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 scars have the strange power to remind us that our past is real.

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Eliam M. Hodson
Eliam M. Hodson
feat : god of sexiness, loueh the tommo tomlinson. tu peux pas teeeest.
Pseudo : anaëlle.
Souriez, dites cheese : scars have the strange power to remind us that our past is real. 18683920145
Âge : moyen. ouais, je viens du moyen-âge moi. même que je mène une double vie de moine chauve qui travaille pour l’industrie du chaussée aux moines becoz j'adore le fromage.
Famille : alannah, mon petit bb de soeur.
Statut : de la liberté.
Bff : dony, la plus jolie (c'est bien parce que je suis gentil becoz en vrai elle est grosse, grasse, moche et chiante mais bon, je l'aime).
Jukebox : 5 seconds of summer, wrapped around your finger (la plus belle chanson du monde okok) + pixie lott, nasty.
Points chance : 32
These little things : scars have the strange power to remind us that our past is real. Tumblr_lrnhkdBiDG1r0ybih« UNE PETITE SOEUR, MÊME SI T'ES A DES MILLIERS DE KILOMÈTRES, ELLE EST TOUJOURS DANS TA POCHE D'AMOUR ÉTERNEL. » THE APPLE OF MY EYE.
scars have the strange power to remind us that our past is real. 505657donia « LA MIFA RICHARDS C'EST L'AMOUR LA VIE L'UNIVERS ET L'AU-DELA T'INQUIETES PAUPIETTE JOLEZEM. » LUAN + DONIA.
scars have the strange power to remind us that our past is real. Tumblr_mwoovygHE21rj2wado3_500 « ON N'EST PAS IDIOT, ON EST JUSTE DES IMBÉCILES HEUREUX. ET UN PEU IDIOTS QUAND MÊME. » RPZ JALIAM LES ROIS DU MONDE.

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MessageSujet: scars have the strange power to remind us that our past is real.   scars have the strange power to remind us that our past is real. Icon_minitimeDim 9 Fév - 22:33

