"What's wrong with you ?! Seriously !" - Maks / Heaven

Marks et Heaven.

Levée aux aurores, à peine préparée que me voilà déjà sur le champ de bataille: Le parc de Hampstead.
Oui c'est ici que je vais organiser ma fête de ce soir. Oh ça n'a pas été facile de réserver le parc entier, du coup je me suis arrangé pour faire ma fête un jour où il n'y aurais personne ici: un mardi soir ! Oui ça parait dingue une fête le mardi soir, mais je n'avais pas le choix ! Et puis cette soirée est pour une futur mariée qui ne souhaite pas d'enterrement de vie de jeune fille comme on voit à la télé. Mes directives: pas de strip-teasers, pas d'hommes, pas d'alcool fort, pas de drogues, un orchestre d'harmonie et un DJ sérieux, des couleurs pastels, des nappes en soie et uniquement des fleurs naturelles ! L'éclate totale !
Non en réalité je haïssais ce genre de fêtes, franchement qui voudrais quelque chose d'aussi ennuyeux avant son mariage ?! Mais si cette fête tournais mal, se sera toute ma réputation qui en pâtirais... Je ne peut pas me le permettre. Je débute, je ne peut pas faire uniquement les fêtes qui me ressemblent. Alors me voilà, en train de diriger les employés du soir pour monter l'immense tente que j'avais louée. Attention pas n'importe qu'elle tente ! Oulà non: celle-ci avait des détails inoubliables, parfaitement brodés, et très fragile évidemment. C'est donc le coeur serré et avec beaucoup de craintes que j'observais ces hommes la mettre en place.

- Non non non stop ! mais c'est pas croyable ça ! Faites un peu attention vous allez la déchirer ! Vous ne voyez pas qu'elle est coincée là ?!

Je n'en revenais pas, il n'était pas encore 10h du matin et je me sentais déjà mal...

Petit à petit la place prenais forme. Les fleurs de Lys et les roses étaient parfaites et cueillies du matin, les nappes n'avaient aucun plis et étaient plus douce que n'importe quelle autre nappe, les chaises étaient recouvertes du même tissu crème avec un noeud rose perlé dessus. Les grande bandes de tissus que j'avais commandée pour accrocher au plafond venait d'arriver, il restait à les installer et à briefer tout le monde pour ce soir.

Les demoiselles arrivaient à 18h ce soir, il fallait que tout soit parfait, que la fontaine à chocolat fonctionne, que la pyramide de verres ne se soit pas renversée, et qu'aucun débordement ne soit constaté au cours de la soirée.... J'étais morte de trouille !

Bref, l'heure fatidique arrive et apparemment j'ai fait bonne impression. La futur mariée m'a félicitée en personne, et a ajoutée que les bandes de tissus chaleureux au plafond étaient les bienvenus ! Ouf... un peu de soulagement.
Tout se déroulait plutôt bien maintenant, la soirée était lancée, l'orchestre était magnifique et tout le monde avait trouvé sa place donc il ne me restait qu'à superviser le service maintenant.

