feat : nina perfect agdal. Pseudo : anaëlle. Souriez, dites cheese : Âge : vingt ans et toutes mes dents resplendissantes de blancheur grâce au pouvoir incomparable de colgate et du fil dentaire. testé et approuvé par kellin jane holloway. Statut : officiellement, je suis en couple avec esteban, du moins, tout le monde le crois (on est des trop bons acteurs keskia, j'exige mon oscar moi, oh !) mais en vrai de vrai, je suis free, becoz j'ai tout compris. ou pas. parce qu'au final ça m'arrange pas vraiment. Etudes : théâtre. Jukebox : mcfly, that's the truth + paramore, ain't it fun + lady gaga, gypsy. Points chance : 11These little things : i don't really feel the same about us in my bones.
Sujet: bring the trouble + kesteban. Mer 20 Aoû - 18:28
+ bring the trouble (featuring kesteban, la cutance)
D’ordinaire, j’étais toujours reveillée avant que mon alarme ne sonne. Rares étaient les fois où j’étais surprise par mon réveil, et pourtant, ce matin fut l’un de ces rares jours. C’est donc avec une difficulté certaine que j’ouvris les paupières. A cette heure-ci, le jour n’était pas encore levé, et aucun rayon de lumière ne s’infiltrait encore à travers les volets entrouverts. Il n’y avait aucun bruit à la maison, et pour cause, mon père devait déjà être parti travailler. Après m’être longuement étirée – parce que c’est toujours mieux que de se recevoir un seau d’eau glacée sur la tronche – je m’étais levée assez brusquement pour envoyer mon chat valser à l’autre bout de la pièce. La boule de poile avait la fâcheuse tendance à sauter sur la poignée de la porte et à s’acharner dessus jusqu’à ce qu’elle s’ouvre, puis il venait s’installer confortablement sur mes pieds. Une belle vie de chat – si l’on omettait que je l’oubliais souvent et que ce n’était malheureusement pas la première fois que je l’éjectais du lit. Ça va, j’en faisais pas fait exprès, pas la peine d’appeler la SPA, elle est gâtée cette petite bête, faut pas croire. D’ailleurs, il ne s’était pas privé pour revenir sur le lit aussi sec. Faut dire que c’était toujours plus moelleux que son panier – enfin ça, j’imaginais puisque je n’avais jamais dormi dans son panier. Mais bon, inutile de le préciser. Inutile de préciser également que, j’ignorais comment, j’avais réussi à me mettre en retard. J’avais peut-être passé trop de temps sous la douche où plongée dans le livre que je lisais en ce moment… Je n’en avais aucune idée, mais le fait était que j’étais bel et bien en retard. C’est donc d’un pas pressé que je quittais la maison pour rejoindre l’arrêt de bus. Parfois, je rejoignais la fac en voiture, mais uniquement lorsque mon père était en congé puisque nous n’avions qu’une seule et unique voiture, faute de moyens. Nous étions loin d’être pauvres, mais n’étions pas riches non plus. Nous étions tout ce qu’il y avait de plus moyen, mais je devais avouer que j’économisais a grande majorité de mon argent pour pouvoir poursuivre mes études. Le reste, ce serait pour plus tard. Cela restait toutefois un certain désavantage puisque moi qui avait le don de louper le bus de peu, je n’avais évidemment pas fait exception à la règle cette fois-ci. C’est donc une bonne demi-heure après que le bus me déposa enfin devant l’université. Un coup d’œil à ma montre m’indiqua qu’il était approximativement 9h00 alors que mon cours commençait à 8h30. D’ailleurs, je ne savais même pas dans quelle salle je devais me rendre. Machinalement, je