chapter one : - C’est comme ça que vous les élevez ?!
- Je suis une mère célibataire avec trois enfants. J’ai droit à un minimum de compassion !! si vous êtes de ceux qui pensent que la jeunesse d’aujourd’hui n’est plus ce qu’elle était, et bien vous ne saviez pas ce que faisaient vos parents ! ► hellsangels.

Angleterre, dans la petite ville de Londres. Le 5 octobre 1992. De l'un des hôpitaux de la capitale, au service maternité, on pouvait entendre du bruit provenir. Il s'agissait d'un bébé aux cheveux foncés (qui s'éclairciraient avec le temps, jusqu'à ce qu'ils deviennent blond). Ce bébé venait tout juste d’ouvrir ses petits yeux sur le monde et déjà, le médecin destinait ce nouvel être à un grand avenir qui aurait pu croire à cette époque, que ce docteur racontait des cracks  . Le médecin, un type assez chelou mais adorable tout de même, avait essayé de faire un peu d'humour sur la naissance de Neala. Il voulait essayer de réconforter la jeune maman. Parce que oui, la future Mme Milward-Jenkins était très jeune, elle avait à peine 16 ans lorsqu'elle l'avait eu. Et le père n'en avait que 18, alors même s'ils avaient réfléchi longuement : avorter, garder l'enfant, le faire adopter, ils avaient fini par décider qu'ils élèveraient Neala, aussi compliqué soit-il. : « Vingt minutes plus tôt. La jeune maman poussa un cri de douleur qui dut retentir dans tout l’hôpital vu son intensité. Le docteur essayait tant bien que mal de faire en sorte que l’accouchement ne dure pas trop longtemps et qu'il se passe dans les meilleures conditions possibles. Cela faisait près de 10 heures que la jeune adolescente essayait de donner la vie, dans d'atroces souffrances. Mais ce bébé, elle l'avait attendu depuis que la décision du jeune couple avait été prise. A peine sorti de l'enfance, voilà qu'ils devaient y replonger avec la jolie blondinette. […] Enfin, après une demi-heure supplémentaire de douleur, la jeune Beth lâcha un dernier cri avant de s’allonger un peu plus confortablement, épuisée, serrant la main de son petit ami dans la sienne, pendant qu’on entendait un pleur de bébé. Les parents des jeunes parents étaient dans la pièce juste à côté. Contrairement à ce qu'il arrivait pour d'autres, ils étaient présents pour leurs enfants et leur petite fille. Le médecin se tourna ensuite vers les nouveaux parents, avant de leur tendre leur enfant et leur dit : "tu seras un homme mon fils, un grand homme." Les parents le regardèrent avec des yeux écarquillés. Il avait fumé quoi avant de venir ?, se demandèrent-ils. Alors qu'il venait tout juste de partir, les parents regardèrent leur bébé et après un échange de regard, ils se mirent à rire. Décidément, ce médecin avait fumé un truc puisqu'il s'agissait en fait d'une très jolie petite fille qu'ils choisirent d'appeler Paige Neala-Calypso. ». L’enfant étant né juste au moment du terme de l'accouchement, ils purent partir après une nuit et quelques examens plus que normaux pour la naissance d'un enfant. Du coup, papa, maman, et bébé Milward rentrèrent à la maison, un petit appartement qu'ils pouvaient louer grâce à l'aide que leur apporter les grands-parents de Neala. En rentrant chez eux, ils installèrent l'enfant dans leur chambre que Kevin -le jeune papa- avait spécialement redécoré pour elle, et ignorant jusqu'au dernier moment le sexe de leur enfant (ne voulant pas le connaître), les couleurs étaient plutôt neutres, s'adaptant ainsi à un garçon ou bien à une fille, comme c'était le cas. Elle logerait là, pendant les premiers mois de sa vie, sa mère voulant être sûre d’entendre son bébé pleurer.
Les premières années qui avaient suivi la naissance de l’enfant s’étaient passées dans les meilleures conditions possible. Les parents chérissaient leur premier enfant plus que tout au monde. Ils étaient encore jeunes lorsqu'ils avaient eu Caly', ils sortaient tout juste du lycée, entraient à peine à la fac, et Beth avait annoncé sa grossesse à Kevin au beau milieu d'un match de football. La nouvelle avait surpris tout le monde, mais ils assumaient leurs actes ainsi que cet enfant. Ils étaient membres du club d'abstinence, il était le footballeur populaire, elle l'intello qui avait réussi à avoir une place dans les Cheerios, et leur relation avait été mal vu au départ, mais ils avaient tout vécu ensemble, tout assumé. Pour le moment ils n'avaient pas prévu d'en faire d'autre avant quelques années, voulant d'abord profiter de Caly' au maximum, mais surtout ils voulaient pouvoir finir leur cycle d'études supérieures.  

