feat : Sasha Beauty Pieterse Pseudo : mélo' Souriez, dites cheese : Âge : 18 printemps Famille : Un frère en or vaut plus qu'une famille en carton Statut : Je suis libre donc j'ai tout compris Bff : Personne parce qu'on a besoin que d'un esprit pour être fou et rendre la fête folle et bonne Etudes : étudiante en musique Profession : serveuse au Starbuck Jukebox : Stars Dance - Sel Gomez Points chance : 39These little things :
All I wanna say is that they don't really care about us..
Sujet: I'm not calling you - GUSTAVE&&ALANNAH Dim 14 Sep - 12:09
∞ I'm not calling you
Gustave & Alannah
Les gens riaient, discutaient, mordaient et buvaient d’un bout à l’autre du Starbuck. Bon c’était un peu exagéré dans la mesure où il n’y avait qu’une table d’occupée par un jeune couple, seulement, dans la mesure où je travaillais ici depuis un petit moment et bien, j’étais si bien habituée à voir du monde que je le voyais constamment, même si c’était plus dans ma tête qu’autre chose. On venait tout juste d’ouvrir et les rayons du soleil commençaient à peine à frapper à nos vitres. Soleil plutôt rare d’ailleurs mais, pas désagréable. Enfin, j’organisais les vitrines de notre bon vieux Starbuck attendant patiemment la clientèle. Rien de très anormal jusque là.
Londres. Je suis arrivé il y a si peu de temps… Et puis, vivre avec mon frère est un plaisir mais, ce n’est peut-être pas l’appartement rêvé. En attendant, c’était bien mieux que de payer une chambre d’hôtel où l’on craint tout entre les femmes de ménage, les cambrioleurs ou les employés distraits lors de leur travail. Une fois, … Non laissez tomber, c’est nul. Un morceau du groupe The Kills était lancé par la radio alors que des clients arrivaient. J’aurais eu le cœur à sortir ma guitare sur le moment mais mon devoir était plutôt de dire « Bonjour ! Vous désirez.. ? ». Cet accoutrement ne m’allait pas, à mon goût. Le tablier était d’une laideur sans nom, mes cheveux attachés me donnaient l’envie de me pendre par les pieds et mes baskets me donnaient la vulgaire impression de non cohérence. La mode est importante à mes yeux, pas vous ? Enfin, toujours est-il qu’à l’heure où je parlais, rien n’avait plus d’importance que d’attendre la fin de la journée, espérer que la clientèle serait agréable et qu’aucun problème ne serait déclenché. Je servais un muffin aux pépites de chocolat à la première jeune fille qui s’installait à une table, les bras tendus sous son plateau. La deuxième réclama un café noir et un framboisier. Enfin la troisième a simplement demandé un chocolat et a laissé sa copine réglait pour elle. Il me manque ce temps où j’étais entourée de mes amies. Aujourd’hui je n’ai que mon frère, non pas que ce soit déplaisant, mais le manque de conaissances me pinçait le cœur. Pas le temps de pleurer sur mon sort ou d’y réfléchir trop longtemps, voilà le renfort. Un coéquipier débarquait au même moment que je finissais de préparer le plateau de mes jeunes clientes. Je n’ai donc pas vu sa tête, enfin pas encore. Le pire restait à venir…
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Invité
Sujet: Re: I'm not calling you - GUSTAVE&&ALANNAH Dim 14 Sep - 15:12
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The lie is a mortal sin and life's a lie
C'est dans le malheur, que l'on rencontre les plus beaux moments de bonheur.
Un bruit insupportable et qui se répète m'arrache brutalement de mon merveilleux rêve. Je grogne un bon coup et tente de me lever de mon nouveau lit. Ma tête cogne et je ne sens absolument plus mon corps. Gueule de bois. J'essaye de me rappeler de la veille et me frottant énergiquement les yeux. Quelques choses bouge dans mon lit et je sursaute. Putain...c'est quoi ce truc. Je tire doucement la couette...elle dort paisiblement comme si de rien n'était, complètement nue. Elle bouge et ouvre les yeux et je soupire. Eeet merde...Hey Camille c'est ça..? Emma.J'hausse des épaules en lui tendant sa culotte Ouais peut-importe, faut que t'y ailles. Elle soupire légérement agacé et cinq minutes plus tard elle quittait l'appartement comme une furie. Je m'habille à mon tour un peu trop lentement peut-être et m'installe dans le salon avec un bol de céréale. Mon nouveau colo'c et meilleur ami Gabriel sort de sa chambre et me rejoint sur le canapé. Tu devrais pas être au boulot toi? Meeerde! J'avais zappé. j'attrape des lunettes de soleil pour cacher ma gueule de bois et sort de la maison encore plus rapidement que Camille...ou Emma...je sais plus. Le starbucks Coffee est à 10 minutes à pieds de mon appart donc je ne suis pas tellement en retard que ça. J'arrive enfin dans le café et me fait tout petit jusqu'au cabine où je me change en vitesse.
ça commence bien comme premier jour.
On me donne les instructions après m'avoir réprimandé sur mon retard. Je prend une première commande en rejoignant ma future collègue de travaille qui es plutôt mignonne. Mais c'est quand je m'approche que je me rend compte que c'était une très mauvais idée.. Alannah...putain. Je l'avais rencontré à Leicester quand j'y étais resté 3 mois. J'avais dix sept et on avait bien accroché...le truc c'est que ça c'est pas très bien finit. Je ne lui avait jamais dit que je retournais à Londres à la fin de me séjour et je ne lui ai jamais donné de nouvelles depuis. J'étais jeune et con, je venais de sortir de mon cancer et je voulais profiter de la vie. J'essaye de faire comme si de rien n'était. Avec un peu de chance elle m'avait oublié. Hey...hum je suis le nouveau...
ça commence vraiment bien comme premier jour...
copyright crackle bones
Alannah L. Hodson
feat : Sasha Beauty Pieterse Pseudo : mélo' Souriez, dites cheese : Âge : 18 printemps Famille : Un frère en or vaut plus qu'une famille en carton Statut : Je suis libre donc j'ai tout compris Bff : Personne parce qu'on a besoin que d'un esprit pour être fou et rendre la fête folle et bonne Etudes : étudiante en musique Profession : serveuse au Starbuck Jukebox : Stars Dance - Sel Gomez Points chance : 39These little things :
All I wanna say is that they don't really care about us..
Sujet: Re: I'm not calling you - GUSTAVE&&ALANNAH Sam 18 Oct - 11:06
∞ I'm not calling you
Gustave & Alannah
Loin de moi l’idée de me transformer soudainement en un démon sans nom mais, face à un ex qui débarque d’un naturel absurde. En fait, je ne sais même pas s’il était un ex dans la mesure où nous nous sommes jamais vraiment quittés et dans le cas où je ne l’ai genre jamais revu. Quoiqu’il en soit, Un sourire perché sur mes lèvres, je tendais le plateau à cette nouvelle recrue. C’était son premier jour ? Ses premières clientes ? Tant mieux. Ce n’était pas les dernières et maintenant qu’on allait devoir se supporter pendant de longues, éternelles voir même insoutenables heures, il allait voir ce que c’est que de me laisser en plan. Je lui imposais le plateau dans les pattes avant d’arborer un air aussi calme et détendu que possible tant dis que la seule chose à peu près cool qui me venait dans la tête le concernant c’était de lui décapiter la tête ! Eliam, mon frère, si tu étais là… « Tu peux conduire ces jeunes demoiselles à leur table avec ce plateau ? Merci ». Traduction : hors de ma vue, je vais vomir !
Je suis plutôt d’ordinaire souriante, drôle et appréciable mais là, non. Il m’avait fait de la peine, énormément. Partir sans laisser de traces était une grossière erreur. Ce n’est pas mon genre pourtant d’être la fille collante, insupportable à souhaits ou carrément lourdingue je crois ! Quoi qu’il puisse trouver comme excuse, aussi bonne soit-elle, n’effacera pas de ma mémoire les longues heures passées à me demander ce que j’avais fait de mal dans l’histoire. J’ai fini par passer à autre chose, j’ai même réussi à me trouver quelqu’un de bien et tout ça pour finir célibataire mais, la rancune était là.
J’encaissais les clientes dans le seul but de le laisser à son plateau et à sa galère. La maison n’a pas pour habitude d’escorter sa clientèle mais ça, il n’avait pas besoin de le savoir. Tous les moyens étaient bons pour qu’il dégage de ma vue ne serait-ce qu’un instant. Le choc était un peu trop fort pour mon cerveau et j’avais besoin d’un léger moment pour me remettre de cette « retrouvaille d’or ». Mon sourire n’était plus. Mon regard était dans le vide, je n’avais plus qu’à prier pour que le temps passe très vite ou alors qu’il se casse malencontreusement une jambe. Ou sinon je peux aussi prendre quelque chose pour lui arracher la vie. Je ne sais pas comment je vais pouvoir le supporter, mais il va falloir le supporter.