m’assis sur le bord de la fontaine à quelques pas de là afin de fouiller dans mon sac à la recherche de ce fichu emploi-du-temps. Dix secondes… vingt secondes… trente secondes… Et merde. J’avais du oublier ce fichu emploi du temps avec mon agenda dans ma chambre ou je ne savais où, mais en tout cas, il n’était pas dans mon sac. Je lâchai un lourd et expressif soupir tandis que je laissai tomber nonchalamment mon sac au sol. Et comme c’était bien ma veine, mon sac ne fut pas la seul à s’écraser à terre. Meeeeerde… lâchai-je avant de m’accroupir dans le but de ramasser mon portable ainsi que la batterie qui s’en était extirpée. Hey ! Cette voix, il semblait que je la connaissais. Un peu oui, mais pas assez pour affirmer à qui elle appartenait. Mon téléphone dans une main, sa batterie dans l’autre, les cheveux en bataille, je me redressai vers la personne qui venait tout juste de me saluer. On s'est pas parlé depuis. Enfin, je veux dire, je suis censé être ton petit ami alors je me disais que ça serait sympa si on allait boire un truc après les cours, pour apprendre à se connaître. Esteban. Je ne l’avais jamais vu plus longtemps que quelques minutes, et pourtant, j’avais l’impression que je le connaissais assez pour dire qu’il n’avait pas changé. A cela près peut-être qu’il semblait un brin plus timide, et pour être honnête, je trouvais ça adorable. Il avait toutefois assez d’assurance pour venir me voir, ce à quoi je ne m’attendais pas du tout d’ailleurs. Prise de cours, j’essayai tant bien que mal de remettre en place une mèche de cheveux rebelle qui chatouillait mon visage. Euh, je… Ce furent les seuls mots que je fus capable de bégayer dans un premier temps. J’aurais dû en profiter pour m’excuser de l’avoir embarqué dans ces conneries… Que devait-il penser de moi ? Et pourquoi même avait-il envie de faire ma connaissance ? J’aurais du lui dire de ne pas perdre son temps avec moi, mais je n’en avais pas réellement envie au fond. Et bien… j’ai cours à vrai dire, me contentai-je de répondre le plus bêtement du monde. Bon, concrètement, est-ce que j’avais envie de le laisser partir ou pas ? Moi-même je n’étais pas bien sûre de ce que je voulais. Je me trouvais simplement stupide à cause de toute cette histoire, et je ne souhaitais pas qu’il en pense autant. Enfin… j’avais… me rattrapai-je timidement en lui adressant une légère mou. Et pour être honnête, si j’étais toi, je ne chercherais même pas à faire connaissance avec moi… j’suis pas très intéressante et irrécupérable, tu vois… terminai-je en désignant mon portable d’un geste bref. Je ne pus m’empêcher toutefois de lâcher un léger rire. Désolée. Je ne savais même plus pourquoi je tentais de m’excuser finalement. Désolée de l’avoir pioché au hasard pour jouer mon petit-ami sans le lui avoir demandé ? Désolée de ne pas être le genre de fille qui intéresse les mecs ? Désolée d’être trop distante avec lui alors qu’il n’a rien demandé, pour la simple et bonne raison que j’ai honte de l’avoir embarqué là-dedans ? Désolée d’être désolée peut-être ? Sûrement un peu de tout ça. J'avais l'air complètement paumée, autant physiquement que mentalement, et il devait bien rire de moi intérieurement. Machinalement, je me mordis la lèvre inférieure tandis que j'imaginais que de toute façon, il ne voulait probablement plus aller boire ce fameux verre avec moi après ce sketch d’adolescente attardée. Bien joué. Vraiment génial.
