shorty get down  ▬ DOLCE J'avais passé la majorité de ma nuit sur mon bureau avec ma petite lampe qui n'éclaire que dalle a révisé certaines matières, les épreuves arrivaient à grand pas et je n'avais eu beaucoup d'envie pour me plonger dans les cours. J'avais passé beaucoup de temps avec mes amis, et surtout j'avais passé un maximum de temps à l'extérieur de ma chambre universitaire, je n'y passais que pour dormir et me doucher le matin. Vous êtes sûrement tous en train de vous demander pourquoi, et je vais vous répondre, ma roomate n'est pas des plus commodes. Premièrement elle est trop jeune pour être dans le monde universitaire, selon moi, certes elle a le droit d'avoir des capacités supérieur intellectuellement, mais elle est trop jeune (mais paie mes argument, et alors, m'en fiche ) et deuxièmement elle a eu une espèce de relation avec mon frère que je n'ai jamais comprise et lorsqu'il s'agit de mon frère, je peux vite devenir protectrice, même si ce n'est pas une gamine de 17 ans qui va le trainer dans le côté obscure de la force, je prends un malin plaisir à me méfier. Cela s'est toujours passé comme ça, mon frère a toujours été très protecteur envers moi suite au évènement de notre passé, et vice versa. Bref, la n'est pas la question, la question (qui n'est pas vraiment une question en fait, puisse que c'est une affirmation) c'est que j'ai passé la plus part de ma nuit à réviser et à ne pas faire de bruit pour ne pas réveiller ma colocataire, qui vu son âge a besoin de ses huit heures de sommeil et qui a décidé de se réveiller encore plus tôt que d'habitude. Il devait être quoi même pas 6h30 et pour une fois je n'avais pas cours de la matinée, dieu protège les matinées pédagogiques, juste pour ma classe en tout cas. Enfin bref, lorsque son alarme fût déclenchée, je me retournai vers mon réveil cela faisait à peine une heure que j'étais couchée (oui, je suis une fille de nuit, je préfère vivre la nuit, je me concentre mieux sur les cours et tout ça, et puis je le répète c'était MA MATINEE PEDAGOGIQUE pour une fois) « Oh putain fais chier ! » Marmonnais-je dans mon oreiller tentant de me rendormir aussi facilement que j'avais été réveillé, mais apparemment, c'était impossible. Son réveil continua de sonner et encore sonner pendant ce qui me semblait être une éternité, et je ne cessais de me plaindre et de ronchonner dans mon oreiller afin de ne pas choqué la sensibilité des plus jeune j'ai décidée de taire mes propos. Lorsqu'elle se décida enfin à se lever et à éteindre ce fichu téléphone, il était impossible pour moi de me rendormir, génial mon corps à cru que j'avais fait une sieste réparatrice, mais je veux dormir, et je me tourne dans tous les sens. Au bout de quoi, dix minutes, j'abandonne avant de prendre mon PC sur mon lit et l'allumer, je dois avoir une tête de déterré, en même temps, je ne suis pas maquiller et je me réveille après une heure de sommeil à peine (je me répète ?! M'en fiche) Dolce, sort enfin d la salle de bain, dire enfin est un grand mot, elle n'y a pas passé plus de dix minutes, et lorsqu'elle sort, j'ai envie de la poignardée avec des couteaux et toutes sorte d'objets capable de faire souffrir. Tout ce qu'elle trouve à me dire c'est « J'ai sport... » Certes cela explique pourquoi elle n’est pas maquillé mais moi je m'en fiche qu'elle ait sport. « La prochaine fois, tu peux éviter de faire sonner ton alarme quinze minutes avant de te lever, c'est désagréable ! » Nous n'avions jamais les mêmes horaires et généralement je me levais avant elle ou elle ne faisait jamais sonner son réveil plus d'une minute. Je m'affale sur mon lit en grognant.