scars have the strange power to remind us that our past is real + eleanor et eliam
“L’alcool ne résout pas les problèmes”. Si j’avais cru dire ça un jour… Je ne réglais pas mes problèmes à coup d’alcool, non, mais je n’étais pas non plus le genre de personne à boire de l’eau lorsque j’étais en soirée ou autre. D’ailleurs, il était rare que j’en ressorte frais comme un gardon. Et pourtant, cette fois-ci, je n’avais pas tenu ce rôle. Moi qui me fichais pas mal de ce qui pouvait bien arriver aux autres, je m’étais retrouvé malgré moi à sortir Eleanor de la merde dans laquelle elle s’était intentionnellement fourrée. Je n’étais pas sans savoir que sa vie n’était pas si rose qu’elle le laissait paraître, mais ce que je savais aussi, c’était que cette situation avait déteint sur moi, et sur nous aussi. Si j’avais toujours eu l’habitude de prendre soin d’elle avant ça, depuis, je préférais me tenir éloigné d’elle. En mon for intérieur, j’étais persuadé que c’était la meilleure chose à faire. Je n’avais néanmoins fait preuve d’aucune hésitation à la minute même où j’avais vu la blondinette dans ce pitoyable état. Certes, elle m’avait fait souffrir et je voulais éviter à tout prix de souffrir à nouveau par sa faute. Ceci étant, ce n’était pas pour autant que je souhaitais qu’elle souffre à son tour, si ce n’était pas déjà fait. Se mettre minable, ce n’était pas son genre. Savait-elle-même ce qu’était cette sensation ? Rien n’était moins sûr, et je me refusais à la laisser affronter ça seule, même si elle l’avait voulu.
Comme je m’y attendais, Eleanor s’était tout d’abord montrée méfiante avant de refuser toute aide de ma part. Peut-être bien qu’elle ne l’aurait pas refusée si elle n’était pas venue de moi. J’en étais même persuadé. C’était devenu un cercle vicieux entre elle et moi ; ni l’un ni l’autre ne voulait risquer de se rapprocher de trop près, et nous en venions à nous comporter comme des enfants. C’était ridicule, et peu importait ce qui avait bien pu se passer entre nous, un proche qui a besoin d’aide reste un proche qui a besoin d’aide. Ni plus ni moins. Et malgré tout, je tenais encore bien plus à elle que je ne voulais bien le dire. J’ignorais de quoi elle avait peur au juste, mais je ne lui demandais rien en retour, si ce n’était de se laisser faire, car elle n’était définitivement pas en état de rentrer chez elle seule. Il était hors de question que ce type à qui elle s’était littéralement frotté quelques minutes plus tôt ne profite de la situation. Pour la plupart des gens, je n’étais pas non plus un exemple de confiance, mais pour elle, je savais que je pouvais l’être, et je savais qu’elle avait toujours eu confiance en moi. Et s’il y avait bien une chose qui n’avait pas changé dans notre relation (qui n’en était plus une maintenant), c’était l’importance que nous nous portions mutuellement. Ignorant ses innombrables refus qui avaient été si nombreux que j’aurais pu en être vexé, j’étais finalement parvenu à l’amener jusqu’à ma voiture. Et à cet instant précis, j’avais entendu ses paroles. Eliam, j’ai… Je refuse… Je refuse de me marier. J’avais préféré faire la sourde oreille, refusant de parler à nouveau de ce qui nous avait perdus. Une fois que la jeune femme fut confortablement installée et que je l’eus rejoint à l’intérieur de la voiture, je me contentai d’ôter ma veste avant de recouvrir Eleanor de celle-ci. Etonnement, ce fut un geste naturel, à peine incité par le petit « j’ai froid » qu’elle avait prononcé. Il s’agissait simplement d’une habitude que je n’avais pas su perdre.
Le trajet se passa dans un silence complet. Nous étions probablement trop occupés à réfléchir chacun de notre côté, si tant était qu’Eleanor était encore en état de le faire. Toujours accompagné de ce lourd silence, je garai la voiture avant d’en sortir et d’ouvrir la portière à la blondinette. Elle semblait assoupie, à moitié dans les vapes. D’un geste doux, je secouai légèrement son épaule afin de lui signifier que nous étions enfin arrivés à destination. Je lui laissai quelques secondes pour émerger tandis qu’un léger sourire en coin étirait mes lèvres. Bien que je veuilles les effacer de ma mémoire, certains souvenirs se manifestaient sans vraiment demander d’autorisation, mais cette fois, peu m’importait. On y est, commençai-je alors que je vis son regard se poser sur moi. Tu te sens capable de faire encore quelques efforts ? On a quelques étages à monter. Evidemment, cet immeuble pourri était bien trop précaire pour posséder un ascenseur, et bien que ça ne me dérange pas habituellement, cela devenait gênant dans ce genre de situation. J’espérais toutefois qu’Eleanor ait assez de force pour aller jusque chez moi. Je suis là, terminai-je enfin. Comme si ça allait la rassurer. Je n’étais plus réellement là depuis trop longtemps maintenant. Peut-être bien qu’elle n’avait plus envie que je sois là, de quelque manière que ce soit.
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Invité
Anonymous

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MessageSujet: Re: scars have the strange power to remind us that our past is real.   scars have the strange power to remind us that our past is real. Icon_minitimeLun 3 Mar - 22:01