Sujet: Re: bring the trouble + kesteban. Jeu 21 Aoû - 17:34
bring the trouble
Kesteban
Comme à leur humble habitude, Noah et Pacey se lançaient multiples insultes et en venaient aux mains. Comme à notre humble habitude, Kenaël et moi restions à observer la scène comique au plus haut point. Ils se bataillaient encore et encore comme deux gamins en pleine croissance hormonales et n'hésitaient pas à hausser le ton. Pacey, comme toujours, a osé une voix d'une galaxie inconnue et Noah lui, prenait un air de bad boy furieusement effrayant. Encore un déjeuner comme on les aime : dans la douceur, l'amour et la simplicité. « Dites, quand vous vous serez tués, je pourrais avoir ton ordi' Noah ? ». C'était l'occasion rêvé de demander tout ce qui vous passe par la tête : les deux zigotos n'entendront de toutes façons que la moitié. « Oui oui, si tu veux !!Et toi, TAGUEULE ! ». Kenaël mange comme un porc et Pacey ne voit rien. Ah qu'il est bon ce petit déjeuner ! Digne de quatre hommes de notre espèce... Finalement, quand l'heure fût tout juste bonne pour partir, Kenny avançait avec Noah, Pacey marchait l'air boudeur trois mètres devant et moi, comme toujours, je traînais 2 mètres derrière. Noah et Kenny racontaient sûrement des choses intéressantes mais, moi j'étais encore dans la lune. Quant à Princesse Pacey, on pouvait lire toute sa rancœur en plein visage ! Je ne donnerai pas 3 secondes pour qu'il voit un truc super intéressant du genre une affiche avec une meuf dessus pour qu'il retrouve le sourire et nous balance tout un tas de choses très intéressantes. Ou pas.Finalement, pour une raison que j'ignore, on est tous arrivés en cours en temps et en heure, du moins : dans la cour pavé. Chacun se sauvait à ses cours, Noah lui courrait derrière la jupe d'une nouvelle conquête et moi, je me retrouvais face à mon casier de toujours à penser à tout et rien à la fois. Ca sonnait. Les élèves se ruaient à l'intérieur et partaient dans tous les sens. Le coach m'a chargé d'aller prendre quelque chose dans sa voiture en me confiant les clés : son téléphone portable. Perso', si j'étais prof, je n'oserai pas faire ça. Enfin je veux dire que je n'aurais pas du tout confiance en mes élèves. Je regagnais donc le parking et perdais mon temps à chercher sa voiture, puis le fonctionnement de la porte de cette dernière et enfin, je cherchais tant bien que mal son portable. C'était un sacré bordel dans cette voiture ! Encore pire que mon dessous de lit tiens ! Je referme la porte en me battant le cœur vaillant avec sa jolie clé d'acier, je refais le tour du parking, je rebroussais chemin vers l'école quand une voix singulière m'a fait sortir de ma bulle. Un large sourire finement dessiné aux lèvres, j'échangeais quelques mots avec Kellin qui, je l'espérais allait enfin m'offrir un peu de son temps. Celle-ci n'avait pas l'air dans un état « normal ». Par réflexe naturel je me suis permis de lui prendre son portable des mains, aussi doucement que possible pour ne pas l'effrayer : il ne faudrait pas qu'elle me prenne pour un voleur. De cette manière, je rassemblais les pièces de son téléphone une à une aussi timidement que faire se peut avant de lui tendre avec un sourire disons moins... conséquent. « Si tu étais moi, tu chercherais à savoir qui tu es avant de dresser un portrait aussi négatif. D'ailleurs, tu n'es pas autant irrécupérable que moi : j'ai jeté mon dernier portable par la fenêtre de ma chambre. » Pauvre portables de nos jours, nous trouvons toujours des façons de vous traiter qui sont à l'opposé de vos mérites, vraiment, je vous plains. « Au fait, ma proposition n'en était pas une. En fait, je me disais que tu me devais bien ça. A moins que tu ne trouves une excellente raison de pas venir, et crois-moi avec Pacey on en a mangé des excuses bidons donc je détecterais les tiennes très vite, tu n'as pas vraiment le choix. » Faire du rentre-dedans ce n'est pas vraiment mon genre malgré ce qu'on pourrait croire mais, avec Kellin c'était assez spécial. Tout le monde pense qu'on est ensemble alors qu'on ne sait rien l'un de l'autre. Ce qui est gênant, c'est de savoir que son père peut débarquer d'un moment à l'autre et qu'il faut que je prépare un sketch pour lui. Père qui, selon moi, fait plutôt peur à vrai dire.
feat : nina perfect agdal. Pseudo : anaëlle. Souriez, dites cheese : Âge : vingt ans et toutes mes dents resplendissantes de blancheur grâce au pouvoir incomparable de colgate et du fil dentaire. testé et approuvé par kellin jane holloway. Statut : officiellement, je suis en couple avec esteban, du moins, tout le monde le crois (on est des trop bons acteurs keskia, j'exige mon oscar moi, oh !) mais en vrai de vrai, je suis free, becoz j'ai tout compris. ou pas. parce qu'au final ça m'arrange pas vraiment. Etudes : théâtre. Jukebox : mcfly, that's the truth + paramore, ain't it fun + lady gaga, gypsy. Points chance : 11These little things : i don't really feel the same about us in my bones.