chapter two : - Allez s’il te plait, recrache-le... Si tu recraches pas le p’tit Johnny, on quitte le terrain de jeu immédiatement. 1... 2... Ne m’oblige pas à dire 3... Eh ben voilà ! Il pète la santé ce gosse !
- C’est pas le p’tit Johnny.
- Oui ben c’est mieux que rien.
- Oooh Josette ! « Tu t’rappelles quand t’étais gamine, les livres de coloriages ? Moi j’les aimais pas. C’est vrais quoi, si j’ai envie de dessiner une maison, j’veux pas qu’un abruti décide à ma place à quoi elle doit ressembler ! » ► hellsangels.

Londres. Trois ans plus tard. Neala-Calypso venait tout juste de souffler ses 3 bougies, entourée de sa famille et de quelques amis, rencontrés à la crèche ou chez son ancienne nounou. A la fin de l'après-midi tous les invités rentrèrent chez eux, tandis que la fillette se précipitait vers son père pour faire son activité favorite : l'hélicoptèèèèèèère « Après avoir raccompagné ses amis jusqu'à la porte et leur avoir fait un grand signe de main mais alors super rapidement parce que c'est l'hélicoptère d'abord  en guise de au revoir depuis le perron, la petite Paige déboula en un éclair dans le jardin et sauta sur les genoux de son père, un sourire des plus innocents sur le visage. "Papa, papa ! .... Papa ... Papa ... Tu me fais faire l'aviooooon ... s'il te plaîîîîîîîît ? Dis-moi oui, dis-moi oui. " Elle le regarda avec les yeux du Chat Potté, elle avait depuis bien longtemps trouvé le moyen de faire craquer son gentil papa et elle avait tendance à beaucoup s'en servir, peut-être même à en abuser mais après tout, elle n'était encore qu'une petite fille des plus innocentes, alors elle ne se rendait pas vraiment compte de ce qu'elle faisait. "Allez, viens là mon cœur." Le jeune papa prit sa petite fille dans ses bras et la fit tourner dans les airs. Elle tendit les bras et on put l'entendre rire. Ses cheveux volaient au vent, elle était heureuse. "BVRRRRRRRRRRRRR. Dis, papa, est-ce que je fais bien le n'avion comme ça ? " Son père la regarda en riant et alors qu'il redescendait sa fille et la serrait dans ses bras, sa femme ouais parce qu'ils s'étaient mariés entre temps pour que cet enfant soit moins mal perçu  arriva et se joignit aux réjouissances. Une scène des plus clichés, penserez-vous, mais le temps parfait de cette famille était compté. »

chapter three : La vie est plein de tournants. Un jour tu es l'essuie-glace, un autre tu es l'insecte qui s'écrase contre le pare-brise. « Vous êtes vous déjà demandé quelle trace laisse notre passage sur terre. Si une seule vie peut réellement avoir un effet sur le monde, ou si les choses que nous faisons ont une quelconque importance. Moi je crois que oui, et je crois qu'un seul homme peut changer la vie de beaucoup d'autres pour le meilleur ou pour le pire. & Aujourd'hui on m'a demandé: «Comment tu fais pour toujours avoir le sourire, rigoler?» J'ai répondu: «Je fais semblant.» » ► hellsangels.

