, elle l’avait entendu soupirer, ce qui l’exaspérait et lui faisait présager que les ordres allaient fuser encore et encore. « Je ne suis pas comme ça et je n’ai pas besoin de l’être. On obéit à mes ordres et c’est tout, on ne discute pas, mais vous, Autumn vous semblez apprécier me contre dire et me tenir tête. Je vous montre peut-être ? Histoire que vous soyez fixée et que vous voyez par vous-même que je n’ai aucuns glaçons dans mon caleçon et que tout va très bien de ce côté-là ? Promotion canapé ? Pardonnez-moi si je me trompe mais qui est en train d’allumer l’autre en ce moment-même ? Parlons peu, parlons bien Autumn, je me permet une nouvelle fois de vous appeler par votre prénom hein, si je ne m’abuse, vous n’êtes pas que là pour m’aider, et ne me dites pas le contraire, vous aimez me tenir tête, vous aimez cette proximité… » . Ce fut à elle de lever brièvement les yeux avant de replonger ses yeux dans celui de son interlocuteur, histoire de lui montrer qu’elle ne tenait pas à lui donner raison ou de le faire gagner sur cet échange. « Vous croyez que vous ne l’êtes pas, nuance. Oui, je ne suis pas un mouton, que cela vous plaise ou non. J’ai mon caractère, ma propre conception de la vie ainsi que mes passions, et ne comptez pas sur moi pour tout renier parce que vous l’aurez ordonné. Ce serait un peu trop facile, et vous seriez alors qualifié de dictateur.». Elle l’avait regardé de manière plus qu’intéressée lorsqu’il avait commencé à enlever la ceinture de son pantalon. « Allez-y faites. Je ne crois que ce que je vois. Vous avez tout simplement peur ou besoin de vous ou de me rassurer ? Parce que là, je ne peux être que curieuse et vous demander de poursuivre sur votre lancée. Je ne fais nullement et ne suis pas cette politique. Désolée d’agir avec mes propres armes, parce que depuis tout à l’heure vous me cherchez et pas qu’un peu. Je comprends bien que vous ayez le droit de m’appeler par mon prénom mais que moi je n’ai droit qu’à des monsieur. Oui, j’aime vous tenir tête et pas qu’un peu, c’est très amusant, je le reconnais. ». Au moins, elle persistait et signait sur sa politique, et elle n’avait pu que regarder le travail présent dans le bureau du patron, autant dire qu’il n’était pas encore prêt de partir, ce qui était en quelque part fort dommage pour lui. Toutefois, si elle avait été perdue dans ses pensées, le regard intense du brun la poussait à donner toujours plus, et à le chercher à nouveau. Visiblement, cela marchait était donné qu’il s’était mordu la lèvre, ce qui avait le don de lui donner envie de gouter à cette partie de son corps. Mais elle se devait de chasser ce genre d’idées surtout si elle voulait continuer à être la brune forte et provocatrice. « Je n’aime pas le silence, mais vous allez me forcer à faire autre chose dans ce cas… » . Croisant les bras, elle s’était mise à jouer avec une mèche de ses cheveux. « À faire quoi ? Dites moi tout..». Parce que oui, elle était curieuse, et elle craignait le pire, surtout avec lui, après tout ce qu’ils venaient de se dire, elle ne pouvait que prendre peur. Enfin, elle essayait toutefois de ne rien montrer. Et après tous les ordres aboyés, elle était partie s’installer par terre afin de travailler, parce qu’il était hors de question qu’elle ne s’installe à la même table que lui. Seulement elle n’avait rien prévu du tout de ce qui arriva. Andrea s’était agenouillé à ses cotés, un sourire aux lèvres. Cela l’avait étonnée, mais elle n’avait même pas réagi quand il avait pris son bras afin de la relever. « Non je crois que vous n’avez vraiment pas compris … » . Se retrouvant à présent collée à lui, son cerveau refusait de réfléchir, alors que dire lorsqu’il l’avait embrassé avant de lui mordiller la lèvre, avant de se reculer. Elle en restait estomaquée, surtout qu’il avait recommencé ses ordres « Mangez. Ou perdez… » . Pour qui se prenait-il sérieusement ? s’avançant vers lui, Autumn le gifla, avant de le pointer du doigt « je ne suis pas une de ces femmes faciles, avec lesquelles vous pouvez tout faire, sachez le.». Le regardant droit dans les yeux, elle passa une main derrière la nuque du brun alors que l’autre s’était posée automatiquement sur son torse. « je n’ai pas très faim, pas maintenant du moins..». et ce fut à elle de venir s’emparer de ses lèvres pour un baiser langoureux, un échange qui n’avait rien de violent contrairement à leur propos et que le brune trouvait fortement agréable..
