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 Eliam && Stop thinking and just let things happen.

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Anonymous

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MessageSujet: Eliam && Stop thinking and just let things happen.   Eliam && Stop thinking and just let things happen. Icon_minitimeLun 16 Déc - 21:47


Jessica&Eliam❧ You can take everything if you want it enough.
« Désolée, c'est fermé.  Dits-tu en tentant de garder le sourire le plus aimable possible, ce qui devait certainement te faire une tronche d'ananas constipé. Seulement la petite vieille ne voulait rien entendre. Elle persistait - Mais je n'ai qu'un seul article ! Une boite de tampon... Binh voyons. On se doutait à peine que de ce côté là ça ressemblait plus au désert du gobie qu'aux chutes du niagara. Tu te contentas de dire, le plus poliment possible - Personnellement, je vous conseille plus les couches, je crois qu'il y en a par là, tu fis un geste vague. Pour les viei... Pour les personnes âgées. Tu lui souris à nouveau. Elle commença à protester, une nouvelle fois. Tu roulas des yeux, attrapas, tes affaires et te dirigeas vers la pièce réservée aux emlpoyés. A peine étais-tu entrée que ton manager ( un petit con rabougri) entra à son tour, les mains sur les hanches. Il te regardait d'un air sévère. Toi toi vaquais à tes occupations, faisant comme s'il n'était pas là. Il se racla la gorge. Tu lui lanças un regard en coin, faisant semblant de remarquer sa présence - Oh John que me vaut l'honore de ta présence ? L'air de rien, tu enlevas le t-shirt dégueulasse qui te servait d'uniforme. John, choqué, gêné, vira écarlate et te tournas le dos. Tu ris doucement. - J... Je te signal qu'il y a des vestiaire spécifiquement créés pour cet effet. Tu enfilas ton pull. - Ouais et c'est tout aussi bien ici. Bon qu'est-ce que tu veux ? - Madame Parsons s'est plainte de ton comportement. Tu levas les yeux au ciel - La belle affaire. - Jte signal... Tu le coupas - Tu signales un peu trop, nan ? Sérieux elle vient tous les jours pour acheter des trucs qui lui serviront jamais. Aujourd'hui c'était la boite de tampon. - Elle se sent seule, tu... - Ouais, binh jsuis pas Sos amitié. Tu fourras ton uniforme dans ton sac et quittas la pièce. - Je suis encore ton sup... - Ciao à demain. »Tu lui envoyas un baisé.
En fouillant un peu plus dans ton sac tu en sortis un gros gilet xxl Bakoi ? J'ai braqué le sac de Dora. Tu l'enfilas et t'emmitouflas dedans. Il faisait froid, très froid. Le vent était glacial. Mais toi tu ne t'étais toujours pas décidée à sortir les gros manteaux ou autre doudoune (tu trouvais ce mot particulièrement laid.) En fait, tu t'en battais un peu. Que tu tombes malade ou pas, la belle affaire. Tu t'engouffras dans la bouche de métro. A cette heure il commençait à ce peupler peu à peu, tu accéléras le pas, toi le monde ça te faisais chier. Les gens n'étaient pas vigilants, ils traçaient, te fonçaient dedans, te faisaient des feintes à la con : J'vais à gauche, à droite, nan à gauche, puis finalement à droite et... Grrr. Ca te faisait rager. Retour à ton sac, tu cherchais frénétiquement tes écouteurs. Au bout d'un moment, alors que tu étais plantée en plein milieu d'un chemin, tu balanças ton sac contre un mur , t'accroupies et le vidas en prenant soin de claquer chaque objet sur le sol. Enfin, après l'avoir entièrement vidé, retourné secoué, tu devais accepter le fait qu'entre ce matin, en allant au boulot et maintenant au moment de rentrer, tu les avais mystérieusement perdu.. Pour la quinzième fois cette semaine. Tu soupiras. Et enfournant tes affaires à l'arrache dans ton sac et tu continuas ta route blasée. Cette sensation tellement étrange, tu entendais tout ce qu'il se passait autour de toi, le brouhaha, la petite musique de fond, les brides de conversations. C'était comme si tu revenais brusquement à la réalité. Tu frissonnas. Assise face à une petite vieille, oui il fallait croire que tu les attirais toutes. Tu sorties tes feuilles et ton tabac et roulas tranquillement devant ses yeux ébahis, limite outrée. Tu rangeas tout et te levas d'un bond pour sortir à ton arrêt. Puis, tu te précipitas vers la sortie, plus qu'impatiente de fumer ta troisième cigarette de la journée (seulement). C'était dingue à quel point tu étais vite devenue accro. Ca passait le temps et ça t'empêchait aussi de penser, donc c'était perfect.