Neala venait d'avoir 10 ans. Jamais elle n'avait quitté Londres et jamais elle ne quitterait la capitale. Elle était trop habituée à la vie d'ici, le monde dans le métro, le monde dans le bus, le nombre élevé de voitures dans les rues, le bruit. Elle s'était habituée à cette absence de silence et ce 13février, un vendredi en plus, elle aurait dû savoir que rien ne se passerait bien, c'était bien trop silencieux pour elle : « La fillette venait tout juste de finir son spectacle de danse. Elle dansait depuis qu'elle savait marcher, et ce soir, elle avait enfin dansé son premier solo, et ses parents n'arrêtaient pas de lui dire qu'elle était merveilleuse. je vous jure ses chevilles n'ont pas enflées  A l'arrière, Neala n'arrêtait pas de s'agiter, elle était tellement heureuse, elle avait reçu tellement de compliments. La vie était belle, bon il faisait nuit, mais sinon il avait fait beau toute la journée, les oiseaux avaient chanté. Tout allait bien dans le meilleur des mondes et la jeune fille sortit alors la phrase la plus débile qui soit : "Papa, maman ! Jeunes terriens sans connaissance, je tiens à vous faire part de mon incroyable découverte ... " Mr et Mme Milward-Jenkins échangèrent un regard. Ils savaient que leur enfant avait un humour des plus particuliers, mais bon ... ils l'aimaient comme elle était, humour pourri ou pas. "Vas-y fais-nous part de ton intelligence hors du commun." L'air toute fière, Neala répondit : "Je tiens à vous informer d'un fait scientifique : les céréales Lion c'est de l'arnaque, j'ai essayé de rugir mais le chat s'est foutu de ma gueule." ouais un gros mot Étant donné que ses parents étaient jeunes, ils ne lui en firent pas la remarque, parce que d'habitude, elle était sage et polie, et surtout, en public, elle se retenait de jurer, alors cela ne les dérangeait pas. Les deux parents s'étaient retournés pour la regarder en souriant, voir son air fier, contente de sa remarque, quand des phares les éblouirent et la voiture tomba dans un fossé. Le père de Neala mourut sur le coup. La mère de la fillette fut blessée, mais elle put sortir et avait simplement des exercices de rééducation à faire quand à Neala-Calypso ... aux cours d'examens pour un bras cassé et un orteil déplacé, ils découvrirent qu'elle avait une malformation cardiaque et suite à l'accident, on lui fit don de la rate de son père car la sienne n'était plus vraiment fonctionnelle après l'accident. Bref que des merdes ce jour-là ...»

chapter four : Il paraît que la vie est belle, ouais il paraît. « Il y a toujours une part de vérité derrière les "Je plaisante", un peu de curiosité derrière les "Je demandais juste", un peu de savoir derrière les "Je sais pas", un peu de mensonge derrière les "Je m'en fou" et de la douleur derrière les "Oui ça va". » ► hellsangels.

