Ophélie dormait et quand elle dormait, c’était dur de la réveiller. « Réveille toi ma puce, c’est l’heure de se lever, tu te rappelles que je tes promis qu’on passait la journée juste nous deux. Faut se dépêcher par contre, papa à un rendez-vous dans une heure ». Elle se tortillait dans tout les sens en ouvrant légèrement les yeux. « Bonjour papa ». Elle se redressait afin de lui embrasser la joue pour lui dire bonjour comme tout les matins. Elle n’avait aucune envie d’aller à ce rendez-vous mais apparemment, elle n’avait pas le choix alors elle retirait ces couvertures et avec l’aide de son pied, les poussait jusqu’au bout du lit. « Il y a un bol de céréales prêt sur la table, après tu t’habilles, te brosse les dents et on va partir après ». Elle fit un oui de la tête avant de descendre dans la cuisine et comme elle ne se pressait pas, fallait qu’elle descende les escaliers un par un tout en émergeant petit à petit. « Merci papa mais on va ou ? C’est quoi ton rendez-vous ? ». Demandais t’elle en mangeant son bol de céréales avant de boire le lait restant et d’aller poser le tout vide dans le lave vaisselle pour ensuite, monter se préparer.

Ils étaient sur la route mais direction inconnus pour la demoiselle qui n’avait aucune idée d’où elle allait. Pendant tout le trajet et malgré la musique, elle n’arrêtait pas de demander où ils allaient et son père répondait la même chose, c’est-à-dire que c’était une surprise. Ophélie frottait ces yeux, grattait son cou et soufflait en regardant par la fenêtre jusqu’à ce que la voiture s’arrête dans un chemin et au bout de ce chemin, disposait un domicile et après plusieurs observation, elle remarquait qu’ils étaient dans une ferme. Elle fronçait un sourcil. « Surprise ma puce ». Elle descendait de la voiture en apercevant un chiot courir vers elle, un golden retriever magnifique tout petit et spontanément, elle s’agenouilla pour caresser le chiot qui bougeait partout en riant avant de lever la tête vers son père. « Merci papa, merci ». Elle se redressait pour embrasser la joue de son père longtemps avant de le serrer dans ces petits bras avant de reprendre sa position et de jouer avec le chiot. « Je veux l’appeler Simba ». Lançais t’elle en riant quand le chiot essayait de lui lécher le visage en ayant un magnifique sourire.

Ophélie ne pouvait rêver mieux, elle venait d’avoir un chiot, un animal qu’elle attendait depuis longtemps et elle fut ravis que son père ait céder à on désir. Elle ne pouvait s’empêcher de le faire tourner en bourrique et Simba n’avait pas l’air fatigué, c’est pour cela qu’elle en profitait pour le careser et de lui embrasser sa tête. « Simba, c’est mignon et ça lui plaît ». Elle fit un grand oui de la tête en souriant à son père. Elle ne s’y attendait tellement pas qu’elle avait encore du mal à y croire mais elle avait bien un chiot à elle et elle savait en prendre soin, du moins, elle allait tout faire pour qu’il ne manque de rien. « Amène le avec toi dans la voiture, tu vas pouvoir lui faire découvrir sa nouvelle maison. Assures toi de bien le tenir, faudrait pas qu’il vienne me voir à l’avant pendant que je suis en train de conduire ». A peine que le père d’Ophélie ait finit de parler, elle l’attrapait pour entrer dans la voiture attendant que son père ferme la porte. « D’accord. Je vais le garder près de moi ». Chose dit, chose faites, elle prenait le petit chiot bien contre elle en le caressant, c’était une façon pour qu’il ne s’agite pas partout dans la voiture. Pendant tout le trajet, elle s’amusait avec Simba qui tenait difficilement en place mais il n’avais pas était à l’avant, c’était déjà une bonne chose et arrivés à la maison, elle sortait en courant jusqu’à l’intérieur. « Tu te rappelles de ce que tu m’avais promis si je t’achetais un chien ? Faut que tu m’aides à s’en occuper, donc le sortir et on ira le promener deux fois par jour, on le laisse pas devant la maison pas attacher, mais dans la cour tu peux jouer avec lui en liberté, mais assures toi que la clôture est bien fermé pour pas qu’il se sauve ». Ophélie sautait sur place avant de se lancer au cou de son père en le serrant dans ses bras, ces tout petits bras. « Je m’en occuperais très bien, ne t’inquiète pas papa ». Lançais la demoiselle dans un premier temps avant de marquer une pause. « Comment ça se fais que ta céder papa ? Toi qui voulait pas d’animal à la maison ? ». Ophélie était très curieuse et elle aimait bien tout savoir mais le fait qu’il lui avait achetés un chien la rendait joyeuse, elle avait un père formidable, sans aucun doute. « Je suis contente de l’avoir, merci encore papa ». Lui dis t’elle en restant dans ses bras et en lui embrassant la joue avant qu’il ne la remette à terre pour aller dans la chambre chercher le nécessaire pour Simba. « Tu vas le faire dormir avec qui ? Car il peut dormir avec moi si tu veux .. Enfin, on pourrait alterner ». Elle souriait en ayant hâte de lui faire visiter chaque pièces de la maison.