Sujet: Re: You better work B**** #A&A Sam 15 Fév - 19:26
Autumn&Andrea
You better work bitch
« Vous me demandez d’être claire, je vous demande la même chose, au lieu de vous cacher derrière des phrases bien faites pour éviter de dire le fin fond de sa pensée. Je me fie à ce que je peux et surtout ce que je veux. Dans ce cas-là, je ne dirai rien de mon choix, comme ça vous n’aurez qu’à émettre des hypothèses qui ne seront pas forcément vérifiables, enfin surtout de votre point de vue. Tout se sait, en effet, mais certaines choses restent dans l’ombre également, ne l’oubliez surtout pas. Certes, j’appartiens à votre entreprise, sauf qu’à la fin de mon stage, je retrouverai ma liberté. » Andrea était imperturbable, toujours aussi fermé, il n’avait pas envie de montrer qu’il faiblissait face à la jeune femme qui était vraiment très belle. Elle avait de très jolies formes, et il ne fallait pas se leurrer, elle avait aussi un très joli visage. Elle avait tout pour elle. Mais il ne voulait absolument pas lui montrer qu’il était sous le charme depuis la première seconde. Bien au contraire, il avait envie de faire durer le plaisir bien qu’il ait pas mal d’idées en même temps. « Mais ici c’est moi qui suis le patron, donc je vous demande seulement à vous d’être clair, moi je n’ai pas besoin de l’être mademoiselle. Alors arrêtez de vouloir me répondre de la sorte. Le fond de ma pensée ? Vraiment ? Pour qui vous prenez-vous mademoiselle ? Je vous en prie dîtes-moi vous le fond de votre pensée. Assez avec ce petit jeu mademoiselle. Tout se sait et même si vous pensez que certaines choses restent dans l’ombre, vous vous trompez fortement, ne vous en faites pas pour ça ! Votre liberté ? Parce que vous pensez que vous n’êtes pas libre en travaillant dans cette entreprise ? » Il arqua un sourcil, tout en plongeant une nouvelle fois son regard dans celui de la jeune femme. Il voulait la défiait, la pousser à bout et lui montrer qu’à ce petit jeu-là, ils pouvaient tous les deux être très forts. Mais il avait envie de lui montrer à sa façon qu’elle lui plaisait et surtout qu’il aimait bien jouer. Surtout avec elle. Elle savait lui tenir tête, elle savait comment le prendre par le désir, elle savait vraiment y faire et il prenait lui aussi beaucoup de plaisir à se jouer d’elle. Il n’avait plus envie de travailler, il n’était plus dans cette optique depuis qu’il avait posé les yeux sur la jolie brune. Il avait acheté beaucoup de nourriture, alors trouver cette excuse pour qu’elle vienne dans son bureau afin qu’ils puissent être plus tranquilles… même s’ils étaient tous seuls et qu’il était tard. Toutes ces petites règles de séduction, il les connaissait, il aimait les utiliser, il aimait montrer qu’il était le chef, qu’il avait ses idées, ses pensées. Oui, il aimait avoir le pouvoir, mais ça, ce n’était pas nouveau et pourtant, il trouvait ça assez sympa de voir que la jeune femme lui tenait tête. « Vous croyez que vous ne l’êtes pas, nuance. Oui, je ne suis pas un mouton, que cela vous plaise ou non. J’ai mon caractère, ma propre conception de la vie ainsi que mes passions, et ne comptez pas sur moi pour tout renier parce que vous l’aurez ordonné. Ce serait un peu trop facile, et vous seriez alors qualifié de dictateur.» Il eut un semblant de sourire mais très rapidement revient à son ancienne froideur. Non, il n’aimait pas vraiment sourire, du moins il souriait qu’avec ses proches et son meilleur ami. C’était un personnage qu’il s’était créé et il n’allait surement pas changer. « Vous serez pourtant un joli mouton… Je vous trouve tout de même bien arrêtée sur la question, je ne vous ai jamais dit de tout renier. Je n’oserai pas passer pour un dictateur, j’opterai plutôt pour joueur, ou je ne sais pas… Trouvez-vous-même le petit surnom ! » Il leva les yeux au ciel et ne répondit rien d’autre. Pour le coup, elle avait réussis à lui faire perdre ses mots mais il n’avait pas l’intention de se laisser faire. Bien au contraire. « Allez-y faites. Je ne crois que ce que je vois. Vous avez tout simplement peur ou besoin de vous ou de me rassurer ? Parce que là, je ne peux être que curieuse et vous demander de poursuivre sur votre lancée. Je ne fais nullement et ne suis pas cette politique. Désolée d’agir avec mes propres armes, parce que depuis tout à l’heure vous me cherchez et pas qu’un peu. Je comprends bien que vous ayez le droit de m’appeler par mon prénom mais que moi je n’ai droit qu’à des monsieur. Oui, j’aime vous tenir tête et pas qu’un peu, c’est très amusant, je le reconnais. » C’était un langage de sourd mais c’était plutôt marrant. Elle était adorable quand elle voulait lui tenir tête et elle semblait ne pas vouloir lâcher l’affaire, mais c’était ça qui était assez drôle. Mais il enleva complètement sa ceinture, petit sourire, cette fois, il était très sérieux et le sourire était au rendez-vous. Il jeta la ceinture sur le canapé qu’il y’avait dans un coin du bureau. Commença ensuite à déboutonner son pantalon mais s’arrêta ensuite avant de lui montrer autre chose. « Vous perdez votre temps. Du moins vous prenez vos rêves pour des réalités, je ne me permettrais pas de vous montrer certaines choses, à moins que ce soit donnant donnant et que j’ai le droit d’en voir d’avantage par la même occasion ? Besoin de me rassurer ? Non, je sais déjà ce que j’ai et ce que je vaux, ce serait plus vous rassurer j’aurais envie de vous dire. Continuez, c’est assez marrant de vous voir me tenir tête, je trouve cela assez sexy en fait, mais ne prenez pas de mauvaises habitudes, vous risquerez de vous faire très mal… Je vous en fais la promesse. » Tous les deux se tournaient vraiment autour. Ils jouaient à un jeu dangereux mais Andrea n’avait que faire de savoir que la jeune femme était en