Ce matin là, Maksimilian ne se réveilla pas seul dans son grand lit double, la gueule de bois habitait sa tête et faisait en sorte que le russe prenne sa tête pour une balle rebondissante. Il avait l'impression qu'un nain martelait son crâne de l'intérieur avec une hache bien aiguisée, essayant de se frayer un chemin dans la paroi osseuse de sa tête. Ses tempes semblaient vouloir exploser, et la souffrance était telle qu'il devait se tenir la tête en se levant afin de ne pas s'écrouler sur le sol. Une fois arrivé dans la salle de bain, le garçon se passa de l'eau fraîche sur le visage afin de pouvoir retrouver un minimum ses esprits. Qu'avait-il fait hier soir ?
Il regarda son reflet dans le miroir longuement, une légère égratignure longeait sa joue et s'arrêtait au creux de ses lèvres du côté droit. Sur le porte serviette de la salle de bain se trouvait un soutien gorge de taille moyenne, ressemblant étrangement à un sous vêtement digne des plus grandes boites de striptease.
Lorsqu'il retourna dans sa chambre il s'aperçut alors qu'une jeune femme était allongée dans le lit, encore endormie. Il laissa échapper un petit rire, puis l'observa longuement, alors qu'il s'approchait d'elle lentement. Cette fille était grande, blonde, des mensurations plus grandes qu'il ne l'avait jamais imaginé, des yeux de biche qui semblaient être d'une beauté éblouissante, et un piercing au nombril ayant pour bijou une feuille de canabis. Rien que pour cela, le jeune russe savait pertinemment que c'était pour ce petit strass qu'elle avait réussi à le séduire. Il regarda vite fait la photo qui se trouvait sur sa commode, c'était habituel chez Maksimilian, tous les matins, il regardait la photographie afin d'avoir une pensée pour ses amis. Il descendit en caleçon dans le salon kitchenette, et vit alors que la jeune femme et lui n'étaient pas les seuls dans le loft, Dolce était là, entrain de regarder la télévision un bol de cornflakes à la main. Maksimilian se souvint alors que la veille, il était allé la chercher chez elle afin de l'emmener ici pour qu'elle puisse oublier un peu l'ambiance de sa famille qui était on dira assez inhabituelle. Cependant, bien plus tard dans la soirée, sur les coups de vingt deux heures, un homme l'avait appelé afin qu'il se rende dans le quartier de Soho, doté de quelques pochons de pilules, de poudre, ainsi que quelques grammes d'herbes. Le garçon n'avait pas voulu emmener la jeune fille, car bien évidemment, il n'avait pas réellement envie de l'initier à ses pratique, ni qu'elle soit impliquée dans ses affaires de stupéfiants. C'est donc en la laissant une heure ou deux qu'il partit travailler et en toute franchise, Maksimilian se laissa séduire par l'une de ses cliente qu'il ramena chez lui afin de faire quelques galipettes.

- Dolce ! Ca va ?

Elle répondit par un sourire, puis regarda l'étage tout en faisant bien comprendre au jeune homme qu'ils avaient été bruyants. Maksimilian fit un sourire, puis regarda longuement son téléphone. Il avait trois messages, il s'assit alors à côté de Dolce puis baissa le son de la télévision au maximum afin d'écouter les messages en haut parleur. Le premier était au sujet de la reprise de ses études, la deuxième était de sa banque qui lui demandait gentiment de bien vouloir leur redonner son activité professionnelle car ils n'avaient aucune information sur sa rentrée d'argent, et le troisième, pour quelques pochons de pilules et de poudres à une soirée de cocktail pour jeune future mariée.

- Dolce, les affaires marchent bien on dirait ! Je te laisse le plaisir de virer la nana qu'il y a dans mon lit.

Il aimait le côté sadique de la jeune fille, c'est ainsi qu'il alla se laver tranquillement, pensant ensuite aller chercher de la nourriture chinoise pour le repas de midi, et ensuite, pourquoi pas proposer à Dolce d'aller se faire un petit spleaf sur sa terrasse.

[...]

Il était enfin l'heure pour le gentleman d'aller travailler, vingt trois heures avaient sonné, le jeune homme regarda Dolce qui était encore chez lui. Le jeune homme ouvrit alors une petite trappe cachée sous le tapis du salon, puis récupéra alors quelques pochons de tout et n'importe quoi avant de les cacher dans la semelle de sa chaussure. Il regarda Dolce, l'invitant à rester encore cette nuit si elle le voulait, cependant, il risquait de rentrer très tard, car ce soir, c'était une soirée, et en soirée, il y avait plusieurs acheteurs potentiels.
Lorsqu'il arriva sur place, il vit alors quelque chose d'étrange, cette fête de mariage était pire qu'un cocktail de future jeune mariée, c'était une fête de vieillards, du genre, gelées et crèmes glacées devant une table de Bingo à siroter tranquillement une tasse de thé. Le jeune homme entra alors dans le parc sans s'attirer le moindre regard. C'est alors qu'il aperçut la jeune fille aux cheveux bruns qui regardait, inquiète toutes les personnes de la soirée, elle paraissait stressée, prête à mourir sur place si quelque chose n'allait pas. Elle, elle avait l'air d'une calculatrice, malade de l'autorité et perfectionniste. Le genre de fille qu'habituellement Maksimilian n'aimait pas du tout, et pourtant, cette fille l'amusait beaucoup, peut être parce que quelque part, elle lui rappelait étrangement son ami Egor.