Dehors, tu t'adossas contre le mur, laissant tomber ton sac à tes pieds. La rue était animée. A cette heure pas étonnant. Mais tu n'y prêtais pas attention. C'était une ambiance que tu appréciais. La nuit était tombée, les gens se pressaient pour rentrer chez eux, ou pour faire leurs courses de Noël ou simplement flâner, un peu comme toi. Il y avait aussi tous c'est gens qui offraient quelques spectacles de rues... Une manière plus créative de faire la manche..? Justement, tu tournas la tête attirée par la musique qui se jouait juste à côté de toi. Un gars... Plus bogoss. Tu souris et l'observe de la tête aux pieds et des pieds à la tête. Et tu te souviens. Ce gars tu l'avais déjà vu ! Lors de ta dernière soirée. Tu avais finies complètement éclatée, tu ne te souvenais de pas grand-chose, mais lui tu t'en souvenais. Toute la soirée, tu l'avais observée. Vous vous étiez lancés quelques regards. Ta sœur t'avait dit de t'le chopper. Tu avais refusé. Pourtant, ce n'était pas l'envie qui te manquait. Il t'avait captivé dès la seconde où tu l'avais vu. Et là ça recommençait. Il était envoûtant. Tu ne savais pas pourquoi. Ca voix te donnait des frisons. Tu souris. Un vrai sourire. Pas un de pacotille que tu avais l'habitude de lancer, comme à cette vieille peau de Parsons. Tu t'accroupies attrapas un stylo, un morceau de papier et griffonnas quelques mots «Pas mal. » Puis tu te plantas pile devant lui. Tu le fixais. Et tu déposas dans la poche de sa veste avec un petit sourire au coin des lèvres.
©flawless
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Eliam M. Hodson
Eliam M. Hodson
feat : god of sexiness, loueh the tommo tomlinson. tu peux pas teeeest.
Pseudo : anaëlle.
Souriez, dites cheese : Eliam && Stop thinking and just let things happen. 18683920145
Âge : moyen. ouais, je viens du moyen-âge moi. même que je mène une double vie de moine chauve qui travaille pour l’industrie du chaussée aux moines becoz j'adore le fromage.
Famille : alannah, mon petit bb de soeur.
Statut : de la liberté.
Bff : dony, la plus jolie (c'est bien parce que je suis gentil becoz en vrai elle est grosse, grasse, moche et chiante mais bon, je l'aime).
Jukebox : 5 seconds of summer, wrapped around your finger (la plus belle chanson du monde okok) + pixie lott, nasty.
Points chance : 32
These little things : Eliam && Stop thinking and just let things happen. Tumblr_lrnhkdBiDG1r0ybih« UNE PETITE SOEUR, MÊME SI T'ES A DES MILLIERS DE KILOMÈTRES, ELLE EST TOUJOURS DANS TA POCHE D'AMOUR ÉTERNEL. » THE APPLE OF MY EYE.
Eliam && Stop thinking and just let things happen. 505657donia « LA MIFA RICHARDS C'EST L'AMOUR LA VIE L'UNIVERS ET L'AU-DELA T'INQUIETES PAUPIETTE JOLEZEM. » LUAN + DONIA.
Eliam && Stop thinking and just let things happen. Tumblr_mwoovygHE21rj2wado3_500 « ON N'EST PAS IDIOT, ON EST JUSTE DES IMBÉCILES HEUREUX. ET UN PEU IDIOTS QUAND MÊME. » RPZ JALIAM LES ROIS DU MONDE.

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MessageSujet: Re: Eliam && Stop thinking and just let things happen.   Eliam && Stop thinking and just let things happen. Icon_minitimeLun 30 Déc - 0:32