stage ici. Il avait envie d’elle et envie de lui montrer ce qu’elle pouvait manquer en s’attardant à lui tenir tête comme elle savait si bien le faire. Il était dommage de ne pas avoir vu la jeune femme plus tôt, ce petite jeu aurait sans doute commencé bien avant s’il avait daigné prêter attention à ses employées un petit peu plus au lieu de ne pas venir beaucoup dans son entreprise. Il est vrai, qu’il avait privilégié l’université que son entreprise ses deux derniers mois. « À faire quoi ? Dites moi tout..» Il haussa les épaules, essayant de ne pas trop mettre de distance entre eux. Jouant à la frôler de ses mains, de son corps, essayant de mettre cette proximité un peu plus en avant « Si vous saviez.. Mais je vous trouve bien curieuse tout de même. » Il ne souriait plus du tout, il n’avait pas fait perdurer bien longtemps son sourire de toute manière. Personne ne le voyait réellement sourire, pas même les employés ou les personnes avec qui ils parlaient boulot. C’était un homme renfermé, enfin, pas pour certaines choses où là il était plutôt ouvert, mais il prenait aussi un malin plaisir à ne jamais trop en révéler sur lui. Il voulait garder cette part de mystère qui en faisait craquer plus d’une. De ce côté, il n’avait pas trop de soucis à se faire, bien au contraire, il avait toujours pas mal de femmes à ses pieds et il ne fallait pas se leurrer, il adorait ça ! Il en profitait au maximum, mais ne mentait jamais et leur disait toujours que ce ne serait que pour une nuit. Seules deux ou trois jeunes femmes avaient réussis à l’avoir plus d’une fois dans leurs lits. Mais c’était très rare. Andrea avait finalement fait un petit pas en venant embrasser la jeune femme furtivement sur la bouche avant de finir par lui mordiller la lèvre. Il adorait faire ça et il en prenait toujours beaucoup de plaisir. Mais avant qu’il n’eut le temps de dire quoique ce soit, voilà qu’elle venait alors le gifler. Celle-ci, il ne l’avait pas vu venir… Bien au contraire. « Je ne suis pas une de ces femmes faciles, avec lesquelles vous pouvez tout faire, sachez le.» Il ne savait pas quoi répondre, c’était bien la première fois et puis il n’eut même pas le temps de réfléchir qu’il vit la jeune femme se rapprocher dangereusement et poser une main sur son torse. « je n’ai pas très faim, pas maintenant du moins..» Il voulait répondre quelque chose cette fois encore mais elle ne lui en laissa pas le temps et vint s’emparer de ses lèvres. Andrea répondit à ce baiser qu’il intensifia. Leurs langues se rencontrèrent alors assez violemment. Finalement, tous deux avaient eu envie que cela se produise. Il prit alors les cuisses de la jeune femme et arriva à la porter puis se reculant, il la colla contre la porte de son bureau qui était maintenant fermée. Toujours en l’embrassant, il la tenait de façon à ce qu’il arrive toujours à la porter. « Je peux vous proposer autre chose que du japonais… »
Sujet: Re: You better work B**** #A&A Lun 17 Fév - 21:57
Autumn&Andrea
You better work bitch
« Mais ici c’est moi qui suis le patron, donc je vous demande seulement à vous d’être clair, moi je n’ai pas besoin de l’être mademoiselle. Alors arrêtez de vouloir me répondre de la sorte. Le fond de ma pensée ? Vraiment ? Pour qui vous prenez-vous mademoiselle ? Je vous en prie dîtes-moi vous le fond de votre pensée. Assez avec ce petit jeu mademoiselle. Tout se sait et même si vous pensez que certaines choses restent dans l’ombre, vous vous trompez fortement, ne vous en faites pas pour ça ! Votre liberté ? Parce que vous pensez que vous n’êtes pas libre en travaillant dans cette entreprise ? » . Autumn n’avait jamais cru avoir autant à faire avec un homme qui semblait plus que rigide, parce que peu importait ce qu’elle disait, le brun ne semblait pas craquer, ni être choqué par les propos qu’elle tenait. Et cela la déconcertait, tout en la poussant à aller toujours plus loin, bien que son regard soit plongé dans celui de son boss. « Comment oublier que vous êtes le patron, la boite porte votre nom, donc à moins d’être aveugle, je ne vous pas comment nous pourrions passer à coté. Vous êtes un peu voire beaucoup exigeant, alors je ne serai pas plus claire avec vous tant que vous jouerez la carte de l’arrogance et du patron bien trop hautain. Je suis qui je suis, et je vous prie de garder ce ton condescendant avec d’autres personnes, ce n’est pas de ma faute si vous êtes mal luné. Oh que non, j’ai raison, bien que vous en doutiez fortement. Non, on ne peut pas dire que la liberté soit le maitre mot, mais bon c’est ça quand on est sérieuse et investie dans son travail, on en oublie les fondamentaux. » . La brune continuait sur cette voie, et se fichait pas mal de ce qui pourrait être dit ou fait par la suite, à vrai dire, c’était vraiment exceptionnel, elle qui avait toujours été très introvertie se lâchait à un point qu’elle s’en étonnait elle-même. Elle était une joueuse, mais pas jusqu’à cette extrémité quand même, la preuve qu’il réussissait quand même à la déstabiliser et pas qu’un peu, alors qu’ils n’avaient rien échangé à proprement parlé. Mais il fallait bien croire qu’il avait un physique relativement parfait, et qu’il aurait fallu qu’elle soit complètement aveugle ou stupide pour ne pas le remarquer, mais elle se gardait bien d’exprimer à voix haute ses pensées les plus intimes. Surtout que tout était reparti plus fort qu’avant et qu’elle ne pouvait pas avoir un brin de répit, surtout qu’il avait continué. Son léger sourire avait été vite effacé, au point où elle se demandait si cela lui arrivait de rire, ou s’il gardait ce masque de glace perpétuellement. « Vous serez pourtant un joli mouton… Je vous trouve tout de même bien arrêtée sur la question, je ne vous ai jamais dit de tout renier. Je