L. Valeryan Keller feat : troian bellisario Pseudo : _shiine Souriez, dites cheese : Âge : vingt-quatre Statut : je t'en pose des questions ? Etudes : mode Jukebox : steal my girl Points chance : 45
| Sujet: (M) JULIAN MORRIS • i can hear the sirens burning. Mar 14 Oct - 14:45 | |
| NOM COMPLET DU PERSONNAGE featuring JULIAN MORRIS CARACTÈRE : Sociale, il connaît beaucoup de monde et se fait très facilement des amis. Il est sportif, dragueur, fêtard et célibataire, il aime profiter de sa jeunesse. LES TRUCS A SAVOIR : Il est en internat à l'hôpital de Londres, il fait pas mal d'intervention dans les lycée et les universités londonienne. Il connaît la ville comme sa poche ayant vécu à Londres depuis toujours. Il est d'une famille riche, je le vois bien avec des frères, mais être le plus jeune de la famille. Il a 26 ans et depuis l'âge de ses 11 ans il pratique la photographie comme passe-temps. AVATAR : Julian Morris. | |
Valeryan et X se sont rencontré alors que X était en vacances à Brighton avec sa famille, lui et sa famille se rendait tout les étés à Brighton, cet été là n'était pas différents. La seule petite différence c'est que cette année X avait remarqué Valeryan, elle, elle l'avait remarqué depuis déjà quelques années. Elle travaillait sur un stand de glace près de la plage, et tout les jours X venait lui acheté son parfum de glace préféré. Rien de bien excitant, ça a duré les deux mois d'été, mais tout a changer lors de la dernière soirée des vacances, il y avait une grande soirée sur la plage, X et ses frères y était déjà quand Valeryan était arrivé, après quelques verres, elle s'était attiré le regard de plusieurs garçons qui connaissait sa réputation et les dires sur sa famille. Alors que ses garçons commencait à la cherché un peu trop, X est arrivé pour la défendre la suite ce passe dans ma fiche, dont voici un extrait : - extrait:
flashback… Nous marchons un bon kilomètre sur la plage, lui d’un pas alerte à côté de moi. Tout ce temps, mon cœur cogne, une voix dans ma tête me crie de m’en aller, loin de lui, le plus loin possible, et vite, mais je ne peux pas revenir en arrière maintenant, pas avec lui si près de moi, son sweat sur mes épaules, encore chaud du contact de sa peau, avec son odeur. Une nuit. C’est la seule façon pour que ça marche. Une nuit, dans la peau de quelqu’un d’autre. Juste un jeu, je me dis. Ce n’est rien qu’un jeu. Il approche sa main et prend la mienne, comme ça. A son contact, une chaleur intense me traverse, une vraie fournaise. Troublée, je trébuche contre un galet, et manque de tomber sur le sable. « Je te tiens, » rigole t’il en me retenant in extremis. Sa main se referme autour de la mienne, si forte maintenant. Ses doigts se mêlent aux miens. « Merci, » je chuchote. C’est tout juste si j’entends le roulis des vagues, tant mon cœur bat fort, et je le regarde en coin, en me demandant s’il l’entend lui aussi. Il surprend mon regard, puis il me sourit. Avec une telle confiance, si radieux, que mon cœur de nouveau est pris de panique. Mais bon sang, que fais-tu Val ? une fois là-dedans, attention, il n’y a pas de retour en arrière possible. « Alors, Susie, si tu me parlais un peu de toi, qu’es-ce qui t’amène à Brighton ? » dit-il décontracté. « Je suis juste de passage. Je viens… En faite, je viens de la ville. Mes parents vivent là-bas. Je vais bientôt entrer dans une école de stylisme. » je réponds, en m’inventant un vie différente. « Ah oui Et que font tes parents ? » il demande, comme s’il n’avait jamais entendu toutes ses horreurs, sur la famille Keller. « Maman est styliste, elle aussi… Quant à mon père… C’est un type normal. Il travaille dans un bureau, mais il rentre tous les soirs dîner à la maison. » Et je mens, ignorant la bouffée soudaine de tristesse qui envahit mon cœur. « C’est super ! Mes parents sont normaux, eux aussi. Ils sont profs, on vit en banlieue, avec un chien et un mini van. » « Comment s’appelle ton chien ? » je demande. « Han Solo. » Je rigole « Tu es fan de Star Wars ? » « Ouais. » Il garde le silence, et pour la première fois, je réalise que je ne suis peut-être pas la seule à jouer. J’imaginais qu’il avait pitié de moi, et qu’il me donnait l’occasion de nier ma réputation ici, à Brighton, une façon de faire comme si j’étais quelqu’un d’autre, mais à voir cette mélancolie dans ses yeux, je comprends que je ne suis pas la seule à jouer. Lui aussi fuit quelque chose. « Mais assez parlé des autres, parle-moi de toi. Ton parfum de glace préféré ? » Je demande