Londres. La jeune blondinette venait de fêter ses 13 ans, elle avait raccroché ses chaussons de danse définitivement et ne reprendrait pas de sitôt même si elle continuait à s'exercer en cachette pour garder sa souplesse. Plus jamais, elle ne serait heureuse, depuis que son père était décédé, c'était la promesse qu'elle s'était faite. Et cela se confirmait en voyant le type avec lequel elle s'était remarié. Avec ça, Caly' était devenue le stéréotype de la fille pathétique. Son beau-père la violait ... Il lui avait pris la seule chose qui la rendait innocente, qui faisait d'elle une jeune adolescente normale en pleine puberté, et il n'hésitait pas à la frapper sous les yeux de sa mère, qui ne bougeait pas d'un pouce. Cet homme contrôlait complètement l'ex madame Milward-Jenkins. A croire que cette dernière avait oublié leurs moments de bonheur familiaux. Son père lui manquait chaque jour un peu plus, s'il avait été là, il n'aurait jamais laissé faire ça. S'il avait été là, sa mère n'aurait jamais épousé cet alcoolo. Mais avec des si, on referait le monde et même si Caly' avait besoin d'espoir, elle avait surtout besoin d'être un minimum heureuse et de ne pas arriver chaque jour au collège avec de nouveaux bleus. Rentrant du collège un soir, son beau-père l'avait tiré par les cheveux jusque dans la cuisine et une scène devenue quotidienne avait eu lieu. Caly' n'avait plus qu'à souffrir et subir en silence. « Le beau-père de Calypso l'attrapa par les cheveux, et la traîna dans la cuisine. Là, son regard devint plus noir et la jeune adolescente fut tout de suite effrayée. Elle savait comment cela allait se finir et fermer les yeux pour que cela passe plus vite, et c'est là, qu'il fit une chose qui la mit hors d'elle. Il commença à la brûler avec sa cigarette, ce qui lui laissa de nombreuses cicatrices, qu'elle possède encore aujourd'hui. Il la frappa ensuite, n'hésitant à frapper sa tête contre un mur. Elle lui lança un : "Je te déteste ! Tu ne sais pas à quel point je te déteste ! Je voudrais que tu crèves ! " Elle lui avait crié ces mots, mais cela n'avait pas l'air de faire quoique ce soit. Il s'était contenté de rire, avec son haleine pestilentielle qui se dégageait, et il avait recommencé de plus belle avant de la violer. Après ça, elle le frappa de ces petits poings et lui envoya de nombreuses insultes au visage. "Je te hais ! Tu n'es qu'un connard ! Ma mère tu ne la mérites pas ! Tu es un salaud, un crevard ! Mon père vaut cent fois mieux que toi." "Valait, tu veux dire ! N'oublie pas que c'est ta faute s'il est mort. Et ouais, tu l'as tué blondie ... Je suis au courant de tout, n'oublie pas que ta mère et moi, on est sur la même longueur d'onde. Tu n'es qu'une assassin ! " Elle le regarda, repensant à ce fameux soir, il n'avait pas tort, c'était sa faute si son père était décédé ... Et elle ne s'en voudrait jamais assez pour cela. "Tu vois, tu sais que j'ai raison. Tu ne mérites même pas d'être heureuse, petite garce. Maintenant, file-moi ma bière !" Se rhabillant, elle y était allée, sans dire un mot, se contentant d'exécuter.» C'est à partir de ce moment-là que ça a commencé à déraper, que Neala est devenu la biatch que Nathanael a connu. Avat lui, elle avait couché à droite à gauche, après lui, elle avait recommencé ces conneries. La boisson était sa nouvelle alliée, la clope sa nouvelle meilleure amie. Elle avait seulement besoin d'oublier tout cela.

chapter five : Un jour on rencontrera cette personne qui nous fera comprendre pourquoi cela n'a jamais fonctionné avec un autre. « Il y a une question dans "Je t'aime", qui demande "Et m'aimes-tu, toi ?" » ► hellsangels.