Scars have the strange power to remind us that our past is real
En temps normal je n’aurai jamais accepté l’aide d’Eliam et lui ne m’aurait jamais apporté son aide. Nous avions pris l’habitude d’éviter de nous croiser, surement parce que c’était toujours aussi difficile de se voir sans penser aux raisons de notre séparation. Mais je devais vraiment être au plus mal pour finir par me laisser faire ou, de son côté, mettre de côté sa rancœur est m’offrir son aide. Il aurait pu me laisser dans les bras de ce parfait inconnu et je m’en serai surement voulu le lendemain, mais non, il avait décidé de mettre de côté ce que nous avions mis des moins à bâtir, ce mur qui nous empêcher de souffrir à nouveau, pour s’occuper de moi, comme s’il avait encore le devoir de le faire. Seulement, il faut dire qu’il était l’une des seules personnes à vraiment me connaitre et à savoir ce que je vivais, il savait donc que si je continuais à dépasser un peu trop les limites que je mettais fixée et à noircir le portrait de ce personnage que je mettais créée, j’allais m’en vouloir. J’avais donc encore besoin de lui et de sa présence. Je m’en voulais de lui faire endurer ça, mais il était tout de même rassurant de savoir qu’il était toujours là pour moi, quoi qu’il soit arrivé, quoi qu’il puisse arriver. J’aurai préféré que ça s’arrête là, malheureusement l’alcool délie les langues et je ne pouvais empêcher ma bouche de dire ce que je pensais. Toutes ses pensées, que je mettais promis de ne jamais lui dire, sortaient les unes après les autres et je savais que demain allait être très difficile et que j’allais en vouloir, mais ça n’embêtait pas ma conscience pour le moment. Je lui avais donc avoué en moins de quelques minutes que je m’en voulais, qu’il me manquait, que je n’avais cessé de l’aimer et, avant de commencer petit à petit à perdre connaissance, que j’avais décidé de ne pas me marier. Le silence qui s’installa me fit penser qu’il m’en voulait peut être en plus maintenant. J’aurai pu prendre cette décision plus tôt, nous serions peut être toujours ensemble, heureux, et je suis certaine que si mes parents m’avaient mis à la rue il m’aurait hébergé… Mais je n’étais malheureusement pas assez courageuse et j’avais mis notre couple en péril.
Toutes ces pensées commençaient à me donner le tournis et le vertige, mais la veste que déposa Eliam sur mes épaules finit par me rassurer et l’odeur qu’elle propageait me rappeler tellement de bons souvenirs. Il faut dire que sur le moment, j’eus du mal à faire la distinction entre la réalité et ces parties de mon passé qui me rendaient toujours autant heureuse rien qu’en me les remémorant.

On y est je sentis une main sur mon épaule qui me la secouait légèrement et je finis par ouvrir les yeux, d’abord éblouie par la lumière intense. Eliam m’avait fais une surprise, il était passé me chercher à la main, sous le regard noir de mon père, et j’avais fini par m’endormir « On est arrivé bébé, tu t’es endormi si rapidement, je savais pas que j’étais aussi ennuyeux » Je le gratifiais d’un sourire et attrapait la main qu’il me tendait avant de tomber dans ses bras « Ta voix est une mélodie pour mes oreilles, ce n’est pas ma faute. » Rigolai-je avant de déposer mes lèvres sur les siennes.