- Bonsoir jeune homme ! Aurais-tu ma commande ?
- Evidemment !!

Le jeune homme sortit alors le bien qu'avait demandé la jeune femme, alors que celle-ci sortait quatre vingt dix livres de son décolleté. Le jeune homme lui baisa la main alors qu'il prenait l'argent, et léguant sa drogue.
Il fit cela un petit moment de la soirée, alors qu'il commençait à se faire repéré par la jeune brunette malade de l'autorité. Son regard s'était posé sur elle plusieurs fois, et celle-ci, les bras croisés, l'observait d'un œil averti.

Un trouble fête

Tout allait bien.
Non tout n’allait pas bien, enfin toute la soirée si, mais moi absolument pas !
J’étais sur le point de m’évanouir à chaque fois qu’une nappe était de travers, à chaque serveur qui trébuche, à chaque banderole qui se décolle. J’avais réellement besoin d’un verre d’eau fraiche et d’une chaise ! Mais je n’avais pas le temps pour ça, il fallait que je supervise tout ici, et quelque chose commençait à clocher… Mon instinct me tenait en garde.
Je colla donc mon calepin avec le planning de la soirée contre moi et commença à faire le tour du parc. Je vis plusieurs employés faire des aller et retour sans rien dans les mains… Je ne les payaient pas pour se balader dans le parc, et j’avais été clair là dessus, je sais imposer mes choix quand il le faut, et je l’avais fais ce soir. Alors là c’était louche, très louche ! Mais tout s’éclaircit quand je le vis.
Il avait toute l’allure qu’il fallait pour m’énerver. Je ne juge pas au premier abord d’ordinaire, mais là rien n’était plus évident ! Ce blondinet aux allures nonchalantes, aux cheveux ébouriffés et au sourire en coin n’était vraiment pas là pour participer à la fête. Je le vis avec des sachets transparents. C’était donc ça. Il faisait surement passer de la drogue aux serveurs, ou aux plus jeunes amies de la mariée.

Il fallait que je le dégage d’ici, il était capable de ruiner ma soirée et ma réputation par la même occasion ! Je l’observai plusieurs fois pour être certaine de ses manigances, et c’est d’un pas décidé que je me dirigeai vers lui. J’avais encore mon calepin et mon stylo dans une main, ainsi que mon oreillette mais peu importe.

J’étais à quelques mètres de lui maintenant, et décida de ne pas crier, je ne voulais absolument pas alerter la mariée !

- Toi là, peu importe ce que tu manigances, je veux que tu partes d’ici. Tout de suite. Tu déranges mes employés et je ne tolère pas ça ! Alors tu prends tes sachets là et tu déguerpis !

J’étais ferme mais pas trop sévère, je voulais qu’il parte, pas le frapper non plus. Pas encore…

Ca y était, la femme au visage de fer arrivait, elle avait l'air d'être encore plus en colère qu'une lionne fonçant sur du gibier. Maksimilian arqua un sourcil alors qu'un sourire narquois se dessinait peu à peu au coin de sa bouche. C'est alors qu'un espèce de murmure agressif sortit de la bouche de la jeune femme. Il dérangeait ? Lui ? Il avait plutôt l'impression d'être au contraire celui qui allait permettre d'animer un peu la soirée. Après tout, il n'était pas venu de son plein gré, on l'avait appelé ce n'était pas pareil.