Sujet: Re: bring the trouble + kesteban. Mer 10 Sep - 17:33
+ bring the trouble (featuring kesteban, la cutance)
Être en retard, courir pour finalement louper le bus quand même, ne pas savoir dans quelle sale on a cours, avoir oublié son emploi du temps, être responsable de la chute fatale de son téléphone portable… A ce stade, je crois que je n’exagérais rien en affirmant qu’une bien bonne journée de merde commençait. Aussi, pour être honnête, j’avais été plutôt surprise qu’Esteban vienne me voir ce matin, d’autant qu’il l’avait fait de lui-même. Qui sur cette fichue terre aurait souhaité faire la connaissance d’une pauvre fille qui choisit son petit ami au hasard dans la rue, hein ? D’un autre côté, est-ce que je m’attendais vraiment à ce qu’il accepte la situation sans jamais me demander d’explications quant à celle-ci ? Il était évident que non. Ceci étant, j’avais eu tellement de catastrophes en une si courte matinée que j’avais tout bonnement été prise de cours, ce qui expliquait ma réaction peut-être un peu trop brusque. Pourtant, le jeune homme ne semblait baisser les bras pour autant. « Si tu étais moi, tu chercherais à savoir qui tu es avant de dresser un portrait aussi négatif. D'ailleurs, tu n'es pas autant irrécupérable que moi : j'ai jeté mon dernier portable par la fenêtre de ma chambre. » Aussi bêtement que timidement, je récupérais mon téléphone qu'il venait tout juste de réparer, un sourire aux lèvres pour tout remerciement. Pourquoi était-il si gentil avec moi alors que tout ce que je faisais c'était lui apporter des problèmes sur un plateau d'argent avant de le fuir comme la peste ? En vérité, je ne le repoussais pas lui particulièrement, je repoussais plutôt le fait qu’il soit en quelque sorte forcé à être là, avec moi. Premièrement, je n’étais pas idiote au point de ne pas avoir remarqué que ma meilleure amie craquait complètement sur Esteban et que par conséquent, je ne voulais pas remuer le couteau dans la plaie en passant du temps avec lui. Deuxièmement, j’étais la seule responsable de cette connerie, et si maintenant j’étais dans la merde, c’était à moi de gérer la situation s’il s’avérait que le jeune homme ne souhaitait pas prendre part à ce petit jeu – si tant était que l’on puisse appeler ça un jeu. Troisièmement, je manque cruellement de confiance en moi. Quatrièmement… bon, il n’y a pas de quatrièmement, mais trois en un, c’était déjà pas mal pour ma pauvre personne. Bêtement, je fus donc incapable de répondre quoi que ce soit, et c’est probablement pour cette raison qu'Esteban reprit la parole. « Au fait, ma proposition n'en était pas une. En fait, je me disais que tu me devais bien ça. A moins que tu ne trouves une excellente raison de pas venir, et crois-moi avec Pacey on en a mangé des excuses bidons donc je détecterais les tiennes très vite, tu n'as pas vraiment le choix. » La question était : est-ce que j'avais réellement envie de le laisser faire demi-tour et me laisser là, debout, comme une conne, à penser que j’étais la pire des idiotes ? Ce mec était tout bonnement adorable, et moi, j’agissais comme une fille tout bonnement stupide qui n’en avais absolument rien à faire. Je pris quelques secondes pour fermer les yeux, prendre une légère inspiration et réfléchir le plus productivement possible. Lorsque je sentis assez de courage en moi pour remédier à la situation, je rouvris les yeux. Cette fois, j’étais bien décidée à ne pas le laisser filer. En tout cas, pas comme ça. « Attends, je... » Attendre… Mais attendre quoi ? Il était bel et bien là, devant moi, et je ne savais même pas ce que j’étais censée lui dire maintenant qu’il me fixait de ses yeux bleus, attendant une quelconque réaction de ma part. « Hm… en fait, je suis déjà complètement en retard pour mon prochain cours alors… » Je fis un pas en avant avant de