Tu te sens capable de faire encore quelques efforts ? On a quelques étages à monter. je finis par réellement ouvrir les yeux, sentant encore ses lèvres sur les miennes, ce souvenir étant toujours tellement intense dans ma tête. Je refoulais les larmes qui commençaient à arriver, je les sentais, et finis par poser un regard sur lui, secouant positivement la tête.  Je m’accrochais à son bras, tentant de sortir du véhicule, sans trop tituber, ce qui était plus facile à dire qu’à faire, et mon attention se tourna vers l’immeuble où vivait Eliam. Une bouffée de joie se propagea en moi et je ne pus cacher un sourire. J’avais tellement de bons moments ici aussi. Je suis là finit-il par dire alors qu’on avançait, petits pas par petits pas, je déposais ma tête sur son épaule, déjà épuisée des quatre pas que je venais de faire, ce qui m’énervait au plus au point. « Je sais » finis-je par dire, sans savoir si j’étais capable de continuer à parler ou pas. Mais je me devais de rajouter quelques choses, je ne pouvais pas rester sur une réponse aussi basique et simpliste. « Merci pour tout Eliam. Merci de rester toi. » J’aurai voulu le remercier d’être resté celui à qui j’avais offert mon cœur, celui que j’avais aimé et que j’aimerai surement toute ma vie, mais je n’avais aucun droit de lui infliger ça aussi à nouveau. Je ne pouvais pas me le permettre, pas avec tout ce qu’il faisait déjà pour moi.
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Eliam M. Hodson
Eliam M. Hodson
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Pseudo : anaëlle.
Souriez, dites cheese : scars have the strange power to remind us that our past is real. 18683920145
Âge : moyen. ouais, je viens du moyen-âge moi. même que je mène une double vie de moine chauve qui travaille pour l’industrie du chaussée aux moines becoz j'adore le fromage.
Famille : alannah, mon petit bb de soeur.
Statut : de la liberté.
Bff : dony, la plus jolie (c'est bien parce que je suis gentil becoz en vrai elle est grosse, grasse, moche et chiante mais bon, je l'aime).
Jukebox : 5 seconds of summer, wrapped around your finger (la plus belle chanson du monde okok) + pixie lott, nasty.
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MessageSujet: Re: scars have the strange power to remind us that our past is real.   scars have the strange power to remind us that our past is real. Icon_minitimeSam 8 Mar - 23:30