n’oserai pas passer pour un dictateur, j’opterai plutôt pour joueur, ou je ne sais pas… Trouvez-vous-même le petit surnom ! » , ajouté au fait qu’il avait levé les yeux au ciel l’exaspérait au plus haut point, et elle lui tira la langue, avant de se relancer aisément « Navrée, mais je n’ai pas les bouclettes qui vont pour le mouton, donc votre théorie est caduque, monsieur. Parce que vous croyez que renier une partie de soi est bien ? Désolée, mais enfermer un bout de soi, c’est se renier, ne croyez vous pas à cette théorie ? Excusez moi, mais si vous êtes un peu un dictateur, à toujours vouloir tout contrôler, et quand on ne fait pas ce que vous exigez, vous partez dans une voie de la froideur. Joueur, en effet, je peux le constater, mais je me permets de garder le droit de prendre un peu de temps pour réfléchir, si vous me le permettez.. » . Seulement, à présent, ils continuaient encore et encore, et à force de la provoquer, Autumn avait réellement envie de voir ses paroles mis en acte, et non pas qu’elle reste dans le vide. « Vous perdez votre temps. Du moins vous prenez vos rêves pour des réalités, je ne me permettrais pas de vous montrer certaines choses, à moins que ce soit donnant donnant et que j’ai le droit d’en voir d’avantage par la même occasion ? Besoin de me rassurer ? Non, je sais déjà ce que j’ai et ce que je vaux, ce serait plus vous rassurer j’aurais envie de vous dire. Continuez, c’est assez marrant de vous voir me tenir tête, je trouve cela assez sexy en fait, mais ne prenez pas de mauvaises habitudes, vous risquerez de vous faire très mal… Je vous en fais la promesse. » . Croisant les bras, elle s’était mise à sourire de manière plus qu’indécente, tout en le regardant de haut en bas. « je perds mon temps en effet avec vous, alors que je devrais déjà être chez moi, bien au chaud au lieu de me prendre la tête avec un homme qui prend la mouche pour un rien, et qui promet des choses mais qui ne fait rien du tout. A croire que vous ne faites que parler. Je ne prends nullement mes rêves pour des réalités, vous me décevez tout simplement très cher. Je crois que vous vous rincez bien assez l’œil depuis tout à l’heure à fixer votre regard sur mon corps, parce que vous êtes loin d’être discret, monsieur Roy. Ah donc vous êtes un homme sûr de lui, si je comprends bien. et je continuerai autant que je voudrai, surtout si vous trouvez cela sexy, au moins vous ajouterez ça à la peste que je suis, enfin si vous m’aviez donné ce surnom, bien évidemment. Et vous ne me ferez aucun mal, parce que sous ces faux airs de dur, vous êtes un gentil, un tout doux, alors je ne vous crains nullement. » . A force de jouer, elle savait qu’elle allait s’en mordre les doigts, mais c’était toujours amusant et beaucoup trop tentant de continuer sur cette voie que de retrouver celle de la sagesse. Pourtant, c’était lui qui semblait à présent se retirer progressivement de la partie, en haussant les épaules et en restant vague. Autrement dit qu’il était en train de changer la donne « Si vous saviez.. Mais je vous trouve bien curieuse tout de même. » , et cela la déstabilisa au point qu’elle en savait pas du tout quoi répondre et pour la première fois de la soirée, elle n’avait pas prononcé un mot, vu qu’il n’y avait plus du tout l’ombre d’un sourire sur les lèvres du brun, du coup, elle se contenta de jouer avec une mèche de ses cheveux, en évitant toutefois son regard. Inédit quand même dans la mesure où elle n’avait pas cru cela possible. Elle n’avait pas envie de se calmer, mais il y avait un moment où il fallait lâcher un peu de laisse afin de revenir en force, philosophie dont elle faisait usage à ce moment précis. Mais elle avait su se montrer distante, et était partie s’installer à terre afin de travailler un peu, mais cela avait été sans compter sur le brun qui l’avait forcée à se relever pour l’embrasser contre son gré. Si tout avait été bref, elle avait quand même riposté en s’approchant de lui et en le giflant, ce qui devait être une première pour lui, parce que les femmes devaient se prosterner à ses pieds habituellement et ne pas le remettre à sa place. Sauf que c’était le juste retour des choses. Sauf qu’à ceci s’était enchainé le fait qu’elle avait posé une main sur son torse avant de l’embrasser. Autant dire qu’elle n’avait pas réfléchi une seule seconde, seules les pulsions avaient pris le dessus. Ses lèvres avaient été un réel aimant, et le fait qu’il enchérisse et que leurs langues ne se retrouvent pour une danse effrénée la faisait se sentir étrangement bien et elle sentait que des frissons apparaissaient le long de sa colonne vertébrale ce qui était mauvais signe, parce qu’elle savait très bien ce que cela signifiait. Il la porta jusqu’à la coller contre la porte du bureau. En un geste, elle tourna le verrou en souriant intérieurement. Toujours les lèvres scellées, Andrea fit un effort, vu qu’il avait réussi à murmurer « Je peux vous proposer autre chose que du japonais… » . Se mettant à sourire, elle n’avait pu que venir frotter son nez doucement au sien, avant de glisser en un souffle « qu’avez-vous en tête monsieur ? parce que je crois que je suis très mal installée pour manger. Et vous savez que vous me choquez à me vouvoyez de la sorte, mais peu importe » , finit-elle avant de passer ses bras autour de la nuque du sublime brun et de s’emparer à nouveau de ses lèvres avec douceur et sensualité…
Sujet: Re: You better work B**** #A&A Mer 19 Fév - 21:04
Autumn&Andrea
You better work bitch