poursuivre. « J’accepte d’aller boire un verre, mais uniquement si c’est moi qui paie. Je te dois bien ça, non ? » Dieu fasse qu’il ne me recale pas maintenant. Certes, je l’aurais bien mérité, mais j’avais des raisons de réagir ainsi. Et l’essentiel était que cette fois, j'avais décidé de ne pas fuir, parce qu’il avait agi envers moi comme personne d’autre ne l’aurait fait. « Deal ? » Un léger sourire se dessina sur mes lèvres avant que je ne pose de nouveau mon regard sur mon pauvre téléphone qui n'était pas si pauvre que ça finalement, puisqu'il avait miraculeusement reprit vie. « Et puis ça me permettra de te remercier pour lui, même si je suis persuadée qu'il aurait adoré rejoindre ton portable au paradis des téléphone » riai-je. Une certaine lueur dans mes yeux trahissait sûrement mon appréhension, mais celle-ci n’était pas foncièrement mauvaise. J’avais simplement envie qu’il accepte. Si j’avais du temps à perdre, pourquoi pas le perdre avec lui ?
Sujet: Re: bring the trouble + kesteban. Mer 8 Oct - 19:09
bring the trouble
Kesteban
Mes yeux se confondaient aux siens alors que mon cerveau me disait « vas-y ! je veux un câlin, je veux un calin ! ». Ne me jugez pas, d’après mon prof littérature on est tous habité. Sinon, on ne se parlerait pas H24 7/7 hein ? Enfin c’est ce que dit mon professeur de litté quoi. Ouais bon, pour le coup, tout ce qui m’intéressait c’était elle. Je buvais si bien ses paroles… Un vrai gosse ! Elle pourrait me parler de Britney Spears, Heinstein ou le dernier rouge à lèvres qu’elle a acheté, je la laisserais parler ! Tant qu’elle ne commence pas à parler de mariage, tout me va moi ! Mais qu’est-ce que je raconte là ! Je la connais à peine cette fille. Il faut que je me reprenne ! Puis, je n’ai rien écouté de ce qu’elle racontait jusque là. Idiot ! « J’accepte d’aller boire un verre, mais uniquement si c’est moi qui paie. Je te dois bien ça, non ? » C’était bien ma veine. Sur tout le globe du monde il fallait que j’en ai une qui me fasse le coup ! Malgré son sourire qui était mignon au passage, il n’était absolument pas question que ce soit une fille qui paye à boire. Ce serait comme dire à Batman de dorloter son bébé pendant que le monde s’écroule t’sais ! « Deal ? ». Règle numéro une : ne jamais dire « non » à une fille. Règle numéro deux : ne jamais lui mentir. C’est le règlement qu’impose l’homme idéal. J’ai jamais dit l’être mais, autant essayer cette méthode non ? « En fait, je me disais que tu aurais pu passer à la maison. Je crois que tu connais Pacey en plus je me trompe ? » Un léger sourcil arqué il vaudrait mieux que je me tienne tranquille un instant. J’ai invité une fille à la maison ? Non mais mec, t’es sérieux là ?! Pacey va me tuer ! Sans parler de Noah avec qui on devait jouer sur la play en s’enfilant un max de conneries hyper gras… « Et puis ça me permettra de te remercier pour lui, même si je suis persuadée qu'il aurait adoré rejoindre ton portable au paradis des téléphone ». Je rêve où elle rigole ? Non parce que je suis très drôle, certes, mais de là à ça… Mais il est mignon son rire en attendant. Et voilà tu souris comme un gamin de 2 ans ! T’es vraiment qu’une sous chiasse Esteban, une grosse GROSSE sous chiasse ! « Entre nous, je pense que le mien doit être en enfer avec toute la misère qu’il m’a causé.. ». On parle de téléphone ou comment c’est ?! Alors la, plus pathétique que ça, tu pourras pas faire.. T’es quand même vachement con quand une fille te plaît à toi ! Vas-y, rattrapes-toi, que je me marre un bon coup ! « BAKER ! Le cours est suspendu ! Donnez-moi mes clés. ». Sans chercher à comprendre vu l’impressionnante corpulence de monsieur le professeur, j’ai vite fait rendu clés et téléphone au mosieur. Cours suspendu ? Ah cool ! Tiens bah le prof se pète en vitesse ? Chelou tout ça… « Tu as cours là tout de suite ? ».