« Il faut pas lui donner de nourriture de la table, peut-être un peu de fromage ou légumes, mais surtout pas du chocolat ou des oignons, c'est dangereux pour lui ». Ophélie écoutait attentivement son père car elle ne volait faire aucune faute avec Simba. Elle acquiesçait de la tête à tout ce qu’il disait car c’était important qu’elle entende sa pour qu’elle comprenne. « Si tu veux le gâter tu es mieux de prendre les gâteries pour chien que j'ai acheté ». De suite, elle attrapait le plastique où était disposer les nourritures et attrapait un gâteaux en forme d’os en demandant à Simba de lever la patte, ce qu’il fit facilement en attrapant le gâteau sans lui mordre le doigt, il était bien plus éduqué qu’elle ne l’aurait penser. « T'inquiète pas, je vais très bien m'en occuper et je respecterais toute les règles que tu m'a dites ». Elle observait son père caressait Simba, il avait l’air attaché à ce petit chiot et ça se comprenait car c’était impossible de ne pas s’attacher à une petite bête toute mignonne qui faisait craquer. Ophélie s’était alors posés la question du pourquoi il avait accepter car jusque là, elle n’avait pas réussit à le faire céder. « J'ai toujours aimé les chiens, mais je voulais attendre que tu sois assez grande pour pouvoir aider à s'en occuper et avec ton comportement des derniers jours, tes notes à l'école, je me suis dit que ça serait une belle façon de te récompenser. J'ai eu un chien moi aussi plus jeune quand j'avais ton âge environ ». Elle souriait, lui aussi avait eu un chien et elle était contente qu’il ait accepter, elle qui attendait avec impatience de pouvoir avoir un ami fidèle à qui elle pourrait tout raconter, elle regardait alors son père en souriant. « Il s’appelait comment ? C’était quoi comme race ton chien papa ? ». Demandais t’elle en faisant la curieuse, encore. C’était d’ailleurs un défaut par moment. « De rien, princesse, ça va mettre de l'action dans la maison ». Ophélie faisait un grand oui de la tête, il était assez agile et jeune ce qui faisait qu’il allait courir partout et pour mettre de l’ambiance, il allait en mettre, il n’avais aucun doute. Elle attrapait Simba en lui embrassant le dessus de la tête en faisant frotter son petit nez avant qu’elle ne sourit de plus bel avant que son père ne se relève. « Il peut dormir dans ta chambre ça me dérange pas, mais faut faire attention, elle m'a dit qu'il était déjà propre, mais il peut peut-être s'échapper donc à toi de voir si tu veux courir le risque et le faire dormir dans ton lit ou parterre. Tu peux aller lui faire visiter la maison, après tu me rejoindras dehors le faire jouer, autant profiter de la belle journée non? ». Ophélie tournait autour d’elle en levant les bras, contente que Simba pourrait dormir avec elle mais elle ne savait pas encore si elle le ferait dormir avec elle ou par terre, juste à côté. Elle avait un peu peur qu’il ne la laisse pas assez dormir mais d’un côté, elle aurait un doudou, un vivant pour la nuit quand elle ose pas dormir toute seule. Elle réalisait qu’elle avait un père en or et qu’elle était heureuse d’être sa fille. « On verra ce soir, nous avons du temps. Oui, je vais tout lui faire visiter et je te retrouve dehors avec Simba ». Elle attrapait son père afin qu’il se baisse à nouveaux et lui embrassait la joue avant de faire visiter le domicile à son nouveau locataire, ils se mirent à courir partout jusqu’en haut en lui montrant la chambre de son père et ensuite la sienne, elle passait par la salle de bain et lui montrait la baignoire, l’endroit où il allait être lavé par moment en redescendant et lui montrait même les toilettes, ridicule mais comme ça, il connaissait les moindres recoins du domicile. Un tour dans le salon, une petite course poursuite autour du canapé et elle arrivait dehors en sautant sur le dos de son père en riant. « Il connait la maison maintenant papa ». Lançais t’elle en souriant.

Simba et Ophélie venait de parcourir la maison de fond en comble en n’oubliant aucune pièce car la demoiselle voulait que son chien connaisse la maison par cœur, comme elle. Aussîtot terminé, qu’ils couraient jusqu’au jardin quand celle-ci sautait sur le dos de son père en le serrant fort pour ne pas qu’elle tombe. « Parfait princesse! Bon tu veux le faire jouer ici ou tu préfères qu'on aille le promener et le faire jouer au parc à côté ? ». Ophélie réfléchissait un instant en faisant une logique que seule elle peut comprendre et en même temps, à sept ans, il est tout à fait normal qu’elle se comprenne seule, elle était pas trop le genre de fille à expliquer ce qu’elle ressent, ces logiques ainsi que sa vision des choses, très souvent elle garde tout pour elle. « Mh .. Au parc ! C’est plus grand et je pourrais courir sans m’arrêter au portail ». Lançais la petite en riant légèrement avant qu’elle ne tape plusieurs poses pour les photos de son père, elle adorait les photos et faut dire qu’elle était très photogénique. « Hey princesse... ça te dérange d'aller passer la soirée vendredi chez une amie? Papa va sortir voir un ami, tu pourras amener Simba si les parents de ton amie son d'accord bien sûr ». Ophélie écoutait sans trop écouter car elle était plus concentrée à retenir son chien. Faut dire que même en tant que chiot, il avait trois fois plus de forces qu’Ophélie mais ça la faisait rire car au lieu de promener le chien, c’était le chien qui la promenait. Ophélie tournait alors sa tête vers celle de son père. « Oui, d’accord mais tu vas voir qui ? Je connais la personne ? Tu renteras pas tard hein ? ». Demandais t’elle sans prendre le temps de respirer, faut dire que son père c’est toute sa vie donc il fallait qu’elle sache où il va, pour elle c’était important de le savoir.