« Comment oublier que vous êtes le patron, la boite porte votre nom, donc à moins d’être aveugle, je ne vous pas comment nous pourrions passer à coté. Vous êtes un peu voire beaucoup exigeant, alors je ne serai pas plus claire avec vous tant que vous jouerez la carte de l’arrogance et du patron bien trop hautain. Je suis qui je suis, et je vous prie de garder ce ton condescendant avec d’autres personnes, ce n’est pas de ma faute si vous êtes mal luné. Oh que non, j’ai raison, bien que vous en doutiez fortement. Non, on ne peut pas dire que la liberté soit le maitre mot, mais bon c’est ça quand on est sérieuse et investie dans son travail, on en oublie les fondamentaux. » Il leva les yeux au ciel. La jeune femme ne voulait pas s’arrêter de parler et surtout arrêter de le défier. Bien au contraire, il semblerait qu’elle prenait même un malin plaisir à essayer de le déstabiliser mais Andrea ne l’entendait pas de cette oreille. Bien au contraire, il aimait ce petit jeu et il ne comptait pas s’arrêter en si bon chemin. Toujours froid, un peu distant, il ne laissait rien paraitre. « C’est assez sympa de savoir que ma boite porte mon nom, vous ne trouvez pas ? J’ai essayé de tout de même faire tout ça de façon un peu discrète pour ne pas attirer trop l’attention sur moi, vous comprenez que c’est assez dur d’avoir beaucoup de monde autour de soi… Je suis exigeant oui, pas besoin de mettre un peu voire beaucoup dans votre phrase, je le suis, je le reconnais, et je ne veux que le meilleur ici et dans ma vie. C’est ainsi. Je ne suis pas arrogant, pas même hautain, je vous trouve tout de même un peu sévère mademoiselle ! Je sais simplement ce que je veux, c’est tout ! Vous n’aimez pas qu’on soit autoritaire avec vous ? Il faudrait donc songer à monter votre propre boite dans ce cas mademoiselle. Je suis très bien luné, mesurez vos paroles ou sortez ! Vous n’aimez pas que l’on vous contre dise dis donc mademoiselle. Ho arrêtez s’il vous plait, je ne vous connaissez même pas avant de vous voir encore ici ce soir ! Alors ne me parlez pas d’oublier les fondamentaux, votre supérieur n’est pas venu me voir pour me parler de vous et de vos compétences, donc s’il y’a quelqu’un à blâmer ce n’est pas moi ! » Il avait dit ça sans hausser le ton et il était resté très calme. Mais il avait raison, la supérieur de la jeune femme n’était jamais venu le voir pour lui parler de son travail ni même lui dire si elle était satisfaite ou non, alors ce n’était pas à lui qu’il fallait s’en prendre. Il avait déjà bien trop de choses à faire pour qu’elle vienne lui prendre la tête ce soir avec ce genre de propos. « Navrée, mais je n’ai pas les bouclettes qui vont pour le mouton, donc votre théorie est caduque, monsieur. Parce que vous croyez que renier une partie de soi est bien ? Désolée, mais enfermer un bout de soi, c’est se renier, ne croyez vous pas à cette théorie ? Excusez moi, mais si vous êtes un peu un dictateur, à toujours vouloir tout contrôler, et quand on ne fait pas ce que vous exigez, vous partez dans une voie de la froideur. Joueur, en effet, je peux le constater, mais je me permets de garder le droit de prendre un peu de temps pour réfléchir, si vous me le permettez.. » Pour la première fois il sourit et se mit même à rigoler un petit instant. Mais il reprit rapidement son sérieux face à la jolie brunette. « Pas forcément besoin de bouclettes vous savez ! Enfin si vous le dites ! Mais quelle est donc votre théorie mademoiselle ? Assez, je n’ai pas envie de parler de choses que vous ne connaissez pas ! Je suis comme ça, que cela vous plaise ou non, alors si vous n’appréciez pas le fait que je sois froid, distant, autoritaire sur les bords alors vous connaissez le chemin n’est-ce pas ? Faites donc ! » Il n’avait pas envie de continuer sur cette voie, il allait falloir qu’elle se décide rapidement sinon elle trouverait bien le chemin qui la mènerait à la sortie. « je perds mon temps en effet avec vous, alors que je devrais déjà être chez moi, bien au chaud au lieu de me prendre la tête avec un homme qui prend la mouche pour un rien, et qui promet des choses mais qui ne fait rien du tout. A croire que vous ne faites que parler. Je ne prends nullement mes rêves pour des réalités, vous me décevez tout simplement très cher. Je crois que vous vous rincez bien assez l’œil depuis tout à l’heure à fixer votre regard sur mon corps, parce que vous êtes loin d’être discret, monsieur Roy. Ah donc vous êtes un homme sûr de lui, si je comprends bien. et je continuerai autant que je voudrai, surtout si vous trouvez cela sexy, au moins vous ajouterez ça à la peste que je suis, enfin si vous m’aviez donné ce surnom, bien évidemment. Et vous ne me ferez aucun mal, parce que sous ces faux airs de dur, vous êtes un gentil, un tout doux, alors je ne vous crains nullement. » Ils perdaient tous les deux leur temps de toute manière à jouer comme ça. C’était marrant au début mais la jeune femme empiétait sur ce que pouvait être Andrea et ça par contre, il n’en avait pas envie. Il fallait qu’elle arrête de vouloir tout savoir et de le défier ainsi, surtout lorsqu’on allait sur sa vie privée. « Oui vous le perdez en effet. Je ne vous ai jamais demandé de rester ici aussi tard, je vous ai simplement réquisitionné car vous étiez sur place, après vous pouvez très bien partir, je ne vous ai pas obligé à entrer dans ce bureau comme une furie comme vous l’avez si bien fait plus tôt mademoiselle ! Ah et bien je ne le cache pas, vous l’avez vu toute seule comme une grande, je ne veux pas le faire en toute discrétion figuez-vous, j’aime bien vous regarder, vous êtes très jolie, et vous avez de jolies formes donc pourquoi s’en priver n’est-ce pas ? Un tout doux ? Je ne suis pas un chien Autumn ! Et croyez ce que vous voulez, mais vous ne savez absolument rien de moi ! » Il avait ensuite embrassé la jeune femme mais s’était pris en contrepartie une jolie claque. Il ne l’avait pas venu venir mais en même temps il n’était pas franchement surpris venant de la jeune femme. Ce qui