feat : nina perfect agdal. Pseudo : anaëlle. Souriez, dites cheese : Âge : vingt ans et toutes mes dents resplendissantes de blancheur grâce au pouvoir incomparable de colgate et du fil dentaire. testé et approuvé par kellin jane holloway. Statut : officiellement, je suis en couple avec esteban, du moins, tout le monde le crois (on est des trop bons acteurs keskia, j'exige mon oscar moi, oh !) mais en vrai de vrai, je suis free, becoz j'ai tout compris. ou pas. parce qu'au final ça m'arrange pas vraiment. Etudes : théâtre. Jukebox : mcfly, that's the truth + paramore, ain't it fun + lady gaga, gypsy. Points chance : 11These little things : i don't really feel the same about us in my bones.
Sujet: Re: bring the trouble + kesteban. Lun 20 Oct - 21:34
+ bring the trouble (featuring kesteban, la cutance)
Je restais silencieuse en attendant une quelconque réponse de sa part. Bêtement silencieuse. Comme en train de regarder un film muet. Comme pour tenter de percevoir à l’avance ce qu’il allait bien pouvoir me dire, mais j’échouais toujours lamentablement là-dessus. La façon dont il me regardait me perturbait. Cette fichue manière qu’il avait de planter ses yeux bleus dans les miens et d’y rester accroché me perturbait. Il me perturbait et la situation entière me perturbait. J’avais envie d tout envoyer balader, de lui dire de laisser tomber et de ne plus se donner autant de mal pour moi. Moi, cette parfaite inconnue. Mais était-ce réellement la meilleure des solutions de l’embarquer dans cette pagaille pour l’écarter ensuite comme un malpropre, sans remerciement aucun ? La réponse était définitivement non. Boire un verre s’avérait être un bon compromis, et compte tenu du pétrin dans lequel je l’avais fourré, il était même de mise que je paie la note sans broncher. Toutefois, à en juger par la tête qu’il tira suite à ma proposition, je crois pouvoir affirmer qu’il n’était pas franchement pour. De toute façon, j’avais tout faut depuis le début. Pourquoi est-ce que cela me surprenait encore ? « En fait, je me disais que tu aurais pu passer à la maison. » « Quoi ? Enfin j’veux dire… quoi ? » Ok, je m’embrouillais totalement moi-même. Mais attendez… qu’est-ce qu’il venait de dire là ? Est-ce qu’il venait tout juste de m’inviter chez lui ? « Je crois que tu connais Pacey en plus je me trompe ? », poursuivit-il pour me rassurer. Comme s’il savait que j’avais besoin d’être rassurée. « Je… euh… et bien, oui, je connais bien Pacey », confirmai-je pour commencer. C’était idiot, il le savait bien. « Hm… pourquoi pas mais je suis assez gênée », avouai-je finalement. « Je t’ai mis dans un pétrin impossible, j’en suis bien consciente… et tu as encore la gentillesse de m’inviter. » Machinalement, je le fuyais du regard. Il était bien trop gentil. Tellement qu’il trouvait même la force de plaisanter avec moi. Pourquoi y avait-il fallu que j’embarque le type le plus adorable de la terre dans cette merde ? « Entre nous, je pense que mon téléphone doit être en enfer avec toute la misère qu’il m’a causé.. » J’adressai une légère moue compatissante à Esteban qui semblait ne pas s’en faire tant que ça. Je crois bien qu’il devait avoir l’habitude de ce genre de choses. En même temps, il côtoyait Pacey alors cela ne me surprenais pas franchement. « Oh… je vois… » Je lâchai un léger rire désolé. « Dans ce cas, le mien n’a rien perdu au change… merci de m’avoir aidée à le réparer », conclus-je