stop thinking and just let things happen, you can take everything if you want it enough.
J’ignorais quelle heure il était précisément mais c’est avec un énorme mal de crâne et une difficulté certaine que j’ouvris les paupières. Dehors, le soleil ne semblait déjà levé puisqu’un liserai de lumière était visible à travers la fente des volets encore fermés. Etrangement, j’avais l’impression que mes pieds pesaient aussi lourd que ma tête. Machinalement, je laissai échapper un soupir, puis poussai me hissai hors des draps. Une fois que je fus assis sur le bord du matelas, je passai à tâtons ma main sur la table de chevet, rencontrant un ou deux pétards au passage qui roulèrent jusqu’au sol. D’un doigt, je tapotai la surface de mon portable que je connaissais par cœur et regardai l’heure : 12h52. Décidemment, je n’allais jamais perdre cette fichue habitude de me réveiller si tard. Déjà à l’époque où j’allais encire à la fac, je ne me préoccupais pas vraiment des horaires que j’étais censé suivre, et encore moins le matin. Alors autant dire que depuis que je faisais ce que je voulais, je ne me privais pas pour continuer dans ma lancée. D’ailleurs, si j’avais su, je serais resté couché pour la journée. Il y a des jours avec et des jours sans. Pour sûr, cette journée faisait partie des jours sans. J’hésitais encore entre le faire qu’elle ait été monotone ou ennuyeuse comme la pluie. Quoi que de mon point de vue, c’était probablement les deux combinés. Une journée normale en somme, ni plus, ni moins. J’avais achevé de me réveiller avec une bonne douche froide. Ce n’était pas vraiment un choix. Disons qu’étant donné la précarité de l’appartement dans lequel je vivais, je ne pouvais me contenter que de ça. C’était une habitude à prendre, et, contre toute attente, malgré mon sale caractère, cela me plaisait parfois. Comme tous les jours, j’avais avalé les premières céréales que j’avais trouvées au fond du placard. Comme tous les jours, j’avais attrapé les premières fringues qui m’étaient tombées sous la main. Comme tous les jours j’avais quitté l’appartement en claquant la porte, les écouteurs vissés dans les oreilles afin de faire parfaitement abstraction du monde extérieur. Parfois, en observant les gens qui passaient à mes côtés souvent d’un pas pressées, parfois seuls, parfois accompagnés, je m’inventais des histoires dans ma tête. Je m’imaginais l’origine du sourire de la petite fille qui marchait d’un pas décidé en entraînant son grand-père avec détermination. Je m’imaginais pourquoi cette homme en costume et cravate trimballait sa valise d’un pas pressé ; probablement qu’il avait un train à prendre. Et si cette vieille dame s’était assise sur un banc à l’arrêt de bus pour fouiller à l’intérieur de son sac, c’était sûrement parce qu’elle n’arrivait pas à remettre la main sur son ticket. Je n’avais que ça à faire mais cela m’amusait, bien que, pour être honnête, je me fiche complétement de la vie de tous ces gens.
Avec une habitude qui se lisait sûrement dans ma démarche, je descendis les escaliers qui menaient jusqu’aux métros. Les couloirs étaient bondés, comme toujours. C’était tellement habituel que je n’y faisais presque plus attention. J’évitais les gens avec automatisme, tantôt par un geste d’épaule, tantôt par un pas vif sur le côté. C’était devenu machinal, presque mécanique. J’avais pris ma place et déballé ma guitare tout aussi machinalement. J’aimais ce que je faisais pourtant, mais il y avait certains jours où je me demandais ce que je foutais. Je m’étais contenté de chanter. Jouer et chanter sans même porter intérêt aux personnes qui passaient à mes côtés. Aucune personne, mais une ombre, oui. Et la jeune femme qui se tenait là, devant moi ne m’était pas inconnue. J’aurais reconnu entre mille ce regard à la fois doux et provocant, celui de quelqu’un de fragile mais assez fort pour arrêter le monde de tourner pendant quelques secondes. Elle avait réussi à le faire la première fois où j’avais posé le regard sur elle. Cela faisait quelques jours, je m’en souvenais comme si c’était hier. Je pouvais me remémorer chaque détail avec précision. Ses cheveux en bataille, son sourire enjôleur, ce petit air malicieux… Je n’avais aucunement besoin de l’avoir revu aujourd’hui pour que chacun de ses traits ne me reviennent en mémoire. Cette fois encore, j’avais arrêté de jouer pour admirer sa beauté envoutante, et je ne m’en étais même pas rendu compte. Son regard était franc tout comme le sourire qui vint étirer mes lèvres par la suite. Je ne sais pas combien de temps s’était déjà écoulé depuis que sa silhouette avait intégré mon champ de vision tout entier, et j’ignorais si cela me paraissait trop long ou bien trop court. Je voyais à peine les quelques passants qui s’arrêtaient, étonnés sûrement que plus aucune musique n’accompagne leurs pas. Je m’en fichais pas mal. Je ne voyais que la brunette s’approcher de moi pour me glisser un morceau de feuille dans la poche, feuille que je dépliai aussi sec après avoir déposé ma guitare au sol. Comme si je recherchais quelque chose, je balayai du regard chaque recoin du papier. Cela ne me pris que quelques secondes toutefois, de peur qu’elle ne reparte trop vite. D’un geste à la fois doux mais ferme, j’attrapai le poignet de la jeune fille afin de l’empêcher de s’éloigner. Je crois que lorsque je croisai une nouvelle fois son regard, une bonne minute s’écoula avant que je ne prenne enfin la parole. Evidemment tu parles de la chanson, la questionnai-je rhétoriquement tandis qu’un sourire narquois vint étirer mes lèvres.  Je suis déçu, je m’attendais au moins à ce qu’il y ait un numéro de téléphone au verso… Progressivement, je desserrais ma main pour relâcher la sienne sans que mon regard ne dérive. D’une main, j’attrapai la petite boîte qui contenait les quelques pièces que les passants généreux m’avaient fait l’honneur de m’offrir – certains peut-être dans l’espoir que je ferme ma grande gueule de clochard désespéré – et la tendit en direction de la jeune femme qui me faisait encore face. Je sais pas combien il y a et pour être honnête, je ne pense pas qu’il y ait beaucoup, commençais-je. Mais si je t’en fais cadeau, j’ai le droit de connaître au moins ton prénom ? tentai-je en manquant de rire de moi-même. Je devais paraître stupide à cet instant précis, mais qu’importait. J’avais toujours préféré l’audace aux regrets.
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