le surprit ce fut ensuite le baiser qu’elle lui prodigua. Mais les deux ne s’arrêtèrent pas à un seul baiser. Il se fut plus intense, un peu sauvage même et Andrea voulu prendre les rênes l’emportant avec lui jusqu’à la porte que la jeune femme verrouilla soigneusement. Les choses prenaient une toute autre tournure, et il n’avait pas envie de s’arrêter de l’embrasser, bien au contraire. Il avait envie d’elle et ce depuis le début de leur conversation. Il avait envie de déposer des baisers sur sa peau nue, la toucher, lui montrer qu’il pouvait être très sauvage mais aussi très tendre. « qu’avez-vous en tête monsieur ? parce que je crois que je suis très mal installée pour manger. Et vous savez que vous me choquez à me vouvoyez de la sorte, mais peu importe » Il sourit et répondit en l’embrassant de nouveau. Dieu, qu’il avait envie d’elle. Toujours les genoux autour de lui, le CEO déposa la jeune femme sur son bureau. Il jeta alors tout ce qu’il pouvait y’avoir sur son bureau et l’allongea continuant ses baisers « Et là ? Tu es mieux ? » avait-il murmuré avant de passer ses mains un peu entrepreneuses sous le tee-shirt de la jolie brune « Quand je disais que vous aviez vraiment de très belles formes… »
Sujet: Re: You better work B**** #A&A Lun 3 Mar - 17:47
Autumn&Andrea
You better work bitch
« C’est assez sympa de savoir que ma boite porte mon nom, vous ne trouvez pas ? J’ai essayé de tout de même faire tout ça de façon un peu discrète pour ne pas attirer trop l’attention sur moi, vous comprenez que c’est assez dur d’avoir beaucoup de monde autour de soi… Je suis exigeant oui, pas besoin de mettre un peu voire beaucoup dans votre phrase, je le suis, je le reconnais, et je ne veux que le meilleur ici et dans ma vie. C’est ainsi. Je ne suis pas arrogant, pas même hautain, je vous trouve tout de même un peu sévère mademoiselle ! Je sais simplement ce que je veux, c’est tout ! Vous n’aimez pas qu’on soit autoritaire avec vous ? Il faudrait donc songer à monter votre propre boite dans ce cas mademoiselle. Je suis très bien luné, mesurez vos paroles ou sortez ! Vous n’aimez pas que l’on vous contre dise dis donc mademoiselle. Ho arrêtez s’il vous plait, je ne vous connaissez même pas avant de vous voir encore ici ce soir ! Alors ne me parlez pas d’oublier les fondamentaux, votre supérieur n’est pas venu me voir pour me parler de vous et de vos compétences, donc s’il y’a quelqu’un à blâmer ce n’est pas moi ! » ajouté au fait qu’il lève les yeux au ciel exaspérait au plus haut point Autumn. Celle-ci continuait son jeu, parce que cela l’amusait réellement de le voir tenter tant bien que mal de se justifier, lui si sûr de lui, et elle si impétueuse et fougueuse, comme un cheval sauvage qui ne saurait être dompté et dressé. Après tout, elle vivait seule, mais avait quand même eu des hommes dans sa vie, seulement là, elle était seule, célibataire, et Andrea avait le don de la conduire dans un autre état qui ne lui ressemblait pas du tout ou alors qui était une part profondément ancrée en elle et qu’elle-même ne se connaissait pas. « Arrêtez, vous allez me faire pleurer ! Après tout, n’est ce pas vous qui avez construit cette entreprise ? Donc cela est presque normal de voir votre nom s’étaler en majuscules partout et n’entendre que des éloges à votre sujet, ce qui semble être relativement flatteur pour vous, mais d’un point de vue extérieur, cela ressemble beaucoup à de l’hypocrisie ou bien alors un passe-pommade, et encore je reste polie, comme vous pouvez le constater. Cela est dur ? Dans ce cas-là, si vous préfériez la discrétion, pourquoi vous êtes vous lancés dans cette carrière ? Navrée de mon franc-parler, mais vous attisez ma curiosité de par vos propos. Vous croyez réellement que je ne supporte pas l’autorité ? Vous vous trompez et pas qu’un peu, vu que je travaille et que je n’ai pas des personnes au dessous de moi, mais plus au dessus de moi, comprenez vous la nuance ? Ne me tentez pas, je serai capable de partir et je pourrais vous laisser seul à vaquer à vos occupations tardives. Très bien, je remercie mon supérieur alors, et je n’aurais aucun scrupule et je pourrais avoir que hâte de partir loin de cette boite » . La brune se voulait être relativement dure par ses propos, mais elle en avait marre, marre d’être le larbin de personnes qui s’accaparaient le fruit de son travail, alors qu’elle se crevait à faire des dossiers par dizaines, à voir défiler des noms et des chiffres toute la journée. Et que récoltait-elle ? Rien, rien du tout. Et cela l’agaçait au plus haut point, et cela s’était traduit par le son de sa voix qui était monté, ainsi que son regard qui s’était voulu être plus froid. Pourtant, par la suite, le fait de voir se dessiner un sourire sur les lèvres du brun l’avait calmée, seulement il avait fallu qu’il reprenne son sérieux la déstabilisait, comme si rien ne pouvait l’atteindre. « Pas forcément besoin de bouclettes vous savez ! Enfin si vous le dites ! Mais quelle est donc votre théorie mademoiselle ? Assez, je n’ai pas envie de parler de choses que vous ne connaissez pas ! Je suis comme ça, que cela vous plaise ou non, alors si vous n’appréciez pas le fait que je sois froid, distant, autoritaire sur les bords alors vous connaissez le chemin n’est-ce pas ? Faites donc ! » . Autumn avait eu envie de lui tirer la langue, un peu comme une gamine. Mais elle s’en moquait de passer pour une enfant, après tout, elle était jeune et avait la vie devant elle. « Non, en effet, pas vraiment besoin, mais c’était en quelque sorte pour illustrer mes propos. Ma théorie est simple, vivre l’instant présent comme si c’était le dernier, et surtout ne pas avoir de regrets en s’imposant un mode de vie. Monsieur Roy aurait-il des choses à se reprocher ou à cacher ? Vous m’intriguez, réellement. Et vous en êtes quasiment plus intéressant que si vous faisiez de belles courbettes.» . La brunette se montrait relativement honnête, le fait qu’il agisse de la sorte faisait valser toutes les barrières qu’elle s’était fixées, toute la raison dont elle pouvait faire preuve. Certes, elle aurait pu prendre la poudre d’escampette, mais elle n’en avait pas envie, elle était comme attachée, collée sur place devant lui. Mais la guerre des nerfs était loin d’être terminée, vu que la jeune femme s’entêtait dans cette voie. Et lui ne perdait pas le nord non plus. « Oui vous le perdez en effet. Je ne vous ai jamais demandé de rester ici aussi tard, je vous ai simplement réquisitionné car vous étiez sur place, après vous pouvez très bien partir, je ne vous ai pas obligé à entrer dans ce bureau comme une furie comme vous l’avez si bien fait plus tôt mademoiselle ! Ah et bien je ne le cache pas, vous l’avez vu toute seule comme une grande, je ne veux pas le faire en toute discrétion figuez-vous, j’aime bien vous regarder, vous êtes très jolie, et vous avez de jolies formes donc pourquoi s’en priver n’est-ce pas ? Un tout doux ? Je ne suis pas un chien Autumn ! Et croyez ce que vous voulez, mais vous ne savez absolument rien de moi ! » . Comment avait-elle pu ne pas réagir ? Pourtant, elle était calme, ne sortit pas de ses gonds. « Qu’est ce qui me retient ici alors ? Dites le moi alors. Je ne voulais juste pas laisser trainer ce qu’on m’avait donné. Donc voilà, vous savez tout. Parce que j’aurais du vous suivre bien docilement et dire amen à tout, limite comme un petit soldat ? Vous faites bien ce que vous voulez, bien que ce que vous me regardiez, et que cela pourrait me mettre réellement mal à l’aise, surtout de par votre regard. Non, pas un chien, je le sais. J’aurais plus dit un panda ou un énorme nounours, ne vous en déplaise.» . Pour une fois, elle n’avait pas envie de l’envoyer sur les roses pour le moment, même si la brune lui avait collé une gifle, en raison du baiser qu’il lui avait prodigué contre son gré. Mais elle était venue s’emparer de ses lèvres à son tour pour un baiser qui n’avait rien de calme, mais qui était plus tempétueux, un peu ce qu’ils étaient depuis leur rencontre. L’atmosphère s’emplissait d’énergie, d’une tension sensuelle. La brune avait gouté à la porte, qu’elle avait fermée à clef par mesure de précaution. Et Autumn n’avait pu qu’exprimer le fait qu’elle soit très mal installée, au point que le directeur avait tout enlevé sur son bureau. A présent allongée toujours le brun contre lui, elle en aurait presque ronronné de plaisir,, surtout sous ses baisers qui étaient brûlants et fiévreux. « Et là ? Tu es mieux ? » . Elle avait acquiescé d’un signe de la tête, en venant lui mordiller la lèvre. Mais sa main sous son T-shirt la fit frissonner et elle avait posé sa main sur la sienne à travers le tissu. « Quand je disais que vous aviez vraiment de très belles formes… » . Se relevant pour se retrouver assise, elle vint laisser glisser les doigts de sa main libre sur son torse. « Profitez-en bien, parce que vous n’aurez pas droit à plus. En plus, je commence à avoir envie de japonais, ne vous en déplaise.» . Là, elle se jouait de lui, parce qu’il provoquait en elle une véritable tempête, et qu’elle ne pourrait surement pas arrêter s’ils persistaient de la sorte. Pourtant, elle était venue l’attirer contre elle, passant une main derrière sa nuque, pour l’embrasser à nouveau, comme s’il était devenu sa drogue en à peine quelques instants. « À table monsieur, et qui sait, après on pourra reprendre certaines choses qu’on vient de mettre sur le feu, enfin si vous en ressentez le besoin voire même l’envie» . Autumn était quasi persuadée qu’il dirait oui, c’était une certitude…
Sujet: Re: You better work B**** #A&A Jeu 13 Mar - 18:38
Autumn&Andrea
You better work bitch
Le jeu de séduction entre Andrea et Autumn était assez intéressant. Tous deux savaient à quoi s’attendre et comment jouer correctement. La tension était palpable entre les deux et ce n’était que le début. « Arrêtez, vous allez me faire pleurer ! Après tout, n’est ce pas vous qui avez construit cette entreprise ? Donc cela est presque normal de voir votre nom s’étaler en majuscules partout et n’entendre que des éloges à votre sujet, ce qui semble être relativement flatteur pour vous, mais d’un point de vue extérieur, cela ressemble beaucoup à de l’hypocrisie ou bien alors un passe-pommade, et encore je reste polie, comme vous pouvez le constater. Cela est dur ? Dans ce cas-là, si vous préfériez la discrétion, pourquoi vous êtes vous lancés dans cette carrière ? Navrée de mon franc-parler, mais vous attisez ma curiosité de par vos propos. Vous croyez réellement que je ne supporte pas l’autorité ? Vous vous trompez et pas qu’un peu, vu que je travaille et que je n’ai pas des personnes au dessous de moi, mais plus au dessus de moi, comprenez vous la nuance ? Ne me tentez pas, je serai capable de partir et je pourrais vous laisser seul à vaquer à vos occupations tardives. Très bien, je remercie mon supérieur alors, et je n’aurais aucun scrupule et je pourrais avoir que hâte de partir loin de cette boite » La jeune femme avait toujours une réponse pour lui et ce qui était bel et bien marrant. Elle avait de la répartie et Andrea adorait ça. Ce n’était que le début et il désirait de plus en plus la jeune femme. Tant pis si elle était en stage ici, tant qu’il n’était pas son professeur à l’université c’était le principal car ça aurait été la chose rédhibitoire pour Andrea. Heureusement, ce n’était pas le cas et il pourrait donc s’en donner à cœur joie avec la jeune femme, enfin pour le moment, rien n’était encore fais mais ils se cherchaient tous les deux et à