Neala avait 15 ans presque 16 lorsqu'elle avait rencontré ce bouclé. Il lui avait plu immédiatement. Il était différent. Il était intéressant. Il la faisait se sentir autrement que comme une fille pathétique à la vie difficile. Il la faisait se sentir comme une fille amoureuse pour la première fois, parce que ouais Nathanael c'est son premier amour. Mais Neala avait une réputation, celle d'être une biatch, oui, c'était la réputation qu'elle s'était donnée avec sa vie. Elle ne voulait pas qu'on découvre qu'elle se faisait violer et frapper, elle prétendait qu'elle était maladroite et comme c'était une peste on ne lui posait pas plus de questions. Tout était bon pour qu'on ne l'interroge jamais. Mais lui, il était rentré dans sa vie comme une tornade et était reparti comme un tsunami, la laissant vide de la moindre énergie, du moindre sentiment. Elle regretterait éternellement la souffrance qu'elle lui avait fait enduré, mais au moins, il n'aurait jamais eu à subir les représailles de son beau-père. « Neala rentra chez elle, elle avait simplement besoin de se détendre après cette dure journée de cours, se reposer, s'allonger sur son lit. C'était tout ce qu'elle demandait mais c'était trop demandé visiblement, puisque son beau-père entra dans sa chambre et l'envoya par terre. "Non mais ça va pas ! Tu m'as fait mal, putain ! " Elle se tenait la joue en le regardant. "Tu préfèrerais que je fasse du mal à ton petit chéri peut-être ? Comment s'appelle-t-il déjà ? Nathanael Conor ? Je sais même où il habite alors ... t'as intérêt à arrêter tout ça vite fait, de la manière que tu veux, mais je m'en fous, t'arrête tout, tu sais de quoi je suis capable. " Elle le regarda, lui lança un regard noir. "Je refuse, il m'aime. Je l'aime, tu ne pourras jamais nous séparer." "Oh tu crois ça ? Qu'est-ce qu'il penserait de toi si je lui disais que tu es une meurtrière et une fille facile ! " Elle lui lança un nouveau regard noir, elle savait qu'il en serait capable. Elle ignorait comment il avait su pour Nath' mais voilà ... il l'avait su et Nath' allait payer cher la moindre erreur de Neala. Du coup, elle avait lancé ses rumeurs. [...] La jeune femme avait répandu les rumeurs les plus folles sur Nath' en à peine quelques heures. Elle préférait souffrir plutôt qu'il la haïsse, enfin .. d'un côté, après ce qu'elle avait dit, il allait la détester c'était certain mais jamais il ne devrait savoir pour ses viols. Elle refusait qu'il apprenne quoique ce soit. Elle avait mis un moment à forger cette carapace, pour se mettre à l'abri, et il avait réussi à tout briser. "Je vois que tu as fait ce que je t'ai dit ... Je suis fier de toi.", dit-il passant ses mains dans les cheveux blonds de la jeune femme. Elle lui cracha au visage et ce soir-là, elle fit ses valises et partit. » Après cela, elle vécut dans un foyer pendant un moment, enchaînant les petits boulots pour enfin être capable de se payer un petit studio. Elle arrivait épuisée en cours, mais elle survivait. Ouais, parce qu'à ce stade-là, ça ne s'appelait plus vivre mais bel et bien survivre.

chapter six: On a tellement joué avec mon cœur, que maintenant il est game over. C'est très joli la vie, mais cela a un inconvénient, c'est qu'il faut la vivre. & Je suis une princesse! Je fais pipi rose, je pète des paillettes, je rote des confettis et je fais des cacas papillon ! ► hellsangels.

Cher journal, aujourd'hui va être un jour différent, ce doit être un jour différent weshhh vous avez cru, je tenais un jour ou quoi   Elle avait donc quitté sa famille à l'âge de 16 ans. Enfin, famille, c'était un bien grand mot, fille unique, depuis le décès de son père, elle n'avait plus eu la belle vie. Âgée de 18 ans, elle avait enfin pu faire ce qu'elle souhaitait et c'était installé dans un petit studio, et avait pris un boulot ui lui rapportait assez d'argent. Serveuse, danseuse, elle fréquentait l'un des bars les moins recommandables de la ville de Londres, mais peu lui importait. Elle avait le chauffage, l'électricité, de quoi se nourrir, et quelques pièces lui restaient pour s'offrir de quoi s'habiller à la fin du mois. Elle avait coupé tous les ponts avec son beau-père et sa mère, pas le moindre appel, rien ! Il ne devait jamais la retrouver, elle voulait avoir une nouvelle vie, redevenir une personne dont son père serait fière, et elle avait réussi. Oubliant son passé, elle redevenait une personne gentille mais assez crue lorsqu'il s'agissait de dire la vérité. Pourtant, son beau-père a retrouvé sa trace et revient la hanter, en profitant pour la frapper. Va-t-elle redevenir la biatch que Nathanael a connu ou continuer dans sa voie pour devenir une personne plus gentille ?