dans un sourire à fois sincère, mais timide tout de même. « BAKER ! Le cours est suspendu ! Donnez-moi mes clés. » Je sursautai bêtement, ne m’attendant pas à ce qu’une quelconque voix terrifiante – parce que oui, elle l’était - ne nous coupe dans cette conversation. Le temps d’une longue minute si ce n’était deux, je scrutais le professeur d’Esteban avant qu’il ne saute dans sa voiture et ne s’éloigne, sans gêne aucune. « J’ignorais qu’il y avait des professeurs si… étranges par ici », lâchai-je avant de rire. Heureusement, je n’avais pas eu l’honneur de tomber sur lui cette année – ni les précédentes années d’ailleurs. « Tu as cours là tout de suite ? » « Euh oui ! Enfin… non ! » Oui ou non ? Kellin, tu es vraiment une fille bizarre. Extrêmement bizarre. Comment veux-tu qu’Esteban te prenne au sérieux ? « En fait j’ai cours mais… je suis en retard de toute façon alors autant mettre ce temps à profit », me rattrapai-je. J’étais embarrassée, c’est vrai, mais qu’est-ce que j’y perdais ? « Enfin, je ne voudrais pas que ma présence d"range tes collocs. En général, Pacey est toujours tout seul quand je lui rend visite, je sais pas vraiment pourquoi mais c'est un fait alors... » Je réprimais un rire rien qu'en repensant à Pacey. C'est drôle, Esteban et lui me semblaient si différents, comme Esteban et moi l'étions aussi je crois. Alors peut-être était-ce un bon présage.
Spoiler:
MDRRRR t'es teubée wsh tu demandes si kellin a cours alors que dans ma réponse précédente kellin dit « Hm… en fait, je suis déjà complètement en retard pour mon prochain cours alors… » en fait t'as carrément répondu à l'arrache j'suis vexée...
Sujet: Re: bring the trouble + kesteban. Sam 1 Nov - 13:03
bring the trouble
Kesteban
« Je… euh… et bien, oui, je connais bien Pacey » Qui ne connaît pas Pacey ? Cette grande diva bruillante et aux fringues aveuglants à souhaits qui passe son temps à hurler, chanter, rigoler, danser et même parfois pleurer comme une fillete de deux ans ? Tout le monde dans cette école connaît Pacey, cette folle personne qui est aussi mon meilleur ami. D’ailleurs, je me demande bien comment ! Quoique, je trouve ça plutôt amusant de le faire fuir comme ma petite sœur de quatre ans juste en lui disant quelque chose de dégoûtant ou de vexant. C’est tellement le bonheur de le connaître ! A cette idée, je souriais comme un gosse alors que Kellin devait sans aucun doute me prendre pour un fou échappé d’asile. Puis finalement, elle n’osait même plus me regarder. Au son de sa voix, je sentais une gêne l’envahir de son âme toute entière et ça, ce n’était pas ce à quoi je m’attendais. Enfin oui et non disons. Pour être plus précis, je voulais simplement qu’elle dise ok mais puisque c’est une fille, vous comprendrez Ô combien elle se devait de me compliquer la tâche hein ? Rah les femmes ! « Tu sais, on va pas te violer ! Enfin Pacey c’est certain et Noah n’est pas là mais Kenaël je suis pas sur.. Quant à moi, … Non promis je te violerai pas ! J’ai déjà violé mon quota pour la semaine !... ». Vu mon sourire de gros con, ça se voit que je déconne non ?! Et bah non. « Je plaisante. » Autant le préciser parce qu’elle va se tirer au pas de course la pauvre ! T’es vraiment qu’un pauvre con Esteban ! Un gros gros con ! Maintenant on était bien deux à être embarrassé, l’avantage de sortir des conneries avant même d’avoir songer aux conséquences. « Dans ce cas, le mien n’a rien perdu au