force ils pourraient bien se trouver. « Vous ? Pleurer ? Non je ne pense pas que vous êtes du genre sensible justement mais ça pourrait pourtant bien me surprendre ! De me propres mains effectivement, pas besoin d’aide lorsque l’on peut le faire tout seul c’est bien plus jouissif ! Je n’entends pas que des éloges, sinon ce ne serait pas cool, n’est-ce pas ? J’aime aussi les critiques, au moins on voit qu’on ne peut pas plaire à tout le monde… J’aime les challenges et je sais quel est le travail que je fournis et la qualité de celui-ci, pour le reste, je m’en fou ! Et vous, que pensez-vous de mon entreprise ? Après tout, vous avez postulé ici donc vous devez avoir votre opinion sur la question pour demander à travailler ici ! Lâchez-vous, je vous en prie ! Je suis discret malgré tout, donc c’est un plus de faire ce que je veux et d’avoir mon entière discrétion ! J’aime les personnes franches, donc ça ne me dérange absolument pas que vous parliez de la sorte chère demoiselle ! Vous n’aimez tout de même pas l’autorité, et cela se voit mademoiselle ! Mais je ne vous retiens pas, seul un contrat vous retiens, mais vous pouvez partir si vous le souhaitez mais je suis certain que vous ne voulez pas vous en aller » Andrea souris à la jeune femme sachant très bien que si elle avait voulu partir, elle l’aurait déjà fait depuis un moment. Il venait de sourire mais c’était une chose assez rare chez Andrea, alors il fallait qu’elle profite d’un sourire qui disparaitrait aussi vite. Il se voulait toujours froid, distant, il ne voulait pas qu’on le prenne pour ce qu’il n’était pas. « Non, en effet, pas vraiment besoin, mais c’était en quelque sorte pour illustrer mes propos. Ma théorie est simple, vivre l’instant présent comme si c’était le dernier, et surtout ne pas avoir de regrets en s’imposant un mode de vie. Monsieur Roy aurait-il des choses à se reprocher ou à cacher ? Vous m’intriguez, réellement. Et vous en êtes quasiment plus intéressant que si vous faisiez de belles courbettes.» Il haussa les épaules, ils avaient finalement la même philosophie tous les deux à savoir qu’il fallait vivre l’instant présent comme si c’était le dernier et c’est toujours ce que faisait Andrea. Il ne se prenait pas la tête, il vivait au jour le jour et lorsqu’il partait en voyage d’affaire, il essayait toujours de prendre un ou deux jours de plus pour pouvoir profiter de la destination et surtout pour ne pas avoir le décalage horaire dans les pattes lorsqu’il allait à son ou ses rendez-vous. « Il ne faut jamais avoir de regret dans la vie car ça peut vous bouffer la vie mais vous avez raison, il faut toujours vivre l’instant présent comme si c’était le dernier, sinon on ne vivrait pas ! Je n’ai rien à me reprocher, rien à cacher, mais c’est ma vie donc pas besoin que vous en sachiez plus ! Je dois le prendre comme un compliment ?! » Il se voulait mystérieux et il aimait intriguer la jeune femme, car ça voulait dire qu’elle chercherait toujours à en savoir plus et c’était une bonne nouvelle. La jeune femme savait aussi y faire, elle avait toujours le mot qu’il fallait pour le faire réagir, et pour le faire monter en puissance. « Qu’est ce qui me retient ici alors ? Dites le moi alors. Je ne voulais juste pas laisser trainer ce qu’on m’avait donné. Donc voilà, vous savez tout. Parce que j’aurais dû vous suivre bien docilement et dire amen à tout, limite comme un petit soldat ? Vous faites bien ce que vous voulez, bien que ce que vous me regardiez, et que cela pourrait me mettre réellement mal à l’aise, surtout de par votre regard. Non, pas un chien, je le sais. J’aurais plus dit un panda ou un énorme nounours, ne vous en déplaise.» Andrea haussa les épaules de nouveau. La jeune femme lui tenait tête et ne s’arrêtait plus. « Je fais bien ce que je veux effectivement, et donc je prends plaisir à vous regarder… Un panda ? Un nounours ? Où allez-vous chercher tout ça ? » La gifle il ne l’avait pas vu venir et pourtant il en avait bel et bien la trace rouge sur la joue. Cà ne lui faisait pas mal, du moins pas vraiment car il avait porté toute son attention sur quelque chose d’autre. Sur son désire pour elle. Alors sans plus tarder, Andrea commença à mettre la jeune femme sur son bureau, elle l’avait chauffé mais lui voulait bien plus désormais. Mais alors qu’il avait voulu aller plus loin et qu’il avait commencé à se faire bien plus entreprenant mais la jeune femme ne l’entendait pas de cette oreille. « Profitez-en bien, parce que vous n’aurez pas droit à plus. En plus, je commence à avoir envie de japonais, ne vous en déplaise.» Andrea resta de glace. Il n’avait pas envie qu’elle le laisse languir comme ça, pas après l’avoir chauffé de la sorte mais elle n’était pas facile et c’était assez agréable à voir. « Mais je vous en prie, profitez du japonais tant qu’il est encore là Autumn… je ne vais pas vous laissez mourir de faim tout de même » Andrea ne put dire autre chose qu’elle avait placé ses mains sur sa nuque et l’avait de nouveau attirée contre elle afin de l’embrasser. Andrea répondit bien évidemment au baiser, sans laisser son envie dans un coin. « À table monsieur, et qui sait, après on pourra reprendre certaines choses qu’on vient de mettre sur le feu, enfin si vous en ressentez le besoin voire même l’envie » Andrea fit une petite moue mais laissa la jeune femme faire ce qu’elle voulait. Il lui tendit alors une boite contenant une partie du japonais qu’il avait commandé et prit une autre boite pour lui. Il commença alors à manger, elle ne perdait rien pour attendre. « Vous savez que vous n’allez pas vous en sortir comme ça… » dit-il tout en prenant un sushi avant de continuer « Mais vous regretterez de ne pas avoir succombée, je vous le dis… » il fit un clin d’œil à la jeune femme…