enjoué. « Tu le connais. J’en commande tout le temps. » il me jette un regard en biais et j’éclate de rire « Chocolat-caramel. » « Et toi, tu adore ces milk-shakes, menthe avec copeaux de chocolat. » Je sursaute « Comment tu sais ça ? » « Je vois tout » il répond avec un sourire espiègle. […] Je voudrais voir ses yeux, mais impossible. Soudain, je suis douloureusement consciente de l’espace entre nous, et de la plage obscure, déserte. Et de l’écho de sa respiration régulière, douce à côté de moi. Il m’a remarqué, il m’a regardé tout l’été. Je retiens mon souffle, entre soulagement et terreur de nous retrouver là, tout près de ces rochers que je connais bien, à l’autre bout de la baie. Et à ce moment-là, il m’a souri. Son sourire pourrait déclencher une guerre. Si vrai, si doux, avec juste ce qu’il faut de danger qui scintille gentiment dans ses yeux bleus. Personne ne m’a jamais souri comme ça. Regarde les choses en face, Val, je me dis en descendant sans grâce de mon rocher. A la seconde où il a balancé son poing dans la gueule de ce salaud, le sort était jeté. Voler à mon secours comme si j’étais une demoiselle en détresse et pas la bad girl de la ville… Oui, à ce moment-là, j’étais foutue. Et maintenant ? Il s’agit juste pour moi de faire comme si mon cœur n’était pas complètement à l’envers dans ma poitrine. Comme si son sourire n’allumait pas ce braisier fabuleux et rougeoyant et plein d’espoir. Je retiens mon souffle. Ses yeux ne lâchent pas les miens, si clairs. Je pourrais le jurer, là, il voit tout droit jusque dans mon âme. Il approche sa main de mon visage. J’en frissonne. Je ferme les yeux, juste pour bien me concentrer, pour le sentir si doux, si léger. Son pouce effleure le rebord de ma lèvre inférieure, envoie des étincelles dans mes veines. « Que veux-tu toi ? » Sa voix est un doux murmure, ses yeux me cherchent. Il se retient, m’attend, moi. « Qu’es-ce que tu veux ce soir ? » La question ne se pose même plus. Ce n’est qu’une certitude, aussi réelle et aussi vraie que le sol sous nos pieds. « Toi… Je te veux toi. » Il écarquille les yeux à mes paroles, mais je ne rajoute rien. Je soutiens son regard. J’approche finalement la main, et le touche caresse doucement la mèche de cheveux sur son front. Puis il se penche, plus près, jusqu’à ce que ses lèvre trouvent les miennes, pour le plus doux des baisers. Et je tombe, je tombe. fin du flashback…
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Bonjour, ou bonsoir petit Padawan qui s'égare par ici. Tout d'abord, merci de vous intéresser à ce scénario et de l'avoir lu. Alors parlons peu parlons bien, donc... Niveau ligne, le minimum imposé par le staff me va totalement. Si vous m'en faites plus, croyez-moi, je ne vais pas vous fouetter . Je me collerais à votre débit, si c'est bien écrit, je trouverais toujours de quoi vous écrire, bien sur un minimum de faute d'orthographe m'arrangerais, mais bon, je ne suis pas Le Petit Robert de Larousse, ou encore le Bescherelle, et moi-même je fais des fautes d'orthographes. Mais tant que vous m'évité les fautes du style "est" pour "et" ça me va et je t'aime déjà Ensuite ... pour l'activité, ce serait cool d'être présent quand même un peu ! vous avez certainement cours, et/ou une vie, je sais, moi aussi aha, mais si vous avez le temps de vous inscrire et de remplir une présentation, vous avez le temps de répondre, quand même (a) Si vous ne me répondez pas dans la fouler je vais pas être vexer, mais essayons de nous tenir a une réponse par semaine d'histoire d'avancer un peu quand même. Après y a quoi.. Euh l'avatar ! Il est négociable. Je trouve que Troian et Julian sont cute ensemble, mais si vous avez d'autres idées, envies et que Julian vous sort complètement par tout les trous possible, je suis ouverte à tout :) Idem pour le prénom, je ne lui en ai pas donner, je vous laisse donc libre cours à votre imagination... Aprèèèès le reste.. Bah, si vous n’êtes pas certain d'assurer le scénario, ne le prenez pas, s'il vous plait. Je veux vraiment que vous compreniez le scénario, que vous l'aimiez -> et que vous assuriez dedans, car il est très important pour moi, sinon je l'aurais pas fait, logique quoi ! Bon après je vois pas trop.. je crois que j'ai tout dis.. Ah si, si tu prends mon scénario, je te couvrirai de chocolat et de construirais un temple d'amour et on fera pleins de bébé. Mais si vous avez des doutes, n'hésitez pas, ma boite à MP est totalement ouverte !. |
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