change… merci de m’avoir aidée à le réparer » Vous savez quoi ? Réparer un téléphone c’est carrément devenu mon quotidien, je pourrais carrément ouvrir un buisness ! C’est carrément trop l’idée du siècle ! Avec Pacey qui fait toujours des tonnes et des tonnes de bêtises puis ma voisine qui bloque toujours le sien d’une façon ou d’une autre, j’ai fini par me forger une nouvelle compétence en or ! Quoique je vous raconte tout ça mais on en a carrément rien à foutre ! Tout ça pour dire que sa timidité devenait touchante et que j’avais la soudaine envie de la serrer dans mes bras. J’ai simplement dit « de rien » quand le prof de sport a débarqué et nous a offert un spectacle dont je me serais bien passer. Il a un don ce prof ! Celui de nous casser nos coups ! Enfin Kellin n’en était pas vraiment un mais c’était tout … Ouais bon, j’ai pas à me justifier, il a un don, point barre ! Et ce don commençait à me gaver en fait ! « J’ignorais qu’il y avait des professeurs si… étranges par ici » Etrange, ce n’est pas vraiment le mot que j’aurais utilisé. Mais comme Kellin est une fille, je vais l’épargner d’une vulgarité sans nom. « Ouais nan, Il est juste un petit peu surmené en ce moment… Ou plutôt tout le temps… » En y pensant, ce serait quand même énorme d’avoir ce prof aussi militaire dans l’idée face à Pacey ! Je ne sais pas lequel des deux irait pleurer en premier mais je demande à voir ! Je payerai cher de ma peau pour voir ce spectacle aussi hilarant puisse t-il être ! Heureusement, le départ du prof m’a laissé le champ libre pour me recentrer sur la jeune femme. Si elle était en retard, moi mon cours venait de se suspendre. Je n’aimerai pas qu’elle ait des ennuis ou quoi mais, avouons-le, ses yeux étaient aussi captivant que ses paroles et j’avais bien l’intention de rester en sa charmante compagnie. Ca m’éviterait de traîner avec un de ces gars ultra virile qui veut faire le cake devant d’autres nanas ! « Enfin, je ne voudrais pas que ma présence dérange tes collocs. En général, Pacey est toujours tout seul quand je lui rend visite, je sais pas vraiment pourquoi mais c'est un fait alors... » Son rire était contagieux. En même temps si elle savait pourquoi Pacey était toujours seul, elle comprendrait de quoi est fait sa tête et ça, vaut mieux pas le savoir. Même moi j’en découvre un petit peu tous les jours et c’est assez flippant alors pour une fille, c’est impensable. Sauf si cette fille a le cœur d’un pharaon, les cheveux de la sorcière Carabosse et qu’elle porte le nom de Kamryn ! Quoi qu’il en soit, je ne dirais rien de plus sur Pacey. J’espèrais juste qu’il ne soit pas en travestie en train de rendre fous les voisins ou un truc du genre. « T’as peut-être raison, c’est pas une très bonne idée d’aller à la maison. Pacey doit encore faire des vocalises ou je ne sais quoi… En plus, il a poursuivi Noah avec un balai en jurant qu’il était une sorcière ce matin alors si ça se trouve, il est à la maison en train de préparer du poison ! Ou pire !? ». Ma connerie était aussi grosse que ma tête et pourtant, c’était sûrement la vérité… Je n’aurais jamais autant ri en l’espace de cinq minutes ! A croire que la présence de Kellin me rendait dingue ! « On va se poser quelque part ? ». J’avais besoin ou envie, voir peut-être même les deux de la connaître, de lui parler.
Spoiler:
EW! j'étais fatigué... Puis, avec celui-ci je me suis bien rattrapé non? tu dis non je te fouette!