- Eh jeune fille... SI je suis ici ce n'est pas par ma propre volonté, on m'a appelé. Et je ne dérange personne bien au contraire, sinon, pourquoi m'aurait-on appelé ? SI je m'en vais certaines jeunes femmes vont se sentir troublées et ne seront pas satisfaites de la soirée, cela se verra si elles s'ennuient à ta soirée, et la mariée ne sera donc pas satisfaite de ton travail...

Le jeune homme croisa les bras tout en s'approchant de la jeune fille un petit peu plus, il était face à elle, à quelques centimètres de son visage, la narguant de son sourire. Il observa ensuite la piste de danse, où les clientes du russe se déhanchaient créant ainsi une atmosphère moins triste. Maksimilian porta ensuite son regard vers la mariée, elle semblait heureuse, et applaudissait ses invitées. Puis un autre regard vers celles qui n'avaient pas encore acheté le produit miracle à transformer l'ennui en amusement, assises sur leur chaise les bras ballant, des bâillements peu discrets, des soupirs répétitifs.
Maksimilian se pinça les lèvres tout en se tournant de nouveau vers la jeune femme.

- J'admet tu as fait un joli travail vraiment, c'est parfait, mais malgré le fait que ce soit les choix de la mariée, si les gens s'ennuient et qu'ils partent vite, ta cliente sera déçue et même si le thème de la soirée est son choix, elle pensera que ce flop était ta faute, et du coup ce sera toi qui te fera blâmée. Et tu as l'air tellement fière, tellement too much, que je pense que ta réputation passe avant toute chose... Ai-je tort ? Arrêtes moi si je me trompe hein ! Malheureusement, je ne pense pas avoir tort du tout, je pense même touché le mille, le point sensible, ton plus gros défaut et aussi ta plus grande force, tu es une perfectionniste à la limite du psychorigide.
Bref je m'écarte du sujet, si la mariée est déçue, tu perds ta réputation... Alors, laisse moi faire le pourquoi on m'a appelé, sinon, plus de réputation....

Un trouble fête

Il prétend rendre service en plus ? Mais bien sur je devrais me mettre à genoux et le remercier comme il se doit peut être ! Non mais pour qui il se prend celui-là ?!
Et puis appelé ? Il a été appelé ?! Décidément cette mariée à des fréquentations géniales... Mais le soucis n'est pas là, si la mariée le découvre et pire si elle découvre que je le sais, elle va me tuer ! Jamais je ne baserais ma réputation et ma réussite sur l'utilisation de drogue se serait comme le dopage dans le sport de haut niveau: complètement illégal.
Et puis qui était c e mec pour me parler comme ça franchement ?! Il se rapprocha un peu de moi et continua avec ce sourire en coin là, qui je dois l'admettre dans une autre situation pourrait être séduisant mais là j'avais juste envie de lui mettre ma main sur al figure !
Il était à quelques centimètres de moi et continua son monologue.
Evidemment que mon travail était parfait ! Comment ça les gens s'ennuient ? Je jeta un rapide coup d'oeil aux invités et certaines étaient assise sur leur chaises depuis longtemps effectivement, mais dans tout mariage il y a des gens passif ! La plupart s'amusaient quand même...
Mais attendez c'est qu'il m'insulte en plus ? je suis "too much" et QUOI ? "psychorigide" ?! Alors là s'en était trop !

- Moi Psychorigide ?! Non mais pour qui tu te prend toi ? J'aime que les choses soient bien faite et je me donne à fond dans ce que je fais, je ne choisi jamais la facilité, et je relève tout les défis, ça ne fait pas de moi quelqu'un de psychorigide mais quelqu'un de battant et d'entreprenant ! Tu crois que tu est là pour sauver mon enterrement de vie de jeun fille hein ?! Et bah je vais te dire mon garçon:

Je me rapprocha encore de lui de sorte que nos visages se touchaient presque. Je le regarda dans les yeux et lui dit très clairement:

- Je n'ai absolument pas besoin de toi pour réussir, je suis douée dans ce que je fais et c'est toi qui va partir, parce que je peut très bien appeler les flics pour qu'il te fasse disparaître de ma vue et ça sans que ça n'intervienne dans ma fête. De plus, se sera tellement discret que la Mariée ne s'en rendra même pas compte. Alors déguerpis et vite, parce que tes clientes là, tu les voient en dehors de mes soirées, pas pendant.

C'était clair, et irrévocable. Non mais psychorigide ! Et puis quoi encore... Je me décida un me reculer qu'après un petit moment de pause où la tension régnait. Je m'écarta de lui, croisa les bras sur ma poitrine et attendis sagement son départ que j'espérais rapide.

Il éclata de rire, la police ? Le temps que celle-ci arrive il serait déjà loin, question fuite, Maksimilian était très doué, étant donné que toute sa vie n'avait été que fuite. Il observa longuement la jeune femme. Ils étaient tellement près l'un de l'autre que d'un point de vue extérieur, on aurait put penser que les deux jeunes gens flirtaient, alors que la réalité était toute autre. Le jeune homme observa autour de lui, la mariée commençait à se demander pourquoi la jeune fille semblait si préoccupée. Maksimilian arqua un sourcil, puis attrapa le calepin et le stylo de la jeune femme afin de le laisser sur une table bien en évidence.

- Danse avec moi.

Sans qu'elle ne réponde, le jeune homme attrapa la jeune femme par la main, puis posa l'autre dans le bas de son dos. Il fit tournoyer la jeune femme lentement au rythme langoureux de la valse. Voyant qu'elle protestait par quelques gestes agressif que le garçon trouvait assez drôles, il la ramena vers lui afin qu'elle ne puisse plus se dégager de son étreinte.

- Tiens-toi sage d'accord ? Tes hurlements incessants ont alertés la mariée. en aucun cas je ne veux t'attirer des ennuis, mais... comment dire... mes clientes sont trop précieuses pour que je les laisse seules dans le monde. Non plus sérieusement, mon travail consiste à être là quand elles en ont besoin, or, là elles m'ont appelé, je ne pense pas partir. Et pour tout te dire... ton avis je m'en contre fou royalement, tu fais ton travail je fais le miens, tu ne veux pas me voir ? Alors ne me regarde pas. C'est tout ce que j'ai à dire là dessus. C'est dommage ma belle, parce que dans d'autres circonstances, je t'aurais apprécié.

Il continuait de danser tout en se dirigeant vers l'autre côté de la scène. Il regardait la jeune fille dans les yeux, un sourire narquois figé sur ses lèvres. Le garçon ne supportait pas cette jeune femme qu'il pensait trop coincée, trop parfaite. Et pourtant, quelque chose en elle l'amusait. Peut être car elle avait le "sang chaud" et qu'elle était facilement en colère. Ce qui avait le don d'amuser le russe. Après tout, chacun ses hobbies !

- Sur ce... je vais te laisser j'ai du travail. Bonne soirée ma belle.

Il lui offrit un baiser sur la joue, sachant pertinemment qu'elle ne le supporterait pas, elle penserait certainement qu'il n'avait aucun respect, qu'il n'était pas fréquentable, et qu'il était insupportable, et en effet, c'était l'image qu'il donnait, mais cela, ça l'amusait. Eclatant d'un rire moqueur, le jeune homme fit tourner une dernière fois la jeune fille avant de la lâcher. Celle-ci tournoya jusqu'à ce qu'un garçon du service ne la rattrape dans la position de base de la valse.
Maksimilian fit un sourire, mettant ses mains dans les poches, puis s'approcha des personnes à moitiés endormies sur leur chaise, attendant simplement que le temps passe.

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