Je m’appelle Chloé Alice Evans, je suis arrivée dans ce monde le dix avril mille neuf cent quatre vingt neuf à l’hôpital de Londres. A mes côtés, se trouve Peter et Clémence Evans, mes parents. Mon arrivée au monde les as tous chamboulés, en même temps c’est comprend puisque normalement, ma mère était stérile alors quand elle a su qu’elle était enceinte de deux mois, ce fut la joie pour mes parents. Mon père m’avait racontés que pendant la grossesse de ma mère, j’avais pas arrêter de bouger, ils en conclut que j’avais envie de venir au monde et c’Est-ce qui arrivait neuf mois après. Un beau petit bébé de quarante neuf centimètre et de trois kilos cinq cent soixante.



« Chloé, dépêche toi, tu va être en retard ». Je détestais quand on criait après moi pour diverses raison, pourquoi on me le faisait hein ? J’étais pas débile et savait lire l’heure du haut de mes onze ans mais pour ma mère, c’était mon premier jour au collège .. Génial. C’est alors tout doucement, pour bien l’énerver que je me rendais au collège sous l’œil espiègle de ma mère qui voulait m’emmener .. Elle va pas bien ! Premier jour ? Catastrophique, je me rendais compte que j’étais plus mature que tout ceux de ma classe quand au moment d’entrer en classe, un garçon me bousculais mais ne disait rien et moi j’étais trop fatigué pour dire quelque chose, la seule chose que je savais de lui est qu’il s’appelait Théo. Drôle de nom et en plus, ça ne lui allait pas. Bref, je ne m’en faisais pas.



Mes années collèges était terminés et j’avais hâte de rentrer à l’université sous les yeux de mes parents qui n’arrêtait pas de me féliciter mais je ne comprenais pas pourquoi. Peut être parce que je voulais devenir infirmière auprès des enfants malades comme elle alors ça la rendait fière. Premier jour ? Pas plus mal que le collège mais je me sentais perdu jusqu’à ce moment, ce fameux moment où on me percutait en plein couloirs. « Dit pas pardon ! Ta raison, quel politesse ». Lâchais-je à l’égard du jeune homme qui m’avait bousculés et qui était aussi intimidait que moi. « Oh .. Excuse moi ». Je le regardais de haut en bas, un mec qui se rabaissait envers une meuf, c’était incompréhensible. « C’est pas grave, tu es excusé alors maintenant, soit tu m’aide à ramasser mes bouquins et mes millions de feuilles qui se sont envolé ou alors tu dégage de mon chemin ». Il semblait attirer par autre chose, il ne me lâchait pas du regard, c’était assez stressant à vrai dire. « Non .. Oui enfin .. Je vais t’aider ». Et c’est comme ça qu’il se sont rencontrés, rencontre nul à chier mais que voulez vous :p. « Je m’appelle Théo Jones ». Mon regard avait alors changer et je crois même que je devenais blanche comme un cachet d’aspirine mais je repris très vite mes esprits. « Je comprend mieux. T’aime me foncer dessus ». Bouquins en main, je décidais de partir sans lui dire quoi que ce soit d’autre, il était hors de question que je lui fasse remarquer que c’était moi, la fameuse timide du collège.

« Je peux manger avec toi ? ». Encore une fois, il me coupait dans tout ce que j’entreprenais et là, j’étais en train de manger. « Je t’en prie ». Aucun sourire, aucun mouvements, juste des paroles froide. « On se connait, non ? Je t’es déjà vu quelque part mais où ? ». Je raclais ma gorge, buvait une goutte d’eau et lui adresser un sourire narquois. « Bien sûr qu’on se connait, je te laisse deviner. T’adore les devinettes, pas vrai ? ». Il ne comprenait pas ce que je venais de dire et c’était compréhensible vu que je ne lui avait donné aucun indice, aucune pistes. J’attrapais mon plateau et partit le ranger le laissant une nouvelles fois en plan.

« Tu est Chloé Evans ? Ca y’est, je me souviens de toi, je t’ai bousculés au collège, ton premier jour ». Je me mit alors à rire légèrement, ce mec avait dût retourner tout son cerveau pour s’en rappeler et il venait encore me parler malgré les refus de le voir. « Bravo Einstein, maintenant, tu veux quoi ? ». Lâchais-je en le regardant alors que j’étais en cours de philo et qu’il ne devait pas être là. « Te connaître. Rejoins moi ce soir, restaurant du coin à vingt heures ». Il s’envolait et me laisser complètement bouche bée.

J’ai bien évidement était le voir ce soir là, petit à petit, on a parlés et plus calmement qu’autrefois. D’après ce que je comprenais, je l’attirais. N’est-ce pas génial ? En même temps, il était pas mal non plus. De là, une amitié avait vu le jour et même si ils ne l’admettent pas, ils sont fou l’un de l’autre mais qui va céder le premier ?

En parallèle de notre amitié, j’ai continué mes études afin de faire la fierté de mes parents et c’est réussit. Après avoir obtenus tout mes diplômes haut la main, l’hôpital de Londres m’ont recruter pour manque de personnels et tout se passe à merveille. Bien sûr, je continue mes études mais travaille en même temps. Grâce à l’argent de mon compte, mon travail, j’ai réussit à m’acheter un petit appartement en plein centre ville.