scars have the strange power to remind us that our past is real + eleanor et eliam.
Nous avions beau avoir fait des erreurs, avoir tout un tas de regrets et de remords, nous étions assez matures pour surmonter une situation importante, malgré les risques que cela pouvait engendrer. Je n’étais pourtant pas connu pour être la personne la plus responsable de la terre – à vrai dire, c’était même plutôt le contraire – mais il arrivait parfois que même le naturel n’était pas assez fort pour prendre le dessus. Ce soir, tout avait été question d’impulsivité. Comme quoi, les défauts pouvaient devenir des qualités et inversement. C’était clairement ce qui s’était produit cette fois-ci. Pour autant, l’impulsivité d’Eleanor avait toujours été bien cachée, et je mentirais donc en disant que je n’avais pas été surpris par ses propos. Elle qui était plutôt du genre à tout garder au fond d’elle, elle avait finalement réussi à extérioriser quelques-uns de ses sentiments sous l’effet de l’alcool. Etait-ce bien ou mal, je n’en savais trop rien. Pour être honnête, si j’avais eu le choix, j’aurais préféré que l’on ne reparle plus de tout ça. Cette histoire me touchait de bien trop près, et j’étais incapable de garder mon sang-froid dans ces conditions. Or, je ne souhaitais pas m’énerver face à Eleanor qui n’était de toute façon pas en état de me tenir tête, alors c’était bien mieux ainsi. Aussi, au lieu de lui répondre, je me contentais simplement des gestes qui en disaient parfois beaucoup plus. J’ignorais toutefois si elle avait pu noter tout ça. Ses yeux étaient encore à moitié clos, et elle ne se rendait probablement pas vraiment compte de ce qui se passait autour, la preuve en était qu’elle était à peine capable de me répondre. Je sais. Merci pour tout Eliam. Merci de rester toi. Ses mots étaient faibles, presque inaudibles. Je les avais parfaitement entendus pourtant. Tandis que je faisais mine de rester fort afin de la soutenir jusqu’à chez moi, je déglutis difficilement en imaginant ce qu’elle avait bien voulu dire à travers cette phrase. Moi qui avais pourtant cru avoir complètement changé par sa faute depuis notre rupture, Eleanor devenait celle qui me remerciait d’être resté le même. Un comble qui me mit visiblement mal à l’aise, notamment à cause des souvenirs qu’il ramenait à moi. J’avais comme la désagréable impression que toute cette rancœur que j’avais accumulée depuis tout ce temps s’était évaporée à l’instant même où j’avais de nouveau approché a blondinette. Malgré la façon pitoyable dont j’avais souffert, j’étais bien incapable de lui en vouloir. Je me sentais con. Con de ne pas m’être battu pour elle. Con de ne pas être assez courageux pour m’en prendre à moi-même. Con d’être trop faible dans cette putain de situation. C’est faux El’. Tu m’as changé. Tu m’as changé deux fois, avouai-je à mi- mots. Je n’étais pas du genre à me confier aisément, et je me sentais d’autant plus ridicule de le faire. Cependant, je ressentais le besoin de vider mon sac, peut-être parce que j’espérais que demain, elle aurait tout oublié. Je marquai une courte pause afin d’ouvrir la porte de mon appartement, n’oubliant pas pour autant de soutenir la belle qui peinait toujours autant à tenir sur ses deux jambes. Avec autant de douceur que je le pouvais, j’aidai la demoiselle à s’installer sur le canapé, calant les seuls coussins que j’avais derrière son dos afin que ce soit le plus confortable possible pour elle. Dans le plus grand silence, je me rendis ensuite dans a petite pièce qui me servait de cuisine, cuisine d’où je poursuivis enfin mes propos, me sentant davantage confiant alors que je n’avais pas besoin d’affronter son regard. La première fois, tu as réussi à me changer quand on a commencé à sortir ensemble. Avant toi, je n’étais qu’un petit con qui se fichait de tout et de tout le monde. Et puis t’es arrivée, tu étais la source positive dont j’avais besoin. J’attendis une quelconque réponse de la part d’Eleanor, mais elle ne vint pas. Sans piper mot, je remplis alors le verre que je venais de sortir avec de l’eau bien fraîche. Et puis j’sais même pas comment, tout a dégringolé. Et c’est là que tu m’as à nouveau changé. J’suis revenu ce petit con El’. Alors crois-moi, je mérite pas que tu me remercie pour quoi que ce soit. T’es probablement la seule personne pour qui je ferai encore tout ça. Après avoir pris une grande inspiration, je rejoignis Eleanor sur le canapé et lui tendis le verre en question. Bois ça, ça va te faire du bien. Après quoi, je m’assis sur le coin de la table basse d’où je surveillais la blondinette. J’ai entendu ce que tu m’as dit tout à l’heure… à propos du mariage, eus-je enfin le courage de lâcher après avoir longuement hésité. Te prends pas la tête, ok ? Une partie de toi le voulait probabement, sinon tu n’aurais pas accepté le petit manège de ton père. Mais ne te sens pas coupable de tout ça. Faut pas. Quand ma mère était encore là, elle avait l’habitude de me dire que rien n’arrivait par hasard, qu’au contraire, tout arrivait pour une raison précise. Alors peut-être qu’on ne devait pas rester ensemble. Peut-être bien que c’est le destin. Je lâchai un soupir avant de conclure mes propos. ça me fait putain de mal d’admettre ça tu sais. Mais ça m’a fait aussi mal d’admettre à quel point j’ai pu souffrir à cause de ça. A cause de toi. Je ne souhaitais aucunement rejeter la faute sur elle, bien au contraire. Je cherchais simplement à me libérer de certaines choses qui avaient besoin de sortir pour que je sois enfin capable de passer au-dessus de tout ça. Mais j’suis pas encore redevenu assez con pour laisser quelqu’un qui compte autant pour moi dans la merde, terminai-je en laissant apparaître un léger sourire en coin comme pour détendre l’atmosphère. Alors maintenant, va te coucher, il est assez tard comme ça. J’te prête mon lit, je vais dormir ici.
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MessageSujet: Re: scars have the strange power to remind us that our past is real.   scars have the strange power to remind